Bonjour à toutétous !
Liste de retours médiatiques (non exhaustive) à propos du WE ant-LGV :
"FREINAGE d'URGENCE", du 11 au 13 /10 à Lerm-et-Musset (33)
Co-organisé par les Soulèvements de la Terre et la coordination LGV NON MERCI.
https://lagrappe.info/?Communique-de-Presse-LGV-Bordeaux-Toulouse-Dax-990https://france3-regions.francetvinfo.fr/nouvelle-aquitaine/gironde/bordeaux/manifestation-anti-lgv-bordeaux-toulouse-dax-en-gironde-a-quoi-faut-il-s-attendre-3044146.html
https://rmc.bfmtv.com/actualites/societe/transports/un-projet-qui-va-massacrer-notre-territoire-nouvelle-mobilisation-contre-la-lgv-sud-ouest_AV-202410120256.html
https://www.sudouest.fr/economie/lgv-bordeaux-toulouse-dax-gain-de-temps-cout-taxe-lgv-les-chiffres-cles-de-la-ligne-contestee-21720878.php
https://www.liberation.fr/economie/transports/un-rassemblement-sous-haute-surveillance-ce-samedi-contre-la-future-ligne-a-grande-vitesse-lgv-entre-bordeaux-toulouse-et-dax-20241012_GXARESADXRB7VMT6FFHDEVOP5M/Bonne lecture et bon visionnage.Cordialement,Collectif LGV-NINA.
« On a voté ce matin le recours », confiait ainsi Xavier Planty, le Président de l’ODG Barsac et Sauternes à Côté Châteaux. « Un recours acté devant le Conseil d’Etat », par la Fédérartion des Grands Vins de Bordeaux et les ODG de Barsac-Sauternes et des Graves, contre le décret validant la déclaration d’utilité publique des lignes à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse et Bordeaux et Dax. Il y a aussi quelques viticulteurs qui vont attaquer en leur nom propre.
Le projet de ligne ferroviaire à grande vitesse (LGV) entre Bordeaux et Toulouse continue de susciter des oppositions, notamment en Gironde. Au point de devenir un nouveau point de ralliement pour tous les opposants aux chantiers d’infrastructures de transports ?
Après la route, le rail ? Alors que la contestation de l’autoroute A69 entre Castres et Toulouse est toujours très forte, un nouveau front de contestation contre un grand chantier d’infrastructures de transport semble s’ouvrir en Gironde, cette fois contre la ligne à grande vitesse (LGV) entre Bordeaux et Toulouse, maillon essentiel pour rapprocher Toulouse de Paris en 2032.
Le week-end dernier, les opposants à la future ligne ferroviaire, rejoints par le mouvement écologiste des Soulèvements de la Terre, se sont retrouvés à Lerm-et-Musset, un village à 75 kilomètres au sud de Bordeaux, pour exprimer leur opposition et assurer de leur volonté d’ « amplifier » leur mouvement. Selon la gendarmerie, 800 à 1 000 personnes, dont une « forte proportion » de militants « encagoulés », se sont réunies dans un campement. Les gendarmes ont recensé une vingtaine de personnes « fichées S » et d’autres déjà contrôlées lors de manifestations contre l’A69.
Aux confins de la forêt landaise, la manifestation (non déclarée) a pris la forme de jeux. Une tour en bois de plusieurs mètres de haut, censée servir de « vigie » pour la suite, a été érigée dans la vallée du Ciron, un affluent de la Garonne, et sa hêtraie ancestrale, site classé Natura 2000 et menacé par la LGV selon les opposants.
« L’enjeu, c’est de généraliser la mobilisation pour ne pas laisser passer cette LGV démentielle et ruineuse », a expliqué Jean Olivier, membre de la coordination « LGV non merci ». « On a vraiment besoin d’amplifier la communication sur tous les problèmes liés à ce projet », a renchéri Marie-Christine Hergle du collectif « LGV NiNa » (Ni ici Ni ailleurs).
La contestation passe aussi par « des canaux légaux », à l’instar de parlementaires girondins – de LFI à LR, en passant par EELV et le MoDem – qui réclament au gouvernement un moratoire et/ou un référendum local sur la LGV. Parmi eux, le maire Écologiste de Bordeaux Pierre Hurmic, qui dénonçait ce week-end rien moins qu’« un projet néfaste et dangereux pour notre région et pour notre pays » … alors que sa ville bénéficie très concrètement des retombées socio-économiques du TGV Bordeaux-Paris qui – faut-il le rappeler – a été financé aussi par les contribuables occitans…
NdlR TGV en Albret : à partir d'ici suivent les mensonges de Mr Alain Rousset et les sondages manipulés .........
Ndlr TGV-Albret : cliquez le titre sous la photo pour lire l'excellent article
Photo: Jean Michel Mazet
Ils y ont vécu pour la plupart pendant des mois. Appelés sur d'autres fronts, les opposants à la technopole Agen Garonne ont quitté la ZAD de Sainte-Colombe.
Cinq semaines après l'évacuation par les forces de l'ordre des maisons squattées par une quinzaine d'opposants à la technopole Agen Garonne, que sont les zadistes devenus ? «Ils n'y sont plus ? Vous me l'apprenez» dit un militant du collectif de défense des terres fertiles. Souvent présente auprès des jeunes qui composaient le mouvement, Suzanne Calmon préfère utiliser une image champêtre : «Vous savez, un zadiste est un oiseau migrateur.»
No man's land
Les oiseaux migrateurs précités ont quitté le premier nid qu'ils occupaient depuis décembre 2014, invités par Joseph Bonotto. Pas une voiture, peu ou pas de mouvements sur place hier, cinq semaines après l'expulsion par le bon demi-millier de gendarmes déployés par arrêté préfectoral le 31 mai dernier.
Pour une minorité d'entre eux, ils sont derrière les barreaux, purgeant une peine d'emprisonnement pour des délits antérieurs commis ailleurs. Une poignée est encore dans l'agglomération, libre, appliquant à la lettre l'adage qui stipule que tout bâtiment vide peut être occupé, au Passage-d'Agen par exemple.
Réseaux sociaux
Lire la suite : Zadistes disparus des écrans radar à Sainte-Colombe-en-Bruilhois
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