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Le TGV Paris-Toulouse promis aux calendes grecques

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14 juin 2010 - Libétoulouse

ÉCO-TERRE. Si Ulysse avait eu à emprunter le TGV Paris-Toulouse pour rentrer à Ithaque, son Odyssée aurait à coup sûr duré au moins dix ans de plus.

 

L'ex-maire de Toulouse Philippe Douste-Blazy, en 2003, envisageait une ligne à grande vitesse (LGV) reliant Paris aux horizons 2015. Les circonstances amenaient son successeur Jean-Luc Moudenc à plutôt parier sur 2016. Martin Malvy à la Région préfère aujourd'hui croire que quelque chose pourrait se dessiner pour 2018. Qui préside le Grand Toulouse, Pierre Cohen avance ce lundi 14 juin les dates de «2019 ou 2020», en précisant: «si on est réaliste».

Ndlr : N'oubliez pas de lire les commentaires !

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LGV: reprise de la fronde

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17 juin 2010 - Le Journal du Pays Basque- Pierre MAILHARIN

Les opposants au nouveau tracé de Ligne à Grande Vitesse (LGV) en Pays Basque nord se sentent enLGV_Pays_Basqueposture favorable. Hier, lors d'une conférence de presse donnée à la Maison de la Vie Citoyenne du Polo Beyris, à Bayonne, le CADE (Collectif des Associations pour la Défense de l'Environnement) a exposé les raisons de cet optimisme dans le rapport de force avec l'Etat français.

Le premier argument avancé par le rassemblement de contestataires concerne la situation du fret. Alors que Réseau Ferré de France (RFF) évoque une augmentation massive dans les prochaines années pour justifier d'une nouvelle ligne, celui-ci serait en réalité «en train de s'effondrer». Le CADE a notamment présenté un document du Conseil Economique et Social de la Région, qui révélerait «une surestimation des chiffres», selon Victor Pachon, porte-parole du groupement : «RFF parle de 8 millions de tonnes de fret attendues par an. Or, un rapport de la SNCF devant le CES de la Région fait état en 2009 d'une baisse de 49 % du trafic sur Hendaye et Mouguerre, avec un tiers pris en charge par le privé. En 2007, on était à 2,5 millions, en 2008 à 2,2. Selon ces chiffres, on serait donc en 2009 à environ 1,6 million».

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Roquefort. Réunion d'information sur la LGV

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11/06/2010 - La Dépêche - par YVES LILLE

En ce mercredi 9 juin, le complexe Arlabosse était copieusement garni à l'invitation de la coordination 47 regroupant une douzaine d'associations dans le département militant contre la nouvelle ligne LGV et pour le TGV sur les voies existantes. Parmi le public, on notait la présence du maire de Roquefort Jean-Pierre Pin. Les responsables de la coordination expliquaient qu'ils souhaitent défendre leur pays contre toutes nuisances qui ne seraient pas justifiées par un intérêt économique de force majeure. Et dans cette optique souhaitent promouvoir le projet TGV Bordeaux -Toulouse en ligne haute performance par des aménagements des voies existantes sur le tronçon du Lot-et-Garonne. La position de la coordination est la suivante : la LGV pour relier Bordeaux à Toulouse ne répond pas aux enjeux et objectifs fixés par le gouvernement. En termes de coûts, d'aménagement territorial et d'irrigation équilibrée, d'accroissement du fret ferroviaire et d'environnement.

« choix dangereux »

Ce choix retenu est dangereux et très coûteux pour un département déjà pauvre, précisent les responsables. De plus, disent-ils, ce projet n'est pas opportun avec la rigueur budgétaire imposée par le contexte économique actuel et les retombées économiques pour le département seront nulles, pas de report de fret et destructeur pour l'environnement. Pour eux, la ligne actuelle doit être reconsidérée car elle répond mieux aux enjeux départementaux, le coût en est 4 fois inférieur et les performances sensiblement identiques. Nous voulons obtenir un moratoire pour réexaminer le réaménagement de la ligne actuelle. Le public a été très attentif aux propos des intervenants qui s'appuyaient sur un diaporama et de petits films. Et comme on peut s'en douter, le débat fut engagé avec le public, celui-ci fut animé. A l'issue de la soirée beaucoup de questions demeuraient. D'autres interventions à travers le département sont prévues par la coordination afin de diffuser une large information.

 

   

Reims :Immobilier / Accalmie après une euphorie artificielle

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10 juin 2010 L'union presse- par Christian Lantenois

Trois quarts d’heure de trajet en moins, est-ce suffisant pour déclencher une flambée des prix de l'immobilier ?

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En 2004-2005-2006-2007, le marché de l’immoblier rémois a anticipé l’effet TGV, provoquant une impressionnante hausse des prix : “certains biens, notamment dans l’hyper centre pouvait atteindre jusqu’à 4000 euros le m2” se souvient un agent immobilier. A cette époque, la proximité de la gare TGV suffisait à faire grimper de manière excessive les prix. La hausse des prix a donc été bien réelle, mais les vendeurs ont rapidement déchanté. “Ils pensaient que des Parisiens allaient arriver les poches pleines de billets”, s’amuse le directeur d’une agence immobilière. Ils ont du vite revenir à la réalité.

En 2008, fini le vent de folie, l’époque n’est plus à l’embellie. À l’exception des biens de grande qualité et idéalement situés, les prix sont à la baisse et les délais ont une fâcheuse tendance à s’étirer. Dans l’ancien, le stock d’appartements n’en finit pas d’enfler. Dans le neuf, des promoteurs ajournent les programmes qu’ils prévoyaient de lancer avant la fin de l’année.

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Accord tripartite pour la création de la LGV du Sud-Ouest de l'Europe

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9 juin 2010- L'express.fr

La France, l'Espagne et le Portugal ont signé une déclaration d'intention pour développer ce projet prioritaire européen. Une société commune en charge du projet devrait voir le jour.

A l'occasion de la Conférence sur les Réseaux Transeuropéens de Transport (RTE-T) qui s'est tenue les 8 et 9 juins à Saragosse, Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat chargé des Transports, Jose Lopez Blanco, ministre espagnol du Développement et Antonio Mendoça, ministre portugais des Transports, ont signé une déclaration d'intention sur le projet prioritaire européen n°3 (ou PP3), nommé « Axe à grande vitesse du Sud-Ouest de l'Europe».

Cet accord permettra de coordonner plus efficacement à l'avenir l'ensemble des différentes sections de la ligne à Grande Vitesse du Sud Ouest de l'Europe, notamment les sections transfrontalières. En effet, le «PP3» de l'Union européenne relève plus de la notion de corridor ferroviaire que d'un projet de ligne à grande vitesse classique et homogène, comme Paris-Bruxelles par exemple. De fait, l'axe à grande vitesse du Sud-Ouest de l'Europe, se compose non seulement de différents projets nationaux mais il mêle également ligne existantes et lignes en projet. Ainsi, sur sa branche Atlantique, le PP3 englobe les lignes à grande vitesse Tours-Angoulême-Bordeaux, Bordeaux-Dax et Dax-Vitoria/Bilbao. Sur sa branche Méditerranée, l'axe réunit les lignes Madrid-Barcelone-Figueras-Perpignan ; Perpignan-Montpellier;Nîmes-Montpellier et la section Poceirao-Caia pour la connexion entre l'Espagne et le Portugal.

Pour réaliser cet immense puzzle, le coordonnateur européen du projet, Carlo Secchi _ dont le mandat entamé en juillet 2009 court jusqu'à juillet 2013, _«sera associé à toutes les discussions bilatérales», précise le communiqué. Précision utile. Dans son rapport remis en août 2009, le prédécesseur de M.Secchi, le Français Etienne Davignon, pointait les obstacles à lever pour faire avancer ce projet qui a accumulé bon nombre de retards sur certains tronçons (voir document ci-dessous). «L'absence de modèle d'exploitation commun des nouvelles infrastructures pourrait ainsi nuire au succès de ces dernières, voire retarder inutilement leur réalisation. Cet inconvénient peut être évité en ne se limitant pas à examiner uniquement ces seules nouvelles infrastructures, mais en prenant en compte également les synergies/complémentarités entre ces dernières et les autres infrastructures existantes (...). Dans ce contexte, je crois fermement, que la valeur ajoutée du coordonnateur sera maximisée s'il peut développer -en étroite coopération avec les gestionnaires d'infrastructure et les opérateurs potentiels -une approche globale qui inclut à la fois la nouvelle infrastructure, mais aussi l'infrastructure existante ».

Son message semble avoir été entendu puisque les ministres des trois pays concernés demandent aujourd'hui «la création entre la SNCF, la RENFE et la CP d'une société commune entre la France, l'Espagne et le Portugal, à l'image de l'Eurostar et du Thalys entre la France, le Royaume-Uni, le Benelux et l'Allemagne».

Avec la crise enfin, nul besoin de souligner qu'il devient impératif de trouver de l'argent au-delà des seules ressources budgétaires des Etats concernés. Là encore, l'accord tripartite annoncé mercredi«souligne l'importance d'un financement européen à ce projet, puisqu'il est essentiel pour le développement économique et durable de l'Union européenne. Il a d'ailleurs été signé par le Commissaire Européen Siim Kallas en charge des Transports, signal positif dans la perspective des futures négociations sur le budget communautaire 2014-2020», précise le communiqué du secrétariat aux Transports français.

JEAN-MICHEL GRADT, LES ECHOS

 

 

 

   
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