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TGV en Albret

Mobilisation No 1 , pour redire NON à la LGV

13 octobre 2021 

Venons nombreux ce jeudi 14 octobre à 11 h à la Ferme Roques - Montesquieu (47) !

 

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LGV : Sophie Borderie explique pourquoi le Lot-et-Garonne ne participera pas à son financement

17 octobre 2021 - La Dépêche 

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Pour la présidente du Lot-et-Garonne, participer au financement de la LGV fragiliserait la situation financière du département.

Plusieurs collectivités de Nouvelle-Aquitaine ne veulent pas mettre la main à la poche pour participer au financement de la ligne à grande vitesse (LGV) Toulouse-Bordeaux comme nous le relations dans notre édition d’hier. Parmi elles, Agglo Agen et le conseil départemental de Lot-et-Garonne.

Chacun a ses arguments. Sophie Borderie, la présidente du 47, a exposé les siens récemment devant l’assemblée départementale. «La participation demandée, 120 M€ à ce jour, paraît tout bonnement inconcevable, dit-elle. Ce montant représente l’équivalent de la construction de 8 nouveaux collèges».

Et de rappeler que «même si des conditions d’emprunt sont mises en place, le Département est déjà engagé sur de nombreux projets structurants prévus à son Plan pluriannuel d’investissement (PPI): plan collège, center parcs, échangeur routier, rocade de Marmande, etc.»

Elle indique par ailleurs que la mise en place par l’Etat «d’une fiscalité additionnelle spécifique à ce projet qui frapperait les ménages et les entreprises à hauteur de 35 M€ semble inopportune en période de redressement. La levée d'un nouvel emprunt de 120 M€ fragiliserait la situation financière du Département et dégraderait de manière inquiétante ses rations de gestion, notamment d'endettement".

Enfin, elle met en exergue une participation de l’Etat et de l’Europe  largement insuffisante» – 60% d’une dépense globale de 14,6 milliards d’euros – pour la réalisation d’une infrastructure nationale. Sophie Borderie échange régulièrement sur le sujet avec Alain Rousset, le président de la Nouvelle-Aquitaine. «Les échanges sont courtois et respectueux». Le conseil départemental délibérera sur la demande de participation au GPSO (Grand Projet du Sud-Ouest) le 22 octobre prochain en commission permanente. Les opposants à la LGV se mobilisent ce jeudi à 11 heures à la ferme Roque à Montesquieu.

Bertrand Chome

 

 

Et de rappeler que « même si des conditions d’emprunt sont mises en place, le Département est déjà engagé sur de nombreux projets structurants prévus à son Plan pluriannuel d’investissement (PPI) : plan collège, center parcs, échangeur routier, rocade de Marmande, etc. »
Elle indique par ailleurs que la mise en place par l’Etat « d’une fiscalité additionnelle spécifique à ce projet qui frapperait les ménages et les entreprises à hauteur de 35 M€ semble inopportune en période de redressement. La levée d'un nouvel emprunt de 120 M€ fragiliserait la situation financière du Département et dégraderait de manière inquiétante ses rations de gestion, notamment d'endettement".

 

Enfin, elle met en exergue une participation de l’Etat et de l’Europe « largement insuffisante » – 60 % d’une dépense globale de 14,6 milliards d’euros – pour la réalisation d’une infrastructure nationale. Sophie Borderie échange régulièrement sur le sujet avec Alain Rousset, le président de la Nouvelle-Aquitaine. « Les échanges sont courtois et respectueux ». Le conseil départemental délibérera sur la demande de participation au GPSO (Grand Projet du Sud-Ouest) le 22 octobre prochain en commission permanente. Les opposants à la LGV se mobilisent ce jeudi à 11 heures à la ferme Roque à Montesquieu.
 

 

 
 

LETTRE AU premier ministre

15 juin 2013 - Notre lettre ( aussi paru partiellement dans "Le Petit Bleu" du 15 juin 2013)

   Monsieur le Premier Ministre

    Hôtel de Matignon

    57, rue de Varenne

    75700  – PARIS

   Feugarolles, le 13 juin 2013

Objet : Solution alternative au projet de LGV Bordeaux-Toulouse

Monsieur le Premier Ministre,

Depuis quatre ans, Coordination 47, qui regroupe douze associations dans le Lot-et-Garonne mais en concertation avec la Gironde, les Landes et le Tarn-et-Garonne, et dont je suis le porte-parole, défend une solution alternative raisonnable sur la ligne existante Bordeaux-Toulouse modernisée plutôt que la construction d’une nouvelle LGV.

Alors que nos arguments rejoignent ceux d’instances telles que la Cour des Comptes, le Conseil d’analyse économique, la commission des finances de l’Assemblée Nationale, la commission économique du Sénat, les Assises du Ferroviaire, le CESE, etc. donnant priorité à la modernisation du réseau et en cohérence avec la lettre de mission du ministre Cuvillier, nous n’avons jamais pu être entendus.

Alors que nous défendons un sage compromis entre gain de temps, rentabilité, faisabilité, économie et transports du quotidien, nous connaissons et dénonçons les lobbys de certains élus d’Aquitaine et de Midi-Pyrénées qui s’efforcent d’influencer ce dossier en brandissant des arguments mensongers.

C’est dans un esprit de continuité de concertation et d’équité que nous vous apportons, par ce courrier, quelques remarques sur l’intervention de ces élus qui sollicitent ou ont obtenu un rendez-vous auprès de votre ministère ou du Président de la République.

Lire la suite : LETTRE AU premier ministre

   

Retards chroniques, lignes vétustes, … : UFC-Que choisir étrille SNCF Réseau

6 octobre 2021 - Sud Ouest 

 

Retards chroniques, lignes vétustes,… : UFC-Que choisir étrille SNCF Réseau

En 2019, 23 % du réseau dépasse alors sa durée de vie optimale.© Crédit photo : Thibault Toulemonde / «SUD OUEST»

Chaque jour, 5 millions d’usagers empruntent des trains vétustes et affectés de retards. Dans un bilan, l’UFC-Que choisir pointe la SNCF et son réseau dégradé, ses difficultés de financement, de gouvernance et demande une relance des investissements afin de répondre aux besoins des usagers
 

Avec 49 500 kilomètres de voies, le réseau français est le deuxième réseau le plus étendu d’Europe derrière l’Allemagne. Un réseau certes étendu mais peu circulé. Sur les 49 500 kilomètres, seuls 28 100 sont des lignes exploitées par la SNCF. La politique d’investissement menée depuis le début des années 1980 privilégie l’extension du réseau, en particulier la construction de lignes à grande vitesse, au détriment de l’entretien. Mais le réseau devient de plus en plus vieillissant et fragile comme souligné dans le bilan d’UFC-Que choisir.

2 milliards de minutes perdues

Au début des années 1980, la SNCF n’investit presque plus dans la maintenance. De 1 000 kilomètres de voies renouvelés, 500 kilomètres seulement le sont en 2005. Pourtant, une prise de conscience a lieu, notamment avec la publication en 2005 du rapport Rivier. Celui-ci souligne l’insuffisance des ressources allouées au renouvellement, amenant au vieillissement et à la dégradation des infrastructures. Des investissements massifs sont donc préconisés pour compenser le retard accumulé. Mais la France dépense nettement moins que ses voisins européens. En 2019, 23 % du réseau dépasse alors sa durée de vie optimale. Des ralentissements et des arrêts pour travaux sont imposés et pèsent sur la compétitivité des trains par rapport aux autres transports. En 2017, l’Autorité de la qualité de service dans les transports estimait même que les voyageurs perdaient au total 2 milliards de minutes chaque année en raison des retards de trains.

Des gains de productivité attendus

Le sous-investissement chronique affecte la performance du gestionnaire d’infrastructures SNCF Réseau qui a besoin de 2,8 fois plus d’agents et de 1,7 fois plus de capitaux que les pays voisins européens. Mais ce n’est pas pour autant que l’offre est plus grande, au contraire, la France propose 37 % moins de trains que l’Allemagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Suisse ou la Grande-Bretagne, d’après un rapport du Benchmark Prorail 2015-2018. Il n’est donc pas étonnant que les usagers attendent désespérément des gains de productivité et une offre satisfaisante sur le réseau ferré de France. Toutes les difficultés rencontrées se retrouvent notamment sur les petites lignes, souvent laissées pour compte.

Abandon des petites lignes

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LGV Bordeaux-Toulouse : le coup de frein de certaines collectivités en Nouvelle-Aquitaine

4 octobre 2021 - FR3 Régions

 
Coup dur pour le projet de Ligne à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Dax-Toulouse. Lors d'une réunion sur son financement par les collectivités de Nouvelle-Aquitaine, trois départements et une communauté d'agglomération ont refusé de confirmer, pour le moment, leur participation.
La ligne à grande vitesse du Sud Ouest consiste à constuire deux nouveaux tronçons : Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax.
La ligne à grande vitesse du Sud Ouest consiste à constuire deux nouveaux tronçons : Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax.• © David Thierry - PHOTOPQR- SUD OUES - MAXPPP
 
"C’était une première approche. Le projet en tant que tel, tout le monde est d’accord mais il reste quelques discussions et ajustements." Le vice-président de Région Nouvelle-Aquitaine, Renaud Lagrave, est plutôt satisfait mais ne rentre pas plus dans le détail. Mardi 28 septembre, une phase importante du projet de Ligne à grande vitesse Bordeaux-Dax-Toulouse s'est engagée. Les collectivités de Nouvelle-Aquitaine concernées par cette infrastructure ont été réunies à la préfecture de Bordeaux, sous l'égide d'Etienne Guyot, préfet de la région Occitanie, missionné par le Gouvernement afin de coordonner ce grand projet ferroviaire du Sud-Ouest.
Le projet GPSO prévoit deux tronçons : Bordeaux-Toulouse, Bordeaux Dax.
Le projet GPSO prévoit deux tronçons : Bordeaux-Toulouse, Bordeaux Dax.• © GPSO
 
 

Refus de quatre collectivités

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