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TGV en Albret

La Fête des luttes s'arrête à Sainte-Colombe en Bruilhois jeudi

31 juillet 2013 - Sud Ouest

Les associations Très grande vigilance (TGV) en Bruilhois, Attac 47 et le collectif 47 Notre-Dame-des-Landes organisent, demain, une fête champêtre, familiale et solidaire

La Fête des Luttes - qui réunira notamment celles et ceux opposés à la LGV - se réunira sur la Zad de Sainte-Colombe-en-Bruilhois, à l'emplacement de la future technopole d'Agen.

La Fête des Luttes - qui réunira notamment celles et ceux opposés à la LGV - se réunira sur la Zad de Sainte-Colombe-en-Bruilhois, à l'emplacement de la future technopole d'Agen. (Drouinaud Emilie)

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LGV : Sophie Borderie explique pourquoi le Lot-et-Garonne ne participera pas à son financement

17 octobre 2021 - La Dépêche 

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Pour la présidente du Lot-et-Garonne, participer au financement de la LGV fragiliserait la situation financière du département.

Plusieurs collectivités de Nouvelle-Aquitaine ne veulent pas mettre la main à la poche pour participer au financement de la ligne à grande vitesse (LGV) Toulouse-Bordeaux comme nous le relations dans notre édition d’hier. Parmi elles, Agglo Agen et le conseil départemental de Lot-et-Garonne.

Chacun a ses arguments. Sophie Borderie, la présidente du 47, a exposé les siens récemment devant l’assemblée départementale. «La participation demandée, 120 M€ à ce jour, paraît tout bonnement inconcevable, dit-elle. Ce montant représente l’équivalent de la construction de 8 nouveaux collèges».

Et de rappeler que «même si des conditions d’emprunt sont mises en place, le Département est déjà engagé sur de nombreux projets structurants prévus à son Plan pluriannuel d’investissement (PPI): plan collège, center parcs, échangeur routier, rocade de Marmande, etc.»

Elle indique par ailleurs que la mise en place par l’Etat «d’une fiscalité additionnelle spécifique à ce projet qui frapperait les ménages et les entreprises à hauteur de 35 M€ semble inopportune en période de redressement. La levée d'un nouvel emprunt de 120 M€ fragiliserait la situation financière du Département et dégraderait de manière inquiétante ses rations de gestion, notamment d'endettement".

Enfin, elle met en exergue une participation de l’Etat et de l’Europe  largement insuffisante» – 60% d’une dépense globale de 14,6 milliards d’euros – pour la réalisation d’une infrastructure nationale. Sophie Borderie échange régulièrement sur le sujet avec Alain Rousset, le président de la Nouvelle-Aquitaine. «Les échanges sont courtois et respectueux». Le conseil départemental délibérera sur la demande de participation au GPSO (Grand Projet du Sud-Ouest) le 22 octobre prochain en commission permanente. Les opposants à la LGV se mobilisent ce jeudi à 11 heures à la ferme Roque à Montesquieu.

Bertrand Chome

 

 

Et de rappeler que « même si des conditions d’emprunt sont mises en place, le Département est déjà engagé sur de nombreux projets structurants prévus à son Plan pluriannuel d’investissement (PPI) : plan collège, center parcs, échangeur routier, rocade de Marmande, etc. »
Elle indique par ailleurs que la mise en place par l’Etat « d’une fiscalité additionnelle spécifique à ce projet qui frapperait les ménages et les entreprises à hauteur de 35 M€ semble inopportune en période de redressement. La levée d'un nouvel emprunt de 120 M€ fragiliserait la situation financière du Département et dégraderait de manière inquiétante ses rations de gestion, notamment d'endettement".

 

Enfin, elle met en exergue une participation de l’Etat et de l’Europe « largement insuffisante » – 60 % d’une dépense globale de 14,6 milliards d’euros – pour la réalisation d’une infrastructure nationale. Sophie Borderie échange régulièrement sur le sujet avec Alain Rousset, le président de la Nouvelle-Aquitaine. « Les échanges sont courtois et respectueux ». Le conseil départemental délibérera sur la demande de participation au GPSO (Grand Projet du Sud-Ouest) le 22 octobre prochain en commission permanente. Les opposants à la LGV se mobilisent ce jeudi à 11 heures à la ferme Roque à Montesquieu.
 

 

 
 

Retards chroniques, lignes vétustes, … : UFC-Que choisir étrille SNCF Réseau

6 octobre 2021 - Sud Ouest 

 

Retards chroniques, lignes vétustes,… : UFC-Que choisir étrille SNCF Réseau

En 2019, 23 % du réseau dépasse alors sa durée de vie optimale.© Crédit photo : Thibault Toulemonde / «SUD OUEST»

Chaque jour, 5 millions d’usagers empruntent des trains vétustes et affectés de retards. Dans un bilan, l’UFC-Que choisir pointe la SNCF et son réseau dégradé, ses difficultés de financement, de gouvernance et demande une relance des investissements afin de répondre aux besoins des usagers
 

Avec 49 500 kilomètres de voies, le réseau français est le deuxième réseau le plus étendu d’Europe derrière l’Allemagne. Un réseau certes étendu mais peu circulé. Sur les 49 500 kilomètres, seuls 28 100 sont des lignes exploitées par la SNCF. La politique d’investissement menée depuis le début des années 1980 privilégie l’extension du réseau, en particulier la construction de lignes à grande vitesse, au détriment de l’entretien. Mais le réseau devient de plus en plus vieillissant et fragile comme souligné dans le bilan d’UFC-Que choisir.

2 milliards de minutes perdues

Au début des années 1980, la SNCF n’investit presque plus dans la maintenance. De 1 000 kilomètres de voies renouvelés, 500 kilomètres seulement le sont en 2005. Pourtant, une prise de conscience a lieu, notamment avec la publication en 2005 du rapport Rivier. Celui-ci souligne l’insuffisance des ressources allouées au renouvellement, amenant au vieillissement et à la dégradation des infrastructures. Des investissements massifs sont donc préconisés pour compenser le retard accumulé. Mais la France dépense nettement moins que ses voisins européens. En 2019, 23 % du réseau dépasse alors sa durée de vie optimale. Des ralentissements et des arrêts pour travaux sont imposés et pèsent sur la compétitivité des trains par rapport aux autres transports. En 2017, l’Autorité de la qualité de service dans les transports estimait même que les voyageurs perdaient au total 2 milliards de minutes chaque année en raison des retards de trains.

Des gains de productivité attendus

Le sous-investissement chronique affecte la performance du gestionnaire d’infrastructures SNCF Réseau qui a besoin de 2,8 fois plus d’agents et de 1,7 fois plus de capitaux que les pays voisins européens. Mais ce n’est pas pour autant que l’offre est plus grande, au contraire, la France propose 37 % moins de trains que l’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Suisse ou la Grande-Bretagne, d’après un rapport du Benchmark Prorail 2015-2018. Il n’est donc pas étonnant que les usagers attendent désespérément des gains de productivité et une offre satisfaisante sur le réseau ferré de France. Toutes les difficultés rencontrées se retrouvent notamment sur les petites lignes, souvent laissées pour compte.

Abandon des petites lignes

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« LGV, une imposture environnementale »

25 juillet 2013 - Sud Ouest

PHILIPPE BARBEDIENNE, DIRECTEUR SEPANSO AQUITAINE

« LGV, une imposture environnementale »

Au-delà de la prise en considération de l’effet d’éviction des projets de lignes à grande vitesse, qui ne peuvent être conduits qu’au détriment d’investissements plus utiles, la Sepanso dénonce depuis des années l’imposture écologique qui a consisté à vouloir travestir les chantiers de LGV, que chacun sait grands destructeurs de milieux naturels, terres agricoles et forêts, en véritables bienfaits pour l’environnement.

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LGV Bordeaux-Toulouse : le coup de frein de certaines collectivités en Nouvelle-Aquitaine

4 octobre 2021 - FR3 Régions

 
Coup dur pour le projet de Ligne à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Dax-Toulouse. Lors d'une réunion sur son financement par les collectivités de Nouvelle-Aquitaine, trois départements et une communauté d'agglomération ont refusé de confirmer, pour le moment, leur participation.
La ligne à grande vitesse du Sud Ouest consiste à constuire deux nouveaux tronçons : Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax.
La ligne à grande vitesse du Sud Ouest consiste à constuire deux nouveaux tronçons : Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax.• © David Thierry - PHOTOPQR- SUD OUES - MAXPPP
 
"C’était une première approche. Le projet en tant que tel, tout le monde est d’accord mais il reste quelques discussions et ajustements." Le vice-président de Région Nouvelle-Aquitaine, Renaud Lagrave, est plutôt satisfait mais ne rentre pas plus dans le détail. Mardi 28 septembre, une phase importante du projet de Ligne à grande vitesse Bordeaux-Dax-Toulouse s'est engagée. Les collectivités de Nouvelle-Aquitaine concernées par cette infrastructure ont été réunies à la préfecture de Bordeaux, sous l'égide d'Etienne Guyot, préfet de la région Occitanie, missionné par le Gouvernement afin de coordonner ce grand projet ferroviaire du Sud-Ouest.
Le projet GPSO prévoit deux tronçons : Bordeaux-Toulouse, Bordeaux Dax.
Le projet GPSO prévoit deux tronçons : Bordeaux-Toulouse, Bordeaux Dax.• © GPSO
 
 

Refus de quatre collectivités

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