Très Grande Vigilance en Albret était en sommeil depuis 2017, date à laquelle Emmanuel Macron avait enterré les différents projets de Lignes à grande vitesse. L’association s’est réveillée, sous l’égide de Charles d’Huyvetter, et organise plusieurs manifestations jusqu’à la fin du mois de décembre
Il est chef d’entreprise. Il a 60 ans, et rien ne le prédisposait à suivre cette voie de lutte. Depuis douze ans, cet homme qui frise les 2 mètres est le porte-parole des anti-LGV lot-et-garonnais. « Lorsque j’ai pris le micro en public pour la toute première fois en octobre 2009, à Langon à l’occasion d’une manifestation, je me suis demandé ce que j’allais bien pouvoir dire ! » Aujourd’hui, ce militant habitant Feugarolles, en plein cœur de l’Albret, est rompu à l’exercice depuis qu’il a fondé en 2009 l’association Très Grande Vigilance en Albret. « Au départ, nous étions cinq autour d’une table. Ensuite, une centaine puis 400 à l’occasion d’une grande réunion. C’est allé très vite. » La vitesse justement, il n’en veut pas entre Bordeaux et Toulouse. « On est contre les lignes à grande vitesse ici et ailleurs. »
L'émission "Pièces à conviction", qui paraît un mercredi par mois sur France 3 vers 23 heures, s'intéresse ce soir mercredi 4 décembre au TGV Sud Ouest.
L'enquête de Benoît Bertrand-Cadi, au titre évocateur,"Très cher TGV" s'intéresse à cette merveille technologique et fierté française...Enfin, surtout à ses ratés : des dizaines de milliards de déficits, des retards fréquents, des billets trop chers. Cette enquête mettra en avant le chantier de la LGVBordeaux-Tours et son financement, mais aussi lescontestations comme au Pays Basque où les opposants ne désarment pas et continuent à manifester et à s'opposer.
Une enquête de 52' réalisée par Benoît Bertrand-Cadi, produite par Ligne de Mire avec la participation de France 3
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L’Association de défense et d’information roquefortaise organisait, jeudi, une réunion d’information sur la Ligne à grande vitesse (LGV), le Transport express régional (TER) et sur les différentes infrastructures ferroviaires et routières qui les entourent.
En préalable, la présidente Bernadette Chevreau relatait la présence de l’association lors du dernier Conseil municipal de mercredi dernier. Elle annonçait ainsi le vote, à l’unanimité, des élus roquefortais qui se sont prononcés contre le TER et la liaison routière.
Forte de ce vote, l’association a obtenu, avec l’aide de conseillers municipaux, la mise en place d’une délibération contre le TER et la voie routière venant de la future gare nouvelle. Par ailleurs, le maire et la municipalité soutiennent l’association dans ses démarches et ses actions.
Un public réactif
Plus de 100 personnes assistaient à cette réunion à l’espace Arlabosse, dont Jean-Pierre Pin, le maire. Après présentation du comité, Mme Chevreau expliquait les raisons de sa création.
À l’aide d’un diaporama où les cartes détaillées se sont succédé, chacun a pu voir l’impact, sur son terrain, de la LGV, du TER, de la voie routière reliant la future nouvelle gare de Brax à la 656 et du contournement d’Agen (rocade ouest) provoquant des réactions. Une vidéo avec les futures infrastructures de l’agglomération d’Agen complétait les informations.
Cliquez , pour lire plusieurs articles :
[Dossier spécial] Le projet LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax
et
ce Lundi 8 novembre, 19 h 30, sur TV7:
Participez au débat entre le président socialiste de la Région Nouvelle-Aquitaine ( Alain Rousset) et le maire écologiste de Bordeaux (Pierre Hurmic) . Après c'est le tour à Jean-François Clédel, le président de la Chambre régionale de commerce et d’industrie, et Philippe Barbedienne, président de la Sepanso 33.
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