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Ligne à grande vitesse au sud de Bordeaux : ils refusent de payer « l’impôt LGV » inscrit sur leur taxe foncière

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10 octobre 2024  -Sud Ouest

Ligne à grande vitesse au sud de Bordeaux : ils refusent de payer « l’impôt LGV » inscrit sur leur taxe foncière

Des panneaux d’opposition à la taxe LGV ont fleuri partout dans le Sud-Ouest, comme ici à Saint-Pierre-d’Aurillac.© Crédit photo : A. D.

Un manuel de « désobéissance fiscale » a été publié par les associations opposées au projet ferroviaire GPSO. Certains récalcitrants expliquent pourquoi ils retranchent plusieurs euros de leur taxe foncière

Avis à tous les propriétaires : il faut payerla taxe foncière 2024avant le 15 ou le 20 octobre, selon les modalités de règlement. Une bonne occasion d’ausculter le document transmis par l’administration fiscale. Une notice explicative est présente en bas à gauche de la deuxième page : « Les taxes spéciales comprennent la TSE Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest pour XX euros. » Traduction : la nouvelle taxe spéciale d’équipement liée au projet ferroviaire de lignes à grande vitesse (LGV) au sud de Bordeaux. Elle a vu le jour en 2023 pour la majorité des habitants du Sud-Ouest situés à moins d’une heure d’une future gare LGV (Bordeaux, Agen, Mont-de-Marsan, Dax).

La liste des 2 340 communes de Nouvelle-Aquitaine et d’Occitanieoù s’applique « l’impôt LGV » a été inscrite dans le marbre. Sur une facture totale de 14 milliards d’euros du projet GPSO, les collectivités locales en payent une partie directement sous forme de subvention, le reste en prélevant sur le contribuable cette fameuse taxe LGV pendant quarante ans. Elle pourra être réévaluée chaque année en fonction de l’évolution du coût de la vie.

La charrue avant les bœufs

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Les Soulèvements de la Terre viennent dire non à la LGV en Gironde, la préfecture craint de fortes tensions

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6 octobre 2024 - Sud Ouest

Les Soulèvements de la Terre viennent dire non à la LGV en Gironde, la préfecture craint de fortes tensions

La préfecture de Gironde craint que des débordements se produisent en Gironde, comme cela fut le cas à Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres© Crédit photo : XAVIER LEOTY / SO

Du 11 au 13 octobre, les Soulèvements de la Terre et le collectif LGV Non Merci organisent un week-end de mobilisation en Gironde. La préfecture prend déjà des mesures visant à anticiper les tensions

 
 

Ils promettent un week-end « haut en couleur » pour réclamer un « freinage d’urgence » sur le projet de LGV entre Bordeaux, Dax et Toulouse. Du 11 au 13 octobre, le collectif LGV Non Merci s’associe aux Soulèvements de la Terre, collectif écologiste radical connu notamment pour avoir mené la révolte contre le projet d’aéroport à Notre-Dame-des-Landes, en Loire-Atlantique, ou contre les bassines agricoles à Sainte-Soline, dans les Deux-Sèvres, pour organiser un week-end de mobilisation sur le tracé potentiel de cette ligne à grande vitesse en Gironde.Une mobilisation qui inquiète du côté de la préfecture de Gironde qui vient de prendre deux arrêtés préventifs. Le premier interdit temporairement, du 7 au 14 octobre, le port et le transport d’armes (ou d’objets pouvant constituer une arme) sans motif légitime dans 30 communes du Sud-Gironde. Le second interdit, toujours du 7 au 14 octobre, l’achat, la vente, la session, l’utilisation, le port et le transport des artifices de divertissement sur ces mêmes 30 communes.

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LGV Bordeaux-Toulouse : la commission d'enquête donne son feu vert, les opposants dénoncent "un manque total d'objectivité"

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3 octobre 2024 - FR3 - Aquitaine

À l’issue d’une consultation organisée cet été, la commission d’enquête publique a donné son feu vert à une autorisation environnementale des aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux pour la construction de la ligne à grande vitesse vers Toulouse. Et ce malgré plus de 90 % d'avis défavorables. Les opposants dénoncent des conclusions "orientées" et la volonté du préfet de Gironde "de passer en force".

"Quand on lit les conclusions de la commission d'enquête, tous les éléments de discours sont alignés sur celui du préfet et de la maîtrise d'ouvrage". C'est une grosse déception et surtout"une grande colère"pour les membres de la coordination LGV NON MERCI qui rassemble plusieurs associations opposées au projet de ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse.

Cette enquête publique environnementale des aménagements ferroviaires du sud de Bordeaux (AFSB) était pour ces opposants"la dernière étape légale avant le démarrage des travaux tels que défrichage, abattage, destruction de nids dans des bâtiments".

Manque d'objectivité

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LGV Bordeaux-Toulouse : des parlementaires demandent à Michel Barnier un moratoire et un référendum

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3 octobre 2024 - Le Figaro +Aqui.fr

NdlR Tgv en Albret : Sur le même sujet : Aqui.fr  cliquez : : Vers un referendum sur pe projet GPSO ?

Pour info : Les signataires du courrier : 
Nicolas Thierry, député de la 2ème circonscription de Gironde (EELV)
Loïc Prud’homme, député de la 3ème circonscription de Gironde (LFI)
Sophie Mette, députée de la 9ème circonscription de Gironde (Modem)
Mathilde Feld, députée de la 12ème circonscription de Gironde (LFI)
Mme Monique De Marco, sénatrice de Gironde (EELV)

Quatre députés et une sénatrice, issus des rangs de la gauche, du centre et des écologistes, ont écrit au premier ministre pour lui demander la mise en place d’un moratoire et l’organisation d’un référendum sur ce projet contesté.

Alors que le budget 2025 devrait être bientôt présenté à l’Assemblée nationale, et que le déficit public serait en passe de dépasser les 6% du PIB, plusieurs élus girondins proposent une piste d’économies de quelques milliards d’euros : renoncer à la création d’une ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse, au profit de la rénovation de la ligne existante. Pour enfin trancher ce débat qui fracture le sud-ouest depuis des décennies, cinq parlementaires ont écrit à Michel Barnier - qui a prononcé son discours de politique générale ce mardi après-midi - pour que les citoyens concernés par ce vaste aménagement puissent se prononcer une fois pour toutes.

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RER basco-landais : le Grand Dax s’engage aussi

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28 septembre 2024-Sud Ouest

RER basco-landais : le Grand Dax s’engage aussi

Le conseil communautaire a voté mercredi 25 septembre sa participation financière dans la première étape du projet de RER basco-landais.© Crédit photo : Isabelle Louvier / SO

La première étape du projet débute fin décembre 2024 avec cinq trains supplémentaires par jour entre Dax et Hendaye. Toutes les collectivités concernées sont mises à contribution

 

« L’agglomération du Grand Dax s’est engagée aux côtés de la Région Nouvelle-Aquitaine, du Syndicat des mobilités Pays basque Adour (SMPBA), des communautés de communes Maremne Adour Côte sud (Macs), Seignanx et Pays d’Orthe et Arrigans dans le déploiement d’un service express régional métropolitain (SERM) nommé RER basco-landais. Le RER basco-landais, labellisé par l’État, permettrait d’ici 2032 d’offrir une liaison entre Dax et le Pays basque toutes les 30 minutes, d’augmenter la fréquence, de décongestionner les axes routiers et de contribuer aux objectifs de transition écologique », résume la communauté de communes du Grand Dax.

« La première étape de ce projet sera visible dès fin décembre 2024,avec une offre de cinq trains supplémentaires par jour entre Dax et Hendaye », poursuit le communiqué de la colleDans ce projet, la Région Nouvelle-Aquitaine participe à hauteur de 50 % . Les taux de participation du SMPBA, de Macs et du Grand Dax ont été calculés sur la base de cinq critères : habitants, emplois, gare et redevance, linéaire de voies. Ainsi, au regard des différents critères, la contribution annuelle entre collectivités est ainsi répartie : 500 000 euros pour la Région, 340 000 euros pour le SMPBA, 90 000 euros pour Macs, 70 000 pour le Grand Dax, pour un total d’un million d’euros.ctivité, dont les élus ont voté mercredi 25 septembre en Conseil communautaire leur participation financière via une contribution annuelle de 70 000 euros.

 

   
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