Vous pouvez télécharger la présentation de l'argumentaire , réactualisé au 1 février 2022 , en cliquant ici.
NdlR-TGV en Albret: Une erreur page 29: perte 30 millions et non 300 millions . Avec toutes nos excuses.
Ce lien reste accessible sur notre site http://www.tgv-albret.fr/ , en allant sur la page d'accueil (en haut à gauche) à l'onglet "Le projet LGV" et après en sous-onglet "Nos arguments 2022".
Vous verrez : des chiffres choquants , comparés avec les
informations mensongères de nos grands décideurs !
MERCI MESDAMES ET MESSIEURS LE CONSEILLERS DEPARTEMENTAUX DE LOT ET GARONNE, CONTINUEZ A DEFENDRE CE BEAU DEPARTEMENT OU NOUS VIVONS.
La lecture du « le Petit Bleu », du 22 janvier dernier, m’a absolument sidéré , Monsieur Castex, Premier Ministre de la France y exprimait sa pensée.
Si les élus du département de Lot et Garonne ne reviennent pas sur leur vote, « la LGV ne s’arrêtera pas à Agen ».
Je croyais, mais suis-je naïf, que la France était une nation démocratique, peuplée de femmes et d’hommes libres, enfants de Condorcet, qui à chaque consultation électorale, se rendaient dans les isoloirs pour y désigner librement leurs représentants.
Ces Françaises et ces Français librement en votant, choisissent ce qui, celle ou celui qui leurs semble le plus apte, le plus capable pour diriger leur pays, leur région, leur ville ou leur village.
Il semble, que depuis plusieurs années, les candidats, une fois élus n’ont plus aucune considération, aucun respect pour le vote des électeurs.
Comment oublier la réponse au référendum du 29 mai 2005 et la forte opposition exprimée par les Français sur le traité établissant une constitution pour l’Europe et la façon dont deux ans plus tard, les Députés et les Sénateurs ont désavoué sans vergogne le vote des Français.
Avaient-ils entendu ce que voulaient les femmes et les hommes de ce pays, non; en votant comme ils l’ont fait, ils ont trompé leurs électeurs, ils ont dévoyé les volontés du peuple, ils ont trahi la démocratie.
Quelques années plus tard, dans « la lointaine » Aquitaine une enquête publique invita les habitants de cette « contrée » à se prononcer sur l’opportunité d’y construire une ligne TGV, pour relier Bordeaux à Toulouse, la réponse fut quasi unanime, c’était NON.
En dépit de cette réponse, l’État, par l’intermédiaire de son Premier Ministre annonça que le projet était doté de 14 milliards d’€uros, relançant de fait un projet dont personne ne voulait.
A ma connaissance une enquête publique génère des coûts, du temps pour quel résultat ? Ignorer les conclusions de cette enquête, mépriser les habitants de la Région Aquitaine et remplir les poubelles de l’histoire des études, des travaux et tant qu’à faire « du pognon de dingue » ainsi dépensé.
Lire la suite : Opinion de Claude Rozès : à ne pas manquer !
Ce dimanche 23 janvier 2022 : 11.30 sur France 3 Nouvelle-Aquitaine et en replay sur france.tv
Un débat à ne pas manquer !
https://www.francetvpro.fr/contenu-de-presse/27602563
`Dimanche en Politique grande région
Quel avenir pour le train en Nouvelle-Aquitaine ?
Dimanche 23 janvier à 11.30
Nouvelle Aquitaine
Faut-il réaliser deux nouvelles lignes LGV en Nouvelle Aquitaine ?
Un Dimanche en Politique sur l'ensemble de la région pour faire le point sur la situation ferroviaire et les projets en Nouvelle-Aquitaine avec le président Alain Rousset en invité.
Le rail est l'une des priorités de la région qui a investi massivement sur les lignes ferroviaires.
En 2021, de lourds travaux de rénovation du réseau et de gares ont été effectués et d'autres projets de lignes sont en cours.
- Si de nouvelles lignes ferroviaires sont créées, quel sera leur impact sur l’environnement ?
- Toutes les collectivités sont-elles prêtes à financer les travaux entre Bordeaux et Toulouse, et entre Bordeaux et Dax ?
- Ces projets ont-ils un sens économiquement ?
- Se feront ils au détriment du réseau TER de la Région ?
Pour faire le point sur l'avenir ferroviaire dans la région, Alain ROUSSET, président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine, sera en plateau à Bordeaux.
Seront également présents :
Philippe BARBEDIENNE, administrateur France Nature Environnement Nouvelle-Aquitaine.
Jean PETEAUX, politologue.
Yannick Jadot s'est aussi prononcé contre les projets de lignes à grande vitesse (LGV) en cours. Il faut "investir sur les voies existantes pour les restaurer parce que cela fait longtemps qu'on ne les entretient plus. La différence de temps entre restaurer les lignes existantes et construite une LGV est de 20 minutes. Je veux des trains du quotidien".
Une vingtaine de militants de l'association basque BIZI opposés à la Lgv ont mené une action symbolique ce lundi matin à Pau. Ils ont déployé une banderole sur la façade du conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques.
Des militants anti-Lgv installent une banderole devant le conseil départemental 64 © Radio France - Manon Meyer
Trois personnes sont descendues en rappel du toit du bâtiment un peu avant 8 heures pour installer cette banderole disant non à la LGV. L'action symbolique aura duré une demi-heure.
Les militants de l'association Bizi demandent au département de faire comme celui du Lot et Garonne, par exemple, qui a refusé le projet, car ils estiment que le coût est trop élevé (14 milliards d'euros) et ils dénoncent aussi les dégâts sur l'environnement. Selon eux, c'est 6300 hectares et 90 plans d'eau qui vont être touchés. Ils dénoncent aussi le risque de faire grimper les loyers et le prix du foncier avec cette ligne LGV Bordeaux-Dax et Bordeaux-Toulouse.
Le conseil départemental du 64 s'était engagé à financer le projet le 16 décembre à hauteur de 54 millions d'euros.
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