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TGV en Albret

Etat dégénéré du rail en "Occitanie"

17 décembre 2016 - Université populaire de Toulouse ( article de Jean Paul Damaggio)

http://universitepopulairetoulouse.fr/spip.php?article857 ( ou se trouvent aussi les liens vers les articles dans La Dépêche)

Après la victoire de Carole Delga aux dernières régionales dans le cadre de la nouvelle région au nom ronflant "Occitanie", la nouvelle majorité a décidé d'Etats généraux du rail (un nom tout aussi ronflant). L'idée est née de deux problèmes : le débat sur la LGV - opposant EELV et PS-PCF-, et les différences de stratégie ferroviaire entre Midi-Pyrénées et Languedoc. Carole Delga adepte sans doute des arts martiaux a décidé de faire d'une faiblesse une force et elle a réussi sur toute la ligne (ferroviaire ou pas).

Les opposants au tout LGV ont accepté de participer. Ils ont pointé dès le départ les traquenards de l'opération : sous prétexte "d'écouter" les citoyens on les interroge sur le besoin de LGV tout en annonçant dans le texte introductif que les LGVs vont se faire ! De plus seulement cinq départements sur treize étaient concernés par les LGVs. Avec, étoile dans le ciel (on dit cerise sur le gâteau), aucune question sur le coût de telles opérations qui est pourtant la seule décision du Conseil régional en la matière. Les LGVS se décident à Paris.

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LGV et budget départemental Tarn et Garonne

27 février 2025 - Le Petit Journal - Jean-Paul Damaggio

 

Le Petit Journal a rendu compte d’un échange entre des élus au Conseil départemental et des employés de l’aide à l’enfance. Avec cette question classique : où trouver l’argent qui manque ?

Notre association Alternative LGV Midi Pyrénées pointe depuis deux ans une source financière qui serait mieux employée : les deux millions d’euros qui vont à la LGV (pendant quarante ans). Le Conseil départemental du 47 a opté pour cette économie, puisque la LGV n’est en aucun cas une compétence des départements. Mais qui est au fait de cette réalité ? D’autant que cette somme, n’est qu’une partie de la dépense à prévoir. C’est ainsi que Jean-Luc Deprince indique que le budget des routes a été divisé par deux. Avec toutes les routes à construire pour les contournements prévus de la LGV (150 millions d’euros nous dit-on) nos infrastructures vont encore se dégrader comme partout en France (du premier rang pour leur qualité en l’an 2000 on est passé au dix-huitième rang) !

Des élus du Conseil départemental du Lot viennent de s’interroger sur leur financement de la LGV vu que le service par la ligne POLT continue de se dégrader. Ce service concerne aussi Montauban : la ligne POLT ce n’est pas seulement pour aller à Paris, mais elle ne suscite aucun intérêt chez nos élus. Concernant les agriculteurs, trois réunions viennent de se tenir avec pour seul compte-rendu Le Petit Journal or le problème est le même : le Conseil départemental veut tout mettre en œuvre pour que leurs indemnisations soit les plus faibles possibles, d’où la colère qui s’exprime. Nous le constatons à présent : plus le projet LGV avance et plus sa réalisation devient un casse-tête financier. Entre aider des enfants en galère, et une course à la vitesse, le choix devrait être simple.

Jean-Paul Damaggio

 

Bientôt un nouveau rassemblement de plusieurs jours en Gironde contre les LGV du Sud-Ouest

27 février 2025 - Le Républicain Sud-Gironde

Ndlr - TGV EN ALBRET : voir la vidéo sur Youtube en cliquant 21 au 23 mars 2025 ciron

 

Le collectif LGV-NiNA (Ni Ici Ni Ailleurs) vient d'annoncer le rendez-vous 'Printemps du Ciron'. Un rassemblement populaire pendant trois jours, à Bernos-Beaulac, en Gironde.

LGV manifestation Lerm et Musset octobre 2024

 

Un rendez-vous de plusieurs jours a été annoncé par le collectif LGV-Nina opposé à la LGV Bordeaux-Toulouse. Le Printemps du Ciron aura lieu du 21 au 23 mars 2025 à Bernos-Beaulac, en Gironde.  ©Edwin Bleunven / Le Républicain Sud-Gironde / Illustration

Nouveau rendez-vous pour les collectifs et citoyens s’opposant au projet de lignes à grande vitesse dans le sud-ouest de la France ; les LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax. Un événement sur trois jours afin de protéger la vallée du Ciron et sa biodiversité.

Quelques mois après la précédente manifestation d’ampleur à Lerm-et-Musset, en Gironde, le collectif LGV-Nina, mouvement citoyen de la vallée du Ciron averti, solidaire et déterminé, a annoncé les dates de son Printemps du Ciron.

Ce rassemblement se déroulera à Bernos-Beaulac, en Gironde, du 21 au 23 mars 2025. Un lieu qui n’a pas été choisi au hasard car ce village se trouve en plein milieu du triangle ferroviaire.

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"Les impacts de la LGV Bordeaux-Paris peuvent être positifs comme négatifs"

17 décembre 2016 - Yahoo.com (article à l'origine publié par La Tribune)

NdlR- TGV-Albret :Curieusement, cet article à l’origine publié par La Tribune a disparu et la « page est indisponible ». Les informations contenues dérangeraient-elles certains Bordelais, entre autres ? Les mérites vantés de la LGV Paris-Bordeaux cacheraient-ils anguille(s) sous roche ?

Ci-dessous la partie qui est visible chez Yahoo.com:

A six mois du lancement de la ligne à grande vitesse Bordeaux - Paris via Tours, comment jugez-vous la situation bordelaise ?

"Le problème de Bordeaux, ce n'est pas sa très forte attractivité résidentielle, c'est bien son attractivité économique qui n'atteint pas le même dynamisme. On sait bien que l'emploi, notamment celui du conjoint pour les familles nouvellement arrivées, n'est pas au même niveau, même si la situation s'améliore. Il existe un vrai décalage entre ces deux sujets, rendant Bordeaux similaire à un mirage économique, un château de sable. La tentation est de croire que l'arrivée de la LGV va tout changer, mais il n'est pas sûr qu'elle ait des effets très nets."

Vous dites que rien n'est certain ?

"En matière d'économie, il n'y a aucun automatisme. Nantes a bénéficié d'effets positifs avec la délocalisation depuis Paris d'activités dites de back office, ce qui a permis le développement de l'emploi tertiaire intermédiaire. Mais les impacts peuvent être positifs comme négatifs. L'enclavement a parfois du bon : il n'est pas exclu par exemple que des activités à très haute valeur ajoutée, des emplois de cadres de haut niveau partent à Paris. Avec la capitale française à deux heures de Bordeaux, certains entrepreneurs, cadres, consultants, enseignants... vont faire le calcul et se dire qu'ils n'ont plus réellement besoin de vivre en région bordelaise. Paris, c'est là que l'info circule, que le business a lieu, que les perspectives de carrière se font. Il sera toujours possible de revenir facilement à Bordeaux dès que nécessaire."

Le désenclavement ferroviaire peut malgré tout avoir des effets positifs ?

"Bien sûr. On peut ainsi espérer un « désenclavement », justement, des milieux professionnels bordelais, assez réputés

(...) Lire la suite sur La Tribune.fr

 

 

Argent public : des gares inutiles ?

14 décembre 2016 - FranceTV ( JT France 2 du 13 déc 2016)

La Cour des comptes condamne les gares hors centre-ville et parle de gâchis de l’argent public… Encore un pavé dans la mare de Dionis avec « sa » gare à Sainte-Colombe

Cliquez le lien suivant :

http://www.francetvinfo.fr/economie/transports/sncf/argent-public-des-gares-inutiles_1967647.html

Des gares quasiment vides, loin des centres-ville, posées en plein milieu des champs, et qui ont coûté plusieurs millions d'euros. En France, les exemples de gares TGV excentrées sont nombreux, la Cour des comptes parle de gâchis. Et pourtant les constructions continuent. À 20 minutes de Montpellier (Hérault), une nouvelle gare, la Mogère, sort de terre. Coût de ce chantier gigantesque : 142,7 millions d'euros.

Quatre TGV par jour

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