Comme promis, la partie 2 et la partie 3 !
NB :
Les articles sources cités sont parfois "accessibles aux abonné.e.s" uniquement. Nous en sommes désolé.e.s et nous vous conseillons de vous rapprocher de médiathèques et bibliothèques publiques, amis et amies, pour obtenir les versions longues.
Nous vous déconseillons par contre de vous abonner, car plusieurs journaux se contentent de diffuser les mensonges des porteurs du projet ou de criminaliser les mouvements de lutte, sans chercher à démêler le vrai du faux (raison pour laquelle nous prenons le temps de commenter tout ce que nous lisons).
Pour information le groupe La Dépêche - qui détient Le Petit Bleu d'Agen - est dirigé par la famille Baylet eta notamment pour actionnaire le groupe Pierre Fabre, principal bénéficiaire du projet d'autoroute A69. Par ailleurs on peut lire sur Wikipedia que son président Jean-Michel Baylet 'est impliqué dans plusieurs affaires, notamment une accusation de viol et agression sexuelle sur une mineure, non jugée en raison de la prescription.'
Bien à vous,
Avec détermination---
BRÈVES DE JANVIER, PARTIE 2 : LES PRO-LGV SERRENT DOUCEMENT LES MÂCHOIRES...•Si les calendriers restent inchangés et les annonces officielles impertubées, quelques impasses se font de plus en plus criantes :
Manque de "ressources humaines"pour mettre en oeuvre en même temps les projets de rénovation et l'entretien des lignes existantes ET les nouveaux chantiers de lignes à grande vitesse
:« En 2023, on a demandé des recrutements sur Bordeaux. Au dernier moment, l'État a dit à la SNCF qu'il n'engagerait pas d'argent maintenant. », témoigne Patrick Labrue, secrétaire fédéral UNSA Aquitaine-Poitou-Charentes.
Par ailleurs le contexte – l'équilibre périlleux de SNCF - rend le sujet d'autant plus critique. En effet, selon Patrick Labrue,« l'État a repris la dette de SNCF Réseau sous couvert d'une réduction drastique des effectifs. Désormais, pour réaliser les travaux, nous faisons appel à des entreprises privées à 80 %. Elles choisissent les chantiers qui les intéressent et on doit s'adapter à leur calendrier».
C'est pour cette raison que les collectifs affirment régulièrement que les LGV se font au détriment des petites lignes, ce qui se vérifie historiquement avecl'abandon de près de 40 000 km de petites lignes sur un siècle, parallèlement à la construction de 2800 km de lignes à grande vitesse.
Incertitude sur le financement de l'Etat:
« A court terme, nous sommes couverts par des moyens conséquents, à hauteur d'un milliard d'euros pour les aménagements au nord de Toulouse et au sud de Bordeaux. A moyen terme, il reste des engagements de l'État à aller chercher »explique Guy Kauffmann, le patron de la société de projet.
En effet, le financement réellement versé par l'État à date s'élève à seulement une centaine de millions d'euros
pour les lignes nouvelles, sur un total de l'ordre de 15 milliards d'euros pour tout le projet.
La situation est si critique quela part de l'Etat a été avancée par les collectivités
: environ 120 millions d'euros sur les 300 millions à engager en 2025 !« Les élus locaux ont accepté d'avancer cette somme à l'État sans avoir un engagement écrit de remboursement. »précisent certains élu.e.s régionaux dans un article.
Par quelles tractations
s'est donc conclu un tel accord de versement de fonds décidé par les élu.e.s des collectivités seul.e.s ? Pour un projet qui ne desservirait en tout et pour tout que trois communes du Sud-Ouest, et dans un contexte où les finances manquent de toutes parts !
Philippe Tabarot, le nouveau ministre délégué aux transports du gouvernement Bayrou, prétend que "L’État ne peut que continuer à soutenir le projet"
tandis que le Préfet de Haute-Garonne, Pierre-André Durand menace d’être “intransigeant” tout en prétendant lors de ces vœux 2025 n’avoir“aucune crainte”
en ce qui concerne la convergence des ZAD de l’A69 et de la LGV.
Pourtant, les luttes ont déjà fait perdre aux porteurs de ces projets anachroniques des centaines de millions d’euros...
Article source
Inutilité du projet et déni: à Saint-Médard d'Eyrans, SNCF Réseau annule une réunion d'information par peur de la contestation...
Le motif officiel de l'annulation de la réunion d'information du 9 janvier est la “crainte d’atteintes à l’ordre public”
On s'interroge sur ce motif, étant donné que les dizaines de réunions d'information qui se sont faites dans les communes du Sud-Ouest l'année passée dans la perspective de la mobilisation d'octobre se sont déroulées dans la plus grande écoute et gratitude exprimée
par les habitant.e.svenu.esen nombre !
Mais peut-être SNCF Réseau a-t-il un souvenir vivace de la réunion publique de novembre à Poussan sur le tracé de la LGV Montpellier-Perpignan : l'entreprise s'était alors trouvée bien incapable de contenir la colère des habitants.L'article de compte-rendu est éloquant.En réponse, SNCF Réseau avait donc organisé des consultations destinées à "acculturer aux enjeux du projet et de recueillir leur expertise d’usage et leurs besoins pour intégrer au mieux le viaduc dans son environnement" (objectif défini par SNCF Réseau Occitanie)
– autrement dit permettant de détourner la contestation concernant les lignes à grande vitesse sur les aspects non déterminants du projet tel
s que la hauteur d'un viaduc...Les collectifs de la LGV Montpellier-Perpignan ne décolèrent pas.
Du côté des LGV Sud-Ouest, sur les sites des Aménagements Ferroviaires au Sud de Bordeaux, SNCF Réseau remplace sa réunion bidon par des permanences en mairies
en compagnie du médiateur SNCF Charles Aboud et du directeur adjoint des travaux AFSB Bertrand Comble.
Les témoignages de ces permanences sont affligeants. Par exemple, voici les propos de Bertrand Comble qui s'exprime suite à la rencontre avec un couple très impacté par les travaux
: "Ces permanences en petit comité permettent de répondre à ces gens qui viennent PLEURER". Quel dédain !
Les fake news d'Alain Rousset lors de ses voeux 2025 face à la presse le discréditent toujours plus..
«La Région est un pôle de stabilité face à l’hystérisation de la vie politique nationale», annonçait en ce début d'année Alain Rousset. Soulignons donc la disproportion entre la ferveur avec laquelle Alain Rousset défend le projet de LGV et son intérêt réel pour les habitant.e.s des communes sur le tracé...
Comme les collectifs LGV NON MERCI l'annonçaient récemment, un kilomètre de LGV correspond au prix d'un collège, et il est cocasse de voir Alain proclamer
: "Aujourd'hui, je suis incapable de programmer un équipement dont la Gironde a pourtant besoin », pour justifier la dépriorisation de la construction d'un nouveau lycée entre Cadaujac et Léognan.
Il fait de l'intensification des chantiers de LGV son affaire personnelle
et ose déplorer que« la politique ne sait plus anticiper l’avenir", tout en défendant un projet à plus de 15 milliards d'euros dessiné il y a 30 ans, dans un contexte budgétaire et environnemental qui le rend caduc.
En effet que ferons-nous en 2032 (date de mise en service annoncée), d'une ligne ferroviaire doublant un itinéraire ferroviaire existant déjà difficile à entretenir, que le prix moyen du billet TGV rend inaccessible au plus grand nombre, et qui traverserait environ 125 communes sans s'y arrêter ?
Les habitant.e.s de toutes ces communes du Sud-Ouest sont-iels pris pour les vaches qui regardent passer les trains ?
Dans sa tirade, il évoque le dégât en vallée d’Aspe causé par l'effondrement de la route nationale après une inondation en septembre. Il prétend que "la voie ferrée est intacte mais on me demande encore d’arrêter le chantier".
Or les habitant.e.s sur place démentent ses dires et précisent «Outre le glissement de terrain qui a recouvert la voie ferrée de plusieurs tonnes de gravats, la situation au niveau du pont Naudin en amont d’Urdos est très significative. Le talus en bord du gave s’est désagrégé si bien que la plateforme soutenant les rails a disparu et les rails sont désormais suspendus dans le vide au-dessus du gave».
Article source
Deux points communs entre Alain Rousset, président de la Région Nouvelle Aquitaine, et Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse...
1. Ce sont de fervents promoteurs du projet de lignes à grande vitesse du Sud-Ouest2.Ils sont tous deux visés pour des affaires de corruption !
En effet nous avions déjà documenté le cas de Alain Rousset, mais nouvellement le maire de Toulouse est visé par une plainte contre X pour soupçons d'emploi fictif par Anticor.L'association a déposé une plainte visant l'emploi occupé par le maire de Toulouse au ministère des Finances, et évoquant "détournement de fonds", "complicité de détournement de fonds"et "recel de détournement de fonds."
Elle ne vise pas nommément le maire de Toulouse. Mais c'est bien l'emploi qu'occupe Jean-Luc Moudenc au ministère des Finances qui est dans le viseur de l'association. Depuis 2008, Jean-Luc Moudenc cumule ses mandats de maire et de président de Toulouse Métropole avec un poste de haut fonctionnaire.
Pour parfaire le portrait de ce cher Jean-Luc Moudenc, précisons qu'il est aussi le seul maireà avoir censuré Médecins Sans Frontièresen lui refusant une exposition sur Gaza.
Article sourceBRÈVES DE JANVIER, PARTIE 3 : LES COLLECTIFS EN LUTTE NE S'ARRÊTERONT PAS !Plusieurs sabotages ont eu lieu que ce soit sur les Aménagements Ferroviaires au Sud de Bordeaux ou au Nord de Toulouse. Notamment, début janvier, l'amarre d'un ponton utilisé par NGE pour approvisionner le chantier des berges, en prévision de la mise en place des LGV, a été sectionné.
Lors des chantiers de la ZAD des AFNT, prévus les 24-26 janvier, où une zone a étéplacée sous haute surveillance pendant 10 jours, avec droneset arrêté d'interdiction de ports d'armes, comme si l'utilisation des armes était une option pour les militants. Orle rapport de force se joue bien ailleurs: l'occupation des arbres voués à la destruction permet à elle seule de retarder les chantiers, avec un certain coût pour SNCF Réseau et ses sous-traitants qui reproduisent les mêmes pratiques que sur le chantier de l'A69.
Deux jours avant le weekend de chantier, les forces de l'ordre sont donc intervenues pour détruire les cabanes existantes et déloger des occupant.e.s des arbres. Il restait alors encore deux cabanes occupé.e.s dans les arbres. Le weekend s'est maintenu, dans un élan de détermination et de gestes de soutien encourageant venant de toutes parts : etdésormais, La Guinguette Vaillante se reconstruit et poursuit son occupation avec d'autant plus de chaleur et d'enthousiasme![]()
Les collectifs membres de LGV NON MERCI sont solidaires avec les zadistes et dénoncent les agissements des promoteurs du projet qui imposent leur projet par la force.
Articlesicietlà
Uncomité de soutien a La Guinguette Vaillante se constitue: RDV le mardi 11 février à l'impasse Toulouse
Plus d'infos :
https://toulouse.demosphere.net/rv/31526
En Gironde, la vallée du Ciron organise sa défense... en effet un projet de "déclaration de droits" pour cet affluent de la Garonne est porté par un groupe combinant universitaires et juristes, accompagné par le département : vote quasi-unanime il y a quelques semaines pour la poursuite de cette initiative qui permettra peut-être un jour de contester la destruction de cette vallée en justice...
Écoutez l’enregistrement
de cette réunion réalisé par Sylvie Nony de la Clesdesondes, suivant l’intervention d’Alexandre Zabalza et Hubert Delzanglesici.
Des castors sur la Garonne en Tarn-et-Garonne et Lot-et-Garonne ont été identifiés proche du tracé...Or "les barrages [de castors] permettent la création de zones humides,limitent la baisse des niveaux d’eau en période de sécheresse et favorisent l’infiltration de l’eau dans le sol" explique une chargée d'études à "Nature en Occitanie".
En tant qu'espèce protégée
toute atteinte à son habitat est passible de 150 000 euros d'amende. Le projet des LGV du Sud-Ouest passant en plein dans le mil,la population locale de castors revendiquerait récemment la construction de barrages sur les fleuves du Sud-Ouest, contre les LGV!
Article source
L'association LGVEA proposeune nouvelle réunion d'information sur les alternatives au projet de lignes à grande vitesse le 24 février à 18h au Parc du Château à Cadaujac. Plus d'information surleur page Facebook.
Le collectif d’opposition au projet de LGV basé en Sud-Gironde, LGV NINA, prévoit un nouveau week-end de mobilisation en Gironde, les 21, 22 et 23 mars
Le printemps du Cironse tiendra à Bernos-Beaulac, village situé «en plein milieu des zones Natura 2000 qui seraient traversées par la LGV ».
«Ce ne sera pas qu’un rendez-vous de naturalistes, on va aussi parler transport et économie. Car une des bonnes raisons d’abandonner ce projet, c’est son budget. C’est un projet vieux de plusieurs années, avec des coûts qui s’enflamment et qui ne correspond pas aux vrais besoins des habitants en matière de mobilité.»explique Véronique, membre de LGV NINA.
La vallée du Ciron, « hot spot de biodiversité » serait défigurée par les travaux de la LGV
« On se retrouverait avec 17 ouvrages d’art pour passer au-dessus des cours d’eau et une vingtaine de villages impactés. Nous sommes persuadés que la vallée du Ciron peut permettre de faire comprendre l’absurdité totale de ce projet à l’heure du changement climatique »expliquent les membres de LGV NINA.
️
: « On fait tout pour nous imposer ce projet, mais on s’arrêtera quand on aura les bulldozers dans la salle à manger, ils sont encore à 80 km de chez nous, et le reste du projet n’est absolument pas garanti financièrement. »
Nous sommes en Février, voici les brèves de janvier !
En trois parties, voici déjà le premier volet :AVANCÉES DU PROJET,ÉTUDES MARKETING ETLUBIE DU DÉVELOPPEMENT
•Autour de Brax, près d’Agen, les fouilles archéo s'intensifient et les questions se posent quant à l'existence véritable d'une clientèle pour les TGV...
Les élu.e.s pro-LGV doutent tellement de l'intérêt de leur projet qu'iels en viennent à conclure des partenariats avec une association locale pour faire la publicité de la future gare LGV,pour 22 500 euros!
"L'objectif est de ratisser large en séduisant la Dordogne, le Lot, le Tarn-et-Garonne et les Landes. En incluant les communes satelites d'Agen ainsi que Villeneuve et Nérac, il a mise sur un bassin de 300 000 à 350 000 habitants".
Ainsi, L'Agglomération d'Agen et le Club TGV Gare d'Agen-Porte de la Gascognese donnent pour mission de "valoriser le projetde LGV"auprès des collectivités du Gers, du Tarn, du Tarn-et-Garonne, du Lot, du Lot-et-Garonne et de Dordogne.
Iels souhaitent ainsi faire du territoire une "nouvelle forme de métropole"et intensifier la compétition avec Montauban et Mont-de-Marsan
Ainsi donc, la population des territoires est un objet qu'il s'agit de "séduire", sur lequel "miser"que l'on va "ratisser" et mépriser puisqu'iels vivent dans des "satellites".
Une fois n'est pas coutume, cela montre bien combien ces acteurs ignorent la réalité des problématiques de déplacements sur le territoire :
le prix indécent du billet de TGV crée un plafond de verre pour la majeure partie de la population
– et tant qu'il en sera ainsi l'idée de voir plus d'un.e habitant.e sur deux emprunter le TGV quotidiennement relève d'un rêve de capitaliste.
Articles à lireicietla
•Dans le même temps, la société des LGV du Sud-Ouest lance une étude pour savoir à quoi servira la LGV pour les habitant.e.s d'Agen
Et oui, on lance un projet et on se demande a posteriori à quoi il va bien pouvoir servir !C'est ainsi que la SGPSO, société qui pilote l'ingénierie financière du projet, demande une étude à l'ESSEC –école de commercede Paris – des réponses précises quant à l'usage véritable des LGV.
On peut ainsi démonterla fable de "l'utilité publique"des projets d’État: il s'agit de créer des métropoles de plus en plus grosses indépendamment du besoin exprimé. Or "loin d’être marginale, la pauvreté comprise dans ses multiples dimensions est un phénomène qui touche 35 % à 40 % de la population plus ou moins sévèrement en Nouvelle-Aquitaine» d'après le rapport du CESER Nouvelle- Aquitaine (à consulterici)..
Qui aura donc le luxe d’emprunter le TGV Sud-Ouest ?
Article source
Négociation foncière : SNCF Réseau fait pression sur les propriétaires fonciers le long du tracé.A titre d'exemple, pour les terres agricoles dans le Tarn-et-Garonne, SNCF Réseau tente des'épargner les dossiers d'expropriation difficileset surtout coûteux !Plus précisément : le conseil départemental du Tarn-et-Garonne vote précipitamment la constitution de commissions d'aménagement foncier. Or, selon les choix effectués, certaines issues ouvrent la possibilité pour SNCF Réseau de ne plus avoir besoin d'indemniser à l'amiable ou par voie d'expropriation les propriétaires impactés sur le tracé des LGV, en optant pour des procédures deremembrement sous-traitées au
groupe SOGEXFO-SAFER...
Les consultations autour de gros appels d’offres de travauxse préparent, et qui aboutissent à des contrats à plusieurs milliards d’euros devant être signés en 2026.
En particulier, trois lots de 100 km ont été précisés en décembre par SNCF Réseau : un tronçon Sud Gironde-Dax correspondant à un contrat de conception-réalisation intégrant le génie civil (terrassements, ouvrages d'art) et les équipements ferroviaires (voies, caténaires). Ces mêmes opérations sont réparties sur deux tronçons pour la section Bordeaux-Toulouse. Les systèmes de signalisation et de télécommunication feront l'objet d'une démarche distincte sur l'ensemble du projet. Une convention est prévue au printemps 2025pour préciser le tout aux entreprises.Vinci, Bouygues, Eiffage, NGE, ... se frottent déjà les mains.
Bonjour,
Le combat contre la LGV se poursuit !
Les scientifiques en rébellion vous invitent le 6 février 2025 de 19h à 21h Campus place de la Victoire à Bordeaux pour débattre des enjeux et des contradictions des pratiques politiques qui font fi de la gravité de la catastrophe climatique.
Venez nombreux écouter la voix de la connaissance et du savoir
Environ 60 gendarmes sont intervenus « pour enlever les installations au sol et en hauteur, dans les arbres, sauf celles occupées par des personnes »© Crédit photo : ED JONES / AFP
Depuis plusieurs semaines, des opposants sont postés au nord de Toulouse, dans des arbres et tentent d’installer une ZAD sur des terrains appartenant à la SNCF et à Voies navigables de France
La gendarmerie a mené mardi près de Toulouse une nouvelle opération visant à évacuer un campement de militants écologistes opposés à la construction de la ligne LGV Bordeaux-Toulouse. Trois personnes ont été interpellées lors de l’intervention, selon la gendarmerie.
Article entier
Lire la suite : L’instabilité politique menace le calendrier de la LGV Bordeaux-Toulouse
Page 1 sur 171