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TGV en Albret

LGV : Claude Semin a interpellé le président de l'agglo

31 octobre 2014 - La Dépêche ( du 30 oct )

Pour Claude Semin, «l'entretien avec Jean Dionis du Séjour fut viril mais correct.»/.photo DDM BG
Pour Claude Semin, «l'entretien avec Jean Dionis du Séjour fut viril mais correct.»/.photo DDM BG

Le rapport de la Cour des comptes sur la rentabilité des TGV a donné du baume au cœur des opposants à la Ligne Grande Vitesse, dont fait partie Claude Semin, président de l'Association de défense du patrimoine caudecostois. Il a interpellé Jean-Dionis du Séjour, à l'occasion de l'inauguration de la rue Marcelin-Serret.

Le président de l'agglo n'est peut-être pas de votre avis ?

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Message de notre président

13 octobre 2022 - TGV en Albret

Appel à mobilisation : manifestation

samedi 22 octobre à 13h30 à la gare de

Saint Macaire ( à côté de Langon).

TGV en Albret organise un covoiturage,

Départ Lavardac , à midi.

Merci de me contacter par mon portable

06.10.01.70.68 ou par mail Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.

Charles D’Huyvetter

 

LGV : «Le préfet doit suspendre l'enquête…»

29 octobre 2014 - La Dépêche ( interview avec Maître Tête )


LGV_Maitre_tete_interview_la_depecheEtienne Tête (en médaillon) doute que le rapport de la Cour des Comptes soit suivi d'effets…/Photo reproduction

Conseiller régional EELV dans le Rhône, Etienne Tête, est aussi avocat, et c'est avec cette casquette qu'il épaule les anti-LGV de la région. Pour lui, l'enquête d'utilité publique doit être stoppée.

La Dépêche du Midi : La Cour des comptes vient de rendre public un rapport défavorable au développement des lignes à grande vitesse. Cette analyse change-t-elle votre approche ?

Étienne Tête : «Ce que dit la Cour des comptes est tout sauf un scoop. On ne va rien changer à notre approche car on savait déjà ce qu'elle dit. La Cour des comptes relève que la redevance payée par la SNCF à Réseau ferré de France (RFF) est élevée. Rien de plus normal, il faut amortir le coût des travaux et RFF ne peut pas être déficitaire. Du coup, les redevances augmentent et les aides publiques sont annoncées de plus en plus importantes. Et je trouve surprenant — je ne suis pas le seul — que la seule réaction de la SNCF soit d'annoncer une augmentation de ses tarifs de première classe, de stopper les voitures-bars sur certaines lignes (là, je ne comprends pas…) et de diminuer les remboursements de billets, ce qui est tout bonnement scandaleux.»

L'avis de la Cour ne modifie en rien votre approche, alors ?

«C'est mieux encore, elle conforte nos thèses. On a avec les projets de ligne à grande vitesse le même raisonnement qu'avec les programmes de développement des voies autoroutières et pour ne citer qu'un projet le Lyon-Paris. Ce sont les mêmes mécanismes. Dans le domaine des autoroutes, les «barreaux» utiles ont été faits et il en va de même avec les lignes à grande vitesse. On doit désormais réfléchir à l'aménagement des voies existantes. Bordeaux-Toulouse bien sûr, mais aussi Lyon-Turin.»

Cette analyse de la Cour des comptes apparaît-elle une façon pour l'État de se désengager pour sortir par le haut ?

«Si c'était ça, j'en serais heureux. Mais l'avis de la Cour est rarement écouté. Elle développe l'aspect économique de la question mais on sait tous que l'homme politique développe une cécité dans ce domaine. C'est l'inverse du bon sens (…) Je ne suis pas sûr que cet avis de la Cour soit de nature à remettre en cause immédiatement les projets. En revanche, l'enquête publique est perturbée, percutée par ce rapport mais aussi par l'abandon de l'écotaxe. Ce scénario est voulu, c'est un message au citoyen. On lui dit, n'y allez pas, de toute façon le projet Bordeaux-Toulouse est abandonné. Pour moi, le préfet doit dans ce contexte suspendre l'enquête publique (elle court jusqu'au 8 décembre, N.D.L.R.)

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La question d’Hervé Gillé au ministre délégué du Transport, Clément Beaune

13 octobre 2022 - Youtube 

NdlR Tgv Albret : Cliquez le lien pour voir et écouter la vidéo

La question d’Hervé Gillé au ministre délégué du Transport, Clément Beaune

 

 

Pour le fer, il faut de l’argent

3 octobre 2022 - Sud Ouest Editorial

Éditorial : Pour le fer, il faut de l’argent

Benoît Lasserre© Crédit photo : Claude Petit

En l’espace de quelques jours, les patrons de deux fleurons de l’industrie française ont été poussés vers la porte de sortie par l’État, leur actionnaire principal ou unique. Jean-Bernard Lévy d’abord, banni de la tête d’EDF, puis Luc Lallemand, le PDG de SNCF Réseau, révoqué et remplacé dans la foulée par son ancien numéro 2, rappelé d’urgence du groupe La Poste qu’il avait rejoint en mai dernier. Ces deux dirigeants mis sur la touche avaient pour point commun de préférer le franc-parler à la diplomatie, sachant que la franchise n’est pas forcément synonyme de vérité.

 

Face à l’ampleur de la mission, rénover le parc nucléaire pour l’un et le réseau ferroviaire pour l’autre, Jean-Bernard Lévy et Luc Lallemand ont maintes fois tiré la sonnette d’alarme financière et ont fini par lasser l’Élysée, Matignon et Bercy. Cela fait beaucoup pour espérer conserver son fauteuil. D’autant plus que l’État n’a pas manqué de rappeler à Luc Lallemand qu’il avait effacé une trentaine de milliards de l’endettement abyssal de SNCF Réseau, lui réclamant en revanche le retour à l’équilibre dès 2024. Une mission quasiment impossible.

Ce n’est pas le PDG du groupe SNCF, Jean-Pierre Farandou, qui dira le contraire, lui qui demande à son actionnaire une enveloppe de 100 milliards d’euros pour les quinze ans à venir, indispensable à ses yeux pour doter le pays d’un réseau ferroviaire digne de ce nom et en concordance avec notre époque. Les usagers de Nouvelle-Aquitaine en sont souvent les premières victimes.

« Partisans et adversaires de la grande vitesse se rejoignent en tout cas sur un constat proche d’une lapalissade. Pas de fer sans argent »

Or, le projet de loi de finances 2023 n’attribue que 3,8 milliards d’euros à l’Agence de financement des infrastructures de transports dont la présidence vient d’être confiée à Jean Castex, celui qui, alors à Matignon, a relancé les projets de grande vitesse Montpellier/Perpignan, Bordeaux/Dax et Bordeaux/Toulouse. Des lignes juridiquement sur les rails mais toujours contestées sur le terrain politique, écologique et économique, comme l’a montré la manifestation anti-LGV organisée samedi à Langon.

Partisans et adversaires de la grande vitesse se rejoignent sur un constat proche d’une lapalissade. Pas de fer sans argent. Reste à savoir comment on l’investit, en observant que le premier quinquennat d’Emmanuel Macron a débuté par le désaveu du TGV au profit « des transports du quotidien », expression fourre-tout dans laquelle chacun met les trains qui lui conviennent, et s’est achevé, précisément avec Jean Castex, par la renaissance, terme ô combien macroniste, de chantiers voués la veille aux gémonies.

 

Qu’il s’agisse du ferroviaire et des énergies, chapitres majeurs du débat sur le réchauffement climatique, deux politiques ne sont plus acceptables de la part de l’État : celle du zigzag et celle du petit bras.

   

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