Ambiance sympathique , sous la bonne humeur
Venez nombreux ce jeudi 18 novembre 2021 à 20 h dans la salle des fêtes à Feugarolles !
C'est important pour pouvoir continuer à rester mobilisé contre ce projet hors normes !
Evidemment nous observerons les gestes barrière !
NdlR-TGV Albret : Les dates de l'enquète publique juste pour info et si les blabla de Malvy vous intéressent ,lisez
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Inaugurant hier le viaduc de la Dordogne où passera en 2017 la ligne à grande vitesse Tours-Bordeaux, Manuel Valls s'est voulu également rassurant pour la LGV Bordeaux-Toulouse. Les arrêtés préfectoraux sont signés. Les enquêtes publiques auront lieu du 14 octobre au 8 décembre.
Lire la suite : LGV Bordeaux-Toulouse : les enquêtes publiques du 14 octobre au 8 décembre 2014
Après Montesquieu, Feugarolles et Xaintrailles, les opposants au projet de ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse avaient rendez-vous à Sérignac ce samedi, toujours sur le tracé du tronçon de voies ferroviaires dont la mise en service est annoncée pour 2030.
Budget pas bouclé
Les anti-LGV militent pour la rénovation du réseau actuel, pas pour la LGV. Il n’est donc pas utile d’évoquer une date d’ouverture de la ligne. Ils l’ont redit hier rive gauche de la Garonne : pas question de céder alors que le financement n’est pas encore bouclé du côté de la région Nouvelle-Aquitaine, et que des collectivités territoriales comme le conseil département de Lot-et-Garonne comme son voisin de Gironde disent non à toute participation financière.
Conseillère départementale de Lavardac, Valérie Tonin s’est attardée à la tribune sur les 130 millions d’€ demandés au Département ici. "C’est un tiers du budget annuel du conseil départemental, et ça voudrait dire qu’un bon nombre des projets que nous voulons lancer serait stoppé ou retardés." Et l’élue de rappeler que les 42 élus du Département ont dit non à cette participation financière. En enfilant ensuite sa casquette de présidente d u comité départemental de tourisme, elle rappelait qu’aucun projet de développement dans ce secteur d’activité "n’a pris en compte la LGV."
Devant une centaine d’opposants à la ligne à grande vitesse, Charles D’huyvetter le président de l’asso TGV en Albret rappelait les enjeux. "Il est important de mettre la pression sur Rousset (président de la Région, NDLRà car il doit proposer un financement dans un mois." Ce militant de la première heure cite des chiffres, dont un pour marquer les esprits. Pour les 255 km de voies, c’est 40 000 € du mètre linéaire. Avec un zest d’ironie, il dit aussi qu’il "faut accepter les quatre milliards de Castex (lâchés cet été, NDLR) mais pour rénover les lignes existantes."
AG jeudi
Dans la petite foule d’un samedi matin à Serignac, des élus locaux comme le maire de Feugarolles Jean-François Garrabos, l’adjoint du Passage d’Agen Jean-Jacques Mirande ou encore l’ancien député-maire d’Agen Alain Veyret. Charles D’Huyveterre égraine les prochains rendez-vous avant la trêve hivernale ; samedi 20 à Pompogne, jeudi 25 au Passage d’Agen, samedi 27 à Casteljaloux, et ce jeudi (20 heures) à Feugarolles pour l’assemblée générale de TGV en Albret.
Une mission d'information du Sénat a pourtant récemment émis des critiques sur ce dispositif, souhaitant le réserver à des projets exceptionnels.
Ces contrats de partenariat public-privé, introduits il y a tout juste dix ans dans le droit français, sont pourtant controversés. Une mission d'information de la commission des lois du Sénat a d'ailleurs dressé cet été un bilan assez critique de ce dispositif et a formulé plusieurs propositions pour mieux l'encadrer.
Lire la suite : Manuel Valls veut relancer les partenariats public-privé
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