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Alain Rousset mis en examen : ce qui est reproché au président de la Nouvelle-Aquitaine

28 septembre 2024 - Sud Ouest

Alain Rousset mis en examen : ce qui est reproché au président de la Nouvelle-Aquitaine

Alain Rousset préside la Région depuis 1998.© Crédit photo : Thierry DAVID / SO

L’élu socialiste, président de la Région de Nouvelle-Aquitaine, est soupçonné d’avoir utilisé des moyens de la Région pour mener sa campagne. Il clame son innocence

Au début de l’été, le président Alain Rousset a été entendu en toute discrétion par les juges d’instruction de Nanterre qui enquêtent sur le financement de sa campagne de 2015. Selon les informations de « Sud Ouest », le président de la Région Nouvelle-Aquitaine est ressorti du bureau des magistrats lesté de mises en examen pour « détournements de fonds publics » et « concussion ». Selon la terminologie judiciaire qui ne présume pas d’une quelconque culpabilité, les magistrats ont considéré qu’il existait des indices graves ou concordants rendant vraisemblable que l’élu PS qui préside la collectivité depuis 1998 ait pu utiliser les moyens de la Région pour mener la campagne. Mais à rebours des réquisitions du parquet, les juges n’ont pas estimé nécessaire de placer l’élu sous contrôle judiciaire.

Une collection d’e-mails

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LGV GPSO : Gilles Savary vote contre l'engagement financier de l'Etat dans le projet

7 décembre 2016 -AQUI

Gilles Savary, député de la Gironde

07/12/2016 | Gilles Savary député de la Gironde, ne s'en est jamais caché, bien au contraire. Il n'est pas favorable à la poursuite de la LGV vers Toulouse et l'Espagne, et l'a encore montré ce mardi.

En accord avec ses convictions et en tant que membre du Conseil d’administration de l’Agence de financement des infrastructures de transport de France, le député de Gironde a voté contre l'engagement de 45 M€ de financement d'Etat pour le projet. Il s'en explique.

Après des discours et prises de position fortes concrétisés notamment par quelques participations à des réunions d'opposants au projet LGV GPSO, Gilles Savary Député de la Gironde et membre de l'Agence de Financement des Infrastructures de Transport de France ( AFITF) persiste et signe. Ce 6 décembre, il a voté contre l'engagement des premiers financements d'Etat sur le projet LGV GPSO Bordeaux-Toulouse, et Bordeaux-Dax. Des financements dédiés à des études et premiers achats de fonciers, s'élevant à 45 M€. Son argument premier : l'arbitrage financier à faire en faveur des trains du quotidien et de la régénération des lignes existantes plutôt que pour la LGV dont le montant global du projet est évalué à 9Mds €.

« Un gaspillage de fonds publics injustifiable »

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Ligne à grande vitesse: le «chantier du siècle» condamné pour pollutions

7 décembre 2016 - Mediapart 

Piloté par le géant du BTP Vinci, le groupement Cosea a été condamné par la justice pour les dommages écologiques causés par le chantier de la nouvelle ligne à grande vitesse Tours-Bordeaux. Un expert décrit « un massacre environnemental ».

 

7 décembre 2016 - Rue89 Bordeaux

[A lire sur Mediapart.fr] La SNCF présentait ce mercredi son nouveau TGV Océane qui va parcourir Paris-Bordeaux dès dimanche en 3h10, puis en 2h04 à partir de juillet 2017. Le même jour, le site Mediapart publiait une enquête accablante sur la construction de la LGV entre Tours et Bordeaux.
La journaliste Jade Lindgaard y remonte les kilomètres du dit « chantier du siècle » et constate toutes les dégradations causées. Le mastodonte du BTP Vinci, aux manettes via son groupement Cosea, vient d’être condamné par la justice pour ces dommages écologiques.

Si des engagements sur la protection de l’environnement avaient été pris, au minima pour compenser les dégâts, les amendes prononcées en cas d’entorse à ceux-ci sont dérisoires en regard des budgets titanesques.

A lire sur mediapart.fr (pour les abonnés)

   

RER basco-landais : le Grand Dax s’engage aussi

28 septembre 2024-Sud Ouest

RER basco-landais : le Grand Dax s’engage aussi

Le conseil communautaire a voté mercredi 25 septembre sa participation financière dans la première étape du projet de RER basco-landais.© Crédit photo : Isabelle Louvier / SO

La première étape du projet débute fin décembre 2024 avec cinq trains supplémentaires par jour entre Dax et Hendaye. Toutes les collectivités concernées sont mises à contribution

 

« L’agglomération du Grand Dax s’est engagée aux côtés de la Région Nouvelle-Aquitaine, du Syndicat des mobilités Pays basque Adour (SMPBA), des communautés de communes Maremne Adour Côte sud (Macs), Seignanx et Pays d’Orthe et Arrigans dans le déploiement d’un service express régional métropolitain (SERM) nommé RER basco-landais. Le RER basco-landais, labellisé par l’État, permettrait d’ici 2032 d’offrir une liaison entre Dax et le Pays basque toutes les 30 minutes, d’augmenter la fréquence, de décongestionner les axes routiers et de contribuer aux objectifs de transition écologique », résume la communauté de communes du Grand Dax.

« La première étape de ce projet sera visible dès fin décembre 2024,avec une offre de cinq trains supplémentaires par jour entre Dax et Hendaye », poursuit le communiqué de la colleDans ce projet, la Région Nouvelle-Aquitaine participe à hauteur de 50 % . Les taux de participation du SMPBA, de Macs et du Grand Dax ont été calculés sur la base de cinq critères : habitants, emplois, gare et redevance, linéaire de voies. Ainsi, au regard des différents critères, la contribution annuelle entre collectivités est ainsi répartie : 500 000 euros pour la Région, 340 000 euros pour le SMPBA, 90 000 euros pour Macs, 70 000 pour le Grand Dax, pour un total d’un million d’euros.ctivité, dont les élus ont voté mercredi 25 septembre en Conseil communautaire leur participation financière via une contribution annuelle de 70 000 euros.

 

 

Une nouvelle mission sur les dessertes ferroviaires enterre la LGV Poitiers-Limoges

7 décembre 2016 - La Montagne

D'ici avril 2017, le sénateur PS Michel Delebarre doit faire des propositions d'amélioration des dessertes ferroviaires de Brive, Tulle, Limoges ou Cahors, à partir de la LGV Paris-Bordeaux-Toulouse. Le projet LGV Poitiers-Limoges semble du même coup définitivement enterré.

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