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LGV : Borloo prend le train en marche

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28 septembre 2010 - Le Sud Ouest  Par Jean-Bernard Gilles

Le ministre est aujourd'hui à Bordeaux pour confirmer les fuseaux d'études des futures lignes vers Toulouse et l'Espagne. Et parler financement avec les élus.

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Jean-Louis Borloo va également constater de visu la fin du bouchon ferroviaire bordelais (Photo Stéphane Lartigue)

Le ministre de l'Écologie est aujourd'hui à Bordeaux pour un déplacement 100 % ferroviaire. Il constatera d'abord l'achèvement des travaux du bouchon ferroviaire de Bordeaux, ville désormais desservie par quatre voies ferrées. Il vient aussi arrêter les fuseaux d'études, la bande de 1 000 mètres, pour les prolongements de la ligne nouvelle en direction de Toulouse et d'Hendaye, un dossier sur lequel Dominique Bussereau, le secrétaire d'État aux Transports, a mouillé la chemise jusque-là. Le ministre est aussi attendu sur les dernières avancées de la négociation financière avec les collectivités locales du Grand Sud-Ouest pour la construction de la ligne Tours-Bordeaux.

1 Un contrat avec Vinci à la fin de l'année ?

La mission du médiateur nommé par le gouvernement n'est pas terminée. Claude Libermann négocie avec les élus du Sud-Ouest les conditions financières de la participation des collectivités à la ligne Tours-Bordeaux. « On avance, mais on n'y est pas tout à fait », explique-t-il à « Sud Ouest ». L'intervention publique locale est estimée à 1,7 milliard sur un projet de 7, 2 milliards d'euros. Les élus discutent bec et ongles les conditions de leur engagement.

Tout le problème est de trouver un lien acceptable par tous entre les travaux de Tours et Bordeaux qui priment et le démarrage des extensions vers l'Espagne et vers Toulouse. Avant de régler une note de 350 millions d'euros pour la seule ligne Tours-Bordeaux, les ténors politiques toulousains, Martin Malvy, le président (PS) de Région en tête, veulent des engagements de dates de travaux au-delà de Bordeaux : « Nous ne les avons toujours pas obtenues à ce jour. » Mais s'ils obtiennent satisfaction, les élus sud- aquitains voudront un traitement identique.

L'intervention de Jean-Louis Borloo est très attendue sur ce point. Car le contrat de concession ne peut être signé avec Vinci sans un accord financier global. Le groupement (Axa, Caisse des dépôts) conduit par le numéro un mondial du BTP boucle son tour de table. Il doit trouver 3 milliards d'euros environ sur les marchés pour construire et avoir le droit d'exploiter la ligne nouvelle Tours-Bordeaux pendant cinquante ans. Réseau ferré de France (RFF) croit une signature possible pour la fin de l'année. Pour un démarrage des travaux courant 2011 et une livraison en 2016. À voir !

2 Un soutien attendu à Euratlantique

Lorsqu'il arrivera ce matin gare Saint-Jean, le ministre sera sollicité par le maire de Bordeaux sur le dossier Euratlantique. Il le connaît bien pour avoir œuvré personnellement pour la création de cette vaste opération d'intérêt national. L'État y est impliqué. Et signera aujourd'hui une mise à disposition du foncier ferroviaire.

Rappelons qu'il s'agit de créer autour de la gare Saint-Jean, dans les communes de Bordeaux, Bègles et Floirac, un quartier d'affaires, de logements et de commerces d'envergure. C'est Alain Juppé qui préside le conseil d'administration d'Euratlantique. Il plaide pour un engagement de l'État sur la modernisation de la gare que la SNCF et les collectivités locales ne peuvent assumer seules. Le maire de Bordeaux, qui fait le siège de Guillaume Pepy, le patron de la SNCF, espère un soutien du ministre. On évoque à Bordeaux un investissement de 200 à 300 millions d'euros. La gare Saint-Jean accueillera demain 20 millions de passagers par an (contre 9 aujourd'hui). Les études précises vont démarrer pour quelques mois. L'État s'y associera. Un premier pas.

3 Déminer l'opposition aux tracés

L'étape bordelaise du jour est toutefois essentielle, puisque le ministre va arrêter les fuseaux de 1 000 mètres qui feront, dans un deuxième temps, l'objet d'études plus fines de tracés. On connaît les points de contestation. En Gironde, outre la commune de Préchac, où les habitants se sont sentis trompés par le choix final de RFF, c'est la sortie de Saint-Médard-d'Eyrans, dans le secteur des Graves, qui provoque de vives oppositions. En Lot-et-Garonne, l'association Très grande vigilance en Albret est aux aguets. Elle continue de plaider l'utilisation de la voie existante alors que le fuseau quitte la vallée de la Garonne pour sinuer sur les coteaux de Feugarolles et de Vianne avant de franchir la Baïse. Le ministre rappellera la nécessité de veiller à une bonne insertion de la ligne nouvelle au sud de Bayonne. Il préconisera l'enfouissement d'une partie de la ligne. Celui-ci pourrait coûter 1 milliard d'euros de plus. Mais les opposants contestent l'utilité même de la construction d'une ligne nouvelle entre Bayonne et Hendaye. « Les études qui justifient la ligne nouvelle sont erronées, mais nous affrontons la volonté politique de deux États », note Victor Pachon, le leader de la contestation en Pays basque. Il est sans illusions sur le projet de fuseau dévoilé aujourd'hui. Et appelle à une manifestation le 11 décembre.

 

   

En Lot et garonne: la lutte se durcit contre la LGV

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16 septembre 2010  Le Sud Ouest - Par ANNE GRESSER

À deux mois d'une grande manifestation agenaise le 13 novembre, le collectif peaufine ses arguments qui visent à dénoncer l'inutilité de la Ligne à grande vitesse

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La coordination 47 pour le TGV sur des lignes existantes rénovées veut intensifier sa lutte. PHOTO A. GR.

 

La Coordination 47 pour le TGV sur les lignes existantes n'a pas connu de trêve estivale. Aujourd'hui, tous sont en ordre de bataille pour organiser la grande manifestation du 13 novembre à Agen. Car aujourd'hui, « il faut convaincre de l'inutilité de cette ligne ». Tout l'été, ses membres ont travaillé à élaborer un argumentaire « en nous appuyant sur les données même de RFF, le maître d'ouvrage », précisent ses adhérents. Un argumentaire qui vise à dénoncer l'inutilité de la Ligne à grande vitesse (LGV) au regard des investissements nécessaires, des dommages causés à l'environnement et à l'ensemble du paysage lot-et-garonnais (lire encadré).

Ces arguments étaient présentés il y a quelques jours devant près de 200 personnes à Feugarolles. « On a fait un tabac », s'enthousiasme Charles d'Huyvetter, président de Très grande vigilance en Albret, association membre du collectif. Cet argumentaire est présenté depuis la rentrée non seulement aux membres des associations, mais également aux élus : Conseil général, député, mais aussi RFF. « Et demain, nous rencontrons les vice-présidents de la Communauté d'agglomération d'Agen, à Boé », complète Claude Semin, président de l'association de Caudecoste, et de la coordination départementale.

Si l'association perçoit des oreilles d'élus plus perméables à leurs arguments, notamment sur le coût « quatre fois supérieur à une rénovation des lignes », ou sur le Grenelle de l'environnement, ce qu'elle veut, c'est l'abandon de la construction de cette ligne.

Actions et réunions

Alors, « on met la pression », selon Claude Semin. Il veut « arroser tout le département ». Les affichettes jaunes aux slogans chocs ne sont pas prêtes de disparaître du paysage. Mais cette intensification de la lutte passe aussi par du concret.

D'où les réunions et les actions, appelées à s'intensifier jusqu'au point d'orgue du 13 novembre à Agen. Ce jour-là, la Coordin- ation 47 pour le TGV sur les lignes existantes organise une manifestation qui devrait dépasser les frontières du département, à l'image de celle de Nérac, le 6 mars dernier, qui a rassemblé plusieurs milliers de personnes.

D'ici là, des réunions publiques auront lieu à Marmande, Tonneins, Aiguillon, Port-Sainte-Marie, Agen, Nérac et Villeneuve-sur-Lot. Dans cette dernière ville, la Coordination 47 va même s'offrir un stand sur le Salon horizon vert.

 

   

LGV : manifestation en novembre, en ville

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6 septembre 2010 -La Dépêche  S.B.

Même l'été, ce genre de panneaux a fleuri du côté de Sainte-Colombe-en-Bruilhois, concernée par le tracé de la LGV présenté en janvier./Photo J.-M. M.

 

lgv_manifestation_en_villeUne réunion le 17 septembre avec les élus, une manifestation régionale à Agen le 13 novembre. Les opposants au projet de LGV passent la seconde.

En novembre, mobilise tes membres. Ce pourrait être le dicton certes détourné qu'utiliseraient les responsables de la Coordination 47 des opposants à la LGV, la désormais fameuse ligne à grande vitesse attendue pour 2 020 dans le département et dans le meilleur des cas.

Le 13 novembre est en effet une date cochée en noir sur le calendrier des anti-LGV, qui aux dires de Claude Semin, l'un de leurs porte-parole, ne sont pas restés inactifs (lire nos précédentes éditions). « Nous étions dans une phase de construction de nos arguments techniques », explique cet opposant de Caudecoste. « Désormais, on passe à la phase d'explication vis-à-vis de la population ». Explication, et sensibilisation sous diverses formes que ceux qui défendent l'idée d'un TGV sur les lignes existantes gardent au chaud.

Chaude également, toujours selon Claude Semin, l'entrevue avec Jean Dionis, flanqué de Christian Dezalos, maire de Boé et premier vice-président de la communauté d'agglomération (CAA). C'était en juillet. « Nous n'arriverons pas à convaincre le maire d'Agen. En revanche, nous avons la prétention de croire que nous sommes parvenus à faire entendre nos arguments auprès d'une partie des conseillers généraux de la majorité comme de l'opposition. » Deux rencontres distinctes en juillet, aussi.

MORATOIRE

« Nous leur demandons de décider d'un moratoire et de ne pas voter l'engagement financier du département pour la réalisation de la ligne (140 millions d'€ au total pour le Lot-et-Garonne, NDLR). » Le conseil général doit aussi abonder le financement d'une étude voulue par un collectif d'élus concernés par le fuseau de 1 000 m, tracé préalable de la LGV dessiné en janvier dernier.

« Il n'est pas concevable qu'avec les arguments que nous avançons, qui sont bâtis sur les données techniques de Réseau ferré de France, le conseil général puisse décider de poursuivre dans cette voie. »

Les anti-LGV ont en revanche choisi la voie de la réunion, avec les opposants du Tarn-et-Garonne, et veulent se rapprocher aussi de la Gironde. Germe l'idée d'actions communes. Semin le répète : « Nous voulons interpeller la population, toute la population, y compris celle du nord du département.

Quatre réunions sont prévues dans les prochains mois. Dans le cartable des membres de la coordination, un document synthèse de l'expertise réalisée pendant l'été. Ces conclusions ne vont bien sûr pas dans le même sens de circulation que la LGV présentée pendant l'hiver.

Présentation aux élus

Le 17 septembre, lors d'une réunion privée à l'espace François-Mitterrand de Boé, la Coordination 47 doit présenter les conclusions de sa contre-étude aux élus de l'agglomération agenaise dont les communes sont traversées par le fuseau de 1 000 m, et qui le seront encore par la bande de 500 m qui doit être officialisée courant 2011. Les enquêtes publiques doivent être lancées dans les deux ans à venir. Le calendrier prévisionnel prévoit une mise en service très théorique à l'horizon 2020.

Le chiffre : 23

trajet > décompte. La Coordination des militants anti-LGV affirme documents à l'appui que le gain de temps entre Toulouse et Paris serait en fait de 23 minutes seulement entre une voie nouvelle et une LGV sur les voies existantes.

« Les grands élus, le président du conseil régional par exemple, affichent la concertation comme maître mot mais refusent de nous recevoir. »

Claude Semin, porte-parole de la Coordination 47 des associations anti-LGV.

 

 

 

 

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La mort des petites lignes

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04/09/2010 La Dépêche par S. B.

Ndlr : Sans commentaire

 

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Un train passe sur le viaduc de Rocherolles, le 3 mars 2004 à Folles près de Limoges AFP/Archives

 

Faute d'argent, il faudra sacrifier les lignes SNCF peu fréquentées. C'est ce qu'a confirmé, hier, le patron de Réseau Ferré de France. 3 000 à 4 000 km de lignes poseraient problème, y compris en Midi-Pyrénées où le Plan Rail a pourtant permis de sauver une bonne partie du réseau.

 

Pas de doute, selon le PDG de Réseau Ferré de France : faute de ressources suffisantes pour améliorer le réseau ferré français, il faudra sacrifier les petites lignes les moins fréquentées. La déclaration d'Hubert du Mesnil largement commentée hier n'est pourtant pas nouvelle. En mai, le patron de Réseau Ferré de France avait déjà tiré la sonnette d'alarme devant la commission des finances de l'Assemblée nationale. « L'avenir de certaines lignes reste menacé. Jamais on aura les moyens de les maintenir en bon état, étant donné leur faible niveau d'utilisation », avait-il lâché, au risque de réveiller les critiques d'élus de tous bords convaincus que cette situation n'était pas le seul fruit du hasard. Le désintérêt de l'État pour ces petites lignes, leur dégradation liée à un manque d'entretien, la désaffection progressive du public pour des tortillards surannés, signent la fin d'une époque. Comme le fret rail dont l'activité régionale a baissé de moitié en dix ans, déplore Dominique Espinasse de la CGT Cheminots, les lignes de campagne pourraient subir le même sort.

Lire la suite : La mort des petites lignes

   

La coordination interdépartementale anti-LGV sur les rails

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26 août 2010 Le Sud-Ouest Par Kathleen Plaisantin

Les associations du Lot-et-Garonne et du Tarn-et-Garonne font désormais front commun pour réaménager les lignes existantes.

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La coordination interdépartementale a été lancée mardi. PHOTO K. P.

 

«Cette réunion marque le premier pas de la coordination interdépartementale. Nous voulons rassembler le plus grand nombre d'organisations le long de la ligne reliant Bordeaux à Toulouse », déclare Alain Dewerdt, président de l'Association de sauvegarde des Landes et Coteaux de Gascogne (Aslca).

Le Collectif Val de Garonne-Lomagne du Tarn-et-Garonne a ainsi officiellement rejoint la Coordination des associations du Lot-et-Garonne, mardi soir, à Saint-Martin-Curton. Cette dernière a été créée fin mai afin de fédérer 12 organisations du département, dont l'Aslca.

Ce regroupement remet en cause l'utilité de la Ligne à grande vitesse (LGV) et considère le réaménagement et l'optimisation des lignes existantes comme une solution moins coûteuse et suffisante.

Obtenir un moratoire

Avec certains élus, les associations ont demandé une étude alternative à celle de Réseau ferré de France (RFF). Elle devrait être remise le 31 mars 2011. « Étant donné les décisions qui seront prises avant cette date, ce sera peut-être trop tard », explique Catherine Aime, vice-présidente de Très Grande Vigilance en Albret.

Lire la suite : La coordination interdépartementale anti-LGV sur les rails

   
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