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TGV : 38% des investissements, 2% des passagers

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6 janvier 2017 - Le Monde

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En 25 ans, entre 1990 et 2015, 38% des investissements réalisés dans les infrastructures ferroviaires ont été dépensés pour les lignes à grande vitesse (LGV), selon le rapport de la commission des comptes des transports de la Nation (CCTN). Cela représente 30 milliards d’euros, sur un total de 78 milliards investis en 25 ans dans les rails, caténaires, équipements de signalisation, ouvrages d’art, etc. Le réseau d’Ile-de-France a bénéficié pour sa part de 13% des investissements (10 milliards) et les autres lignes de 49% d’entre eux (environ 38 milliards).
38% pour les LGV, cela pourrait sembler finalement peu, alors que la grande vitesse est souvent présentée comme l’unique priorité de la politique ferroviaire en France. C’est le raisonnement défendu dans un tweet par Maxime Lafage, « passionné de transports et d’aménagement du territoire », et salarié du Syndicat des transports d’Ile-de-France.

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Quel avenir pour la LGV Bordeaux - Agen ?

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7 octobre 2016 - FR3 Aquitaine

NdlR-TGV Albret :Le lien pour voir/écouter le reportage en dessous de l'article: cliquez ici 


La SNCF ne financera pas de nouvelles lignes à grandes vitesses pour ne pas aggraver son endettement. La semaine dernière, le Sénat avait déjà préconisé le gel du financement de toute nouvelle ligne dans les 15 prochaines années. Une bonne nouvelle pour les opposants à la ligne Bordeaux - Agen.

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C'est un groupe de sénateurs qui a mis le feu aux poudres la semaine dernière. Dans leur rapport ils dénoncent des investissements excessifs concernant de nouvelles LGV et préconisent le renouvellement du réseau ferroviaire existant. Pierre Camani, sénateur PS du Lot-et-Garonne, fait partie de ceux là.
"Le rapport nous dit aujourd'hui il faut faire des priorités, c'est une question de bon sens. la priorité c'est restaurer le réseau ferroviaire traditionnel (...). Demain si la croissance économique repart peut être pourrons nous envisager ces investissements là" explique Pierre Camani.

Du côté des opposants à la LGV cette annonce a évidemment été bien accueillie.

"Sur Bordeaux Toulouse c'est trop court pour justifier une LGV car en dessous de 300km tout le monde sait que cela n'est pas rentable" explique Claude Semin Association coordination anti LGV 47.

Jean Dionis du Séjour, le maire d'Agen, ne compte pas cesser le combat. Cette LGV c'est pour lui une priorité, il ne veut pas "voir passer les trains".

"Toulouse ne lâchera pas cette ambition d'être dans le réseau LGV. Pour nous Agenais il faut que l'on construise autour de ça (...). On ne va pas regarder passer les trains LGV !" explique le maire d'Agen.

Voyez le reportage de Cécile Fréchinos et Benoit-Pierre Morin dans lequel sont interviewés Pierre Camani (sénateur PS du Lot-et-Garonne), Claude Semin (Association coordination anti LGV 47), et Jean Dionis du Séjour (maire d'Agen) :

 

   

L'État se rattrape : SNCF Réseau ne financera plus les LGV !

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6 octobre 2016 - Mobilicities

Pas de désendettement de SNCF Réseau, mais pas de nouvel endettement causé par les futures LGV. Alain Vidalies a annoncé cette nouvelle règle devant les sénateurs le 5 octobre 2016. Une façon de mettre en pratique la réaffectation des moyens sur la régénération du réseau SNCF existant à l'état préoccupant.

“On ne fait plus financer par Réseau (...) la construction de lignes nouvelles

On ne fait plus financer par Réseau (...) la construction de lignes nouvelles", a annoncé le secrétaire d'État, Alain Vidalies. © MF

 

Sacrée surprise. Accusé ces dernières semaines d'incohérence et d'absence de vision vis-à-vis de la situation financière préoccupante de SNCF Réseau – 44 milliards d'euros de dette à fin juin 2016 –, l'État stratège a sorti sa botte secrète.

S'il ne désendettera pas le gestionnaire du réseau, il lui évitera à l'avenir d'alourdir encore son fardeau en le tenant à l'écart des LGV. "On ne fait plus financer par Réseau (...) la construction de lignes nouvelles", a annoncé le secrétaire d'État aux Transports Alain Vidalies le 5 octobre 2016 lors de son audition par la Commission de l'aménagement du territoire du Sénat.
 
Changement de règle pour les prochaines LGV

Celui-ci a souligné l'effet mécanique évident des décisions prises sous le quinquennat Sarkozy de faire cofinancer quatre LGV par le gestionnaire du réseau – 5  milliards d'euros de dette supplémentaire. "Le dispositif envisagé par le gouvernement exclura toute participation de SNCF Réseau dans les projets de  lignes nouvelles en tracé neuf", a-t-il précisé.

Quid des LGV en gestation ? "Soit on trouvera une autre solution, soit ça ne se fera pas", a-t-il insisté. Ce changement de pied majeur devrait avoir des conséquences importantes sur les prochains projets, et notamment sur la poursuite de la LGV au-delà de Bordeaux. "En clair, ce n'est pas Réseau qui va financer GPSO", le Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest, censé relier Bordeaux à Toulouse en 2024 et à Dax en 2027 pour un coût total évalué à 8,3 milliards d'euros.

Priorité à la régénération du réseau

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TGV, L'absurdie à grande vitesse

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5 octobre 2016 - France Inter

Vous commentez ce matin l’opération de sauvetage de l’usine de Belfort annoncée hier.

15 rames de TGV vont être achetées par l'État

15 rames de TGV vont être achetées par l'État © Maxppp / Sebastien JARRY

Pendant quelques heures hier matin, on n’a tout simplement pas cru à ce qui a été annoncé : l’Etat achète lui-même des TGV dont il n’a pas besoin avec de l’argent qu’il n’a pas. Mais si. Vous savez, il arrive parfois, quand un gouvernement (de droite ou de gauche) a un problème à régler, que l’emballage politique camoufle les petits bricolages économiques, les petits arrangements avec la raison économique. Ni vu ni connu, çà passe inaperçu. Mais cette fois je crois que la ficelle est tellement grosse que c’est la ficelle qui va rester. Car l’image qu’on gardera dans les esprits, c’est bien sûr celle des ouvriers de Belfort ravis que l’usine reste ouverte (et tant mieux pour eux). Mais ce sera surtout celle de TGV faits pour rouler à 320 kms heure qui rouleront sur des voies classiques à 180 kms heure.

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LGV : des initiatives gouvernementales attendues

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23 septembre 2016 - France3TVinfo Limousin

Le préfet Pierre Dartout © France3 Aquitaine

© France3 Aquitaine Le préfet Pierre Dartout

 

 

Dans ce dossier il a déclaré : " Le gouvernement sera amené dans les prochaines semaines à prendre des initiatives concernant l' accessibilité de la ville de Limoges. Brive, Périgueux et Cahors peuvent également être concernées." Le préfet a ainsi confirmé les annonces du ministre des transports Alain Vidalies début septembre. Difficile pour le moment de savoir si le gouvernement s'oriente vers une nouvelle déclaration d'utilité publique concernant le projet de LGV Limoges- Poitiers, ou si ces "initiatives" conduiront à l'amélioration de la desserte historique POLT.

   
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