Vous pouvez télécharger l'étude:
= distribué aux Elu(e)s Régionaux d'Aquitaine .
Vous pouvez télécharger l'étude:
NdlR - Tgv albret : .... ce qui est pareillement vrai pour Bordeaux-Toulouse ......:
On continue à nous prendre pour des crétins!
Les documents fournis aux conseillers communautaires du Pays Basque par SNCF réseau sont encore marqués par le sceau de la mauvaise foi.
On avait déjà pu mesurer la pertinence de précédents documents: 170 à 190 trains de fret estimés en 2020 lors du débat public, 14 en réalité aujourd'hui, 39 trains par jour comptés deux fois en gare de Bayonne lors du débat public reconnus en 2014 (cela fait plus de 14000 trains fantômes par an).
L’alternative : la modernisation de la ligne existante
Aujourd'hui on veut nous faire croire que la modernisation de la voie existante reviendrait pratiquement plus cher que la ligne nouvelle.
Voyons donc:
La ligne nouvelle fait 33km de plus que les lignes existantes vers le Pays Basque.
La ligne nouvelle doit enjamber toutes les rivières et fleuves, pas la ligne existante.
La ligne nouvelle doit débourser des sommes considérables des expropriations, pas la ligne existante.
La ligne nouvelle doit dévorer des milliers d'hectares de bois et champs et prévoir des compensations, pas la ligne existante.
La ligne nouvelle doit construire des viaducs et des tunnels, pas la ligne existante.
La ligne nouvelle doit importer (d'Ecosseou du Maroc nous dit on) des tonnes de matériaux pour faire le fondement de la ligne, pas la ligne existante.
La ligne nouvelle devra travailler à assurer les traversées des routes par des ouvrages coûteux, beaucoup moins de passages à niveau à effacer pour les voies existantes.
La ligne nouvelle impliquera des transports routiers importants pour les chantiers, pour les voies existantes le transport par rail sera possible.
Le simple bon sens indique que le coût sera bien moindre pour la modernisation de la voie existante.
Rappel : Pour pouvoir bien organiser le transport en car :
Merci de vous inscrire au plus tard ce mercredi 8 décembre
par mail : Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir.
par téléphone : 06 32 47 06 75 ou 06 85 94 28 70
Organisation du déplacement :
Le lundi 13 décembre :Un car partira de Lavardac (près du kiosque) à 7 h, pouvant être complété par covoiturages. (Un autre car est prévu à Casteljaloux, à 7 h, place Cardine.)
Pour le retour, départ de Bordeaux à 11 h.
Encore quelques places disponible !
vv
Difficile de trouver des partisans de la grande vitesse dans le village de Bernos-Beaulac, en Sud-Gironde.© Crédit photo : Archives Laurent Theillet
Il y a quelques jours, les élus du Bazadais ont signé une motion contre le projet de ligne à grande vitesse. Une position symbolique qui résume l’état d’esprit du territoire. « Nous sommes totalement opposés à ce projet nuisible, dont l’utilité est plus que contestable et dont l’équilibre financier ne sera jamais atteint », ont voté les élus de la Communauté de communes du Bazadais.
Laurence Cavalier a déménagé dans l’airial familial de Bernos-Beaulac en 1981.© Crédit photo : A.D.
À quelques centaines de mètres des futurs rails, le débat sur l’utilité d’une ligne à grande vitesse (LGV) s’enflamme aussi facilement qu’une allumette. « Ce projet est une honte », tisonne la maire de Bernos-Beaulac, Jacqueline Lartigue-Renouil. Il y a un peu plus de dix ans, les 1 100 habitants de ce village du Sud-Gironde assistaient, médusés, à l’inauguration de l’autoroute 65. « Notre village a été coupé de force en deux, du nord au sud », trace l’édile avant de sortir une carte du Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO). « Demain, si la LGV voit le jour, notre commune sera également coupée d’ouest en est. »
Lire la suite : Gironde : « Comment se projeter quand sa maison est menacée par la LGV ? »
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