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Emission "Complément d'enquête"

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Regardez l'émission Complément d'enquête sur FR2 ce jeudi 29 mars 2018 à partir de 22h55

22h55 Magazine d'informationComplément d'enquête
 
 
 
Résumé
Sur Twitter via @Cdenquete. Autrefois fierté nationale, le train français est-il en train de sombrer ? Dans le viseur du Premier ministre, la SNCF est à bout de souffle, plombée par sa dette, déchirée entre son TGV coûteux, et ses TER vides. Enquête sur une France à deux vitesses, celle du TGV, train des grandes villes, des cadres et des billets chers, et celle des petites lignes subventionnées, la France des tortillards, des villes et villages enclavés.
Au sommaire :
Sarthe : le bruit et l'horreur
 
Paris-Bordeaux : le TGV à tout prix
La guerre de l'Hyperloop
   

Conseil d'Etat : extrait d'une réaction...

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22 mars 2018 - Extrait d'une première réaction après la réunion 

Par Philippe Barbedienne ( SEPANSO)

..........

Daniel Delestre, Pierre Hurmic notre avocat et moi-même avons assisté hier à l’audience.

J’avais beau m’attendre à quelque chose de ce genre, j’en suis ressorti meurtri.

Le (très jeune) rapporteur public avait semble-t-il pour mission de convaincre les autres conseillers qu’il fallait rejeter nos recours.

Ça a été très bien résumé dans la Dépêche https://www.ladepeche.fr/article/2018/03/21/2764221-utilite-publique-lgv-bordeaux-toulouse-contestee-devant-conseil-etat.html  dont le journalise écrit « un rapporteur public qui, pendant plus d’une heure, s’applique à démontrer l’obligation de rejeter tous les recours. »

Plutôt qu’un magistrat éclairé, j’ai eu le sentiment d’entendre un avocat ou même un commercial de RFF ou tout au moins un jeune homme qui avait vu le dossier à travers un prisme qui déformait les arguments de RFF en vérités absolues et ceux des associations en pure foutaise...

Je l’ai particulièrement ressenti en matière d’environnement.

Tout va très bien madame la Marquise !   RFF a pris toutes les précautions, les compensations vont compenser, il n’y a pas d’incidences sur les sites Natura 2000 (puisque RFF l’a dit...). Les tortues du ciron pourront pondre ailleurs (RFF l’a dit aussi et c’est sans doute un grand spécialiste. Elle pourront sans doute passer sous le viaduc et remonter le cours d’eau à la nage pour aller pondre à 2 km... en amont ) A moins qu’elles ne bondissent au-dessus des grillages et qu’elles creusent le béton.... Toutes les précautions ont aussi été prises pour les chauves-souris du Vallon du Cros là aussi RFF est spécialiste.

Concernant toutes les autres nuisances que nous dénonçons, elles sont minimes eu égard au grand intérêt du projet.

Véritable tour de force, notre jeune rapporteur public a même su trouver des passages du rapport d’enquête publique justifiant le projet mais il n’a sans doute pas vu tout le reste car à part une toute petite phrase dans sa présentation faisant référence à l’avis défavorable, il s’est bien gardé d’y revenir....

 

......Et puis, bien que je ne ma fasse aucune illusion, les juges peuvent encore ne pas suivre le rapporteur ou nuancer leur arrêt. Il faudra donc patienter un peu avant de réagir........

 

   

Conseil d'Etat : articles dans la presse

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22 mars - 2018 Le Petit Bleu - (et après Sud Ouest - La Dépêche)

Ce mercredi, à Paris,  le rapporteur du Conseil d'Etat  présente ses conclusions sur les sept  recours  déposés sur le projet GPSO dit lignes nouvelles à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse, Bordeaux et le Pays basque. 
Selon les opposants au GPSO, sur la foi des conclusions préalables du rapporteur transmise aux avocats,  tous les recours sont rejetés par la haute juridiction administrative. Cette saisine des associations, collectivités... visait à annuler la DUP validée par ce même Conseil d'Etat en 2016. 
"Quand on sait que ce projet a été déclaré défavorable en commission d'enquête publique, que le tronçon Bordeaux - Saint Médard a été jugé irrecevable par le TA de Bordeaux, que les motifs de refus sont très nombreux : environnement : avis négatif de l'Autorité environnemental, rentabilité, absence de financement,  saucissonnage du projet pour faire apparaitre une rentabilité plus que négative... cette décision est invraisemblable", estime Claude Semin, l'un des porte-paroles. 
 
Il estime que "bien des choses curieuses ce sont passées ces jours derniers. "Brusquement il y a deux  semaines environ un rapporteur a été nommé alors que le poste était vacant depuis octobre dernier. Il y a 10 jours la date de la remise de son rapport  prévue pour le 21 mars. Et on apprend, comme d'habitude, que ses conclusions seront que les recours sont rejetés. Ahurissant la vitesse à laquelle ces décisions ont été prises et comment elles ont été prises est ahurissante(...) L'hypothèse la plus probable de l'avis de tous,  est qu'il y a eu une inflexion politique pour que se soit ainsi.  Il devrait donc y avoir une décision politique prochainement." Les associations ont toujours rendez-vous au ministère des Transports le 12 avril.
 

Voir les autres articles

   

Conseil d'Etat : Rapporteur public

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23 mars 2018 

Lors de notre dernière assemblée générale , un certain optimisme planait dans la salle :
espoir que le Conseil d'Etat annulerait la LGV Bordeaux - Toulouse .
Le rapporteur public , ne voulant juger que sur la légalité de la Déclaration d'Utilité Publique ,
a pris le contre - pied des décisions antérieures ( avis DEFAVORABLE à la LGV ) et de tous les éléments du dossier .


Que devons - nous voir dans cette prise de position ?
qu'il vaut mieux suivre les positions des " puissants " : barons locaux , BTP etc …
au lieu de prendre en compte l'intérêt des citoyens , donc de l'Etat ?
Nous avons perdu une bataille mais pas la guerre !

Le Conseil d'Etat devrait rendre sa décision d'ici 15 jours : la situation est très inquiétante .
La balle est dans le camp du gouvernement qui , courant mai , devra faire des annonces
dans le cadre de la loi d'orientation des transports en France .

Nous avons plus que jamais besoin de vous : restons mobilisés , ne baissons pas les bras !
Nous pouvons encore gagner : il y a trop d'éléments à charge contre ce projet .

   

LGV vers Toulouse et Dax : les recours des opposants seront examinés le 21 mars au Conseil d’Etat

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16 mars 2018 - Sud Ouest

LGV vers Toulouse et Dax : les recours des opposants seront examinés le 21 mars au Conseil d’Etat

Sept recours ont été déposés contre la DUP signée en juin 2016 par le ministre des Transports de l'époque, Alain Vidalies GOBIN MARIE-LAURE


Les sept recours seront examinés en même temps et la décision pourrait être connue courant avril.
Après des mois de patience, les anti-LGV ont appris cette semaine que leurs recours contre la déclaration d’utilité publique du GPSO (Grand projet du Sud Ouest), c’est-à-dire la prolongation de la ligne à grande vitesse de Bordeaux vers Toulouse et vers Dax serait examiné par le Conseil d’Etat le 21 mars prochain à 14h.

Sept recours ont été déposés contre la DUP signée en juin 2016 par le ministre des Transports de l’époque, Alain Vidalies. Parmi les opposants, on retrouve aussi bien des associations de protection de l’environnement que des chasseurs, des agriculteurs, des sylviculteurs, des viticulteurs ainsi que des communes de Gironde ou du Lot-et-Garonne.

Ces recours seront tous examinés en même temps et la décision du Conseil d’Etat pourrait être connue trois semaines plus tard.

Lire la suite : LGV vers Toulouse et Dax : les recours des opposants seront examinés le 21 mars au Conseil d’Etat

   
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