La Cour des comptes condamne les gares hors centre-ville et parle de gâchis de l’argent public… Encore un pavé dans la mare de Dionis avec « sa » gare à Sainte-Colombe
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http://www.francetvinfo.fr/economie/transports/sncf/argent-public-des-gares-inutiles_1967647.html
Des gares quasiment vides, loin des centres-ville, posées en plein milieu des champs, et qui ont coûté plusieurs millions d'euros. En France, les exemples de gares TGV excentrées sont nombreux, la Cour des comptes parle de gâchis. Et pourtant les constructions continuent. À 20 minutes de Montpellier (Hérault), une nouvelle gare, la Mogère, sort de terre. Coût de ce chantier gigantesque : 142,7 millions d'euros.
À l’issue d’une consultation organisée cet été, la commission d’enquête publique a donné son feu vert à une autorisation environnementale des aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux pour la construction de la ligne à grande vitesse vers Toulouse. Et ce malgré plus de 90 % d'avis défavorables. Les opposants dénoncent des conclusions "orientées" et la volonté du préfet de Gironde "de passer en force".
"Quand on lit les conclusions de la commission d'enquête, tous les éléments de discours sont alignés sur celui du préfet et de la maîtrise d'ouvrage". C'est une grosse déception et surtout"une grande colère"pour les membres de la coordination LGV NON MERCI qui rassemble plusieurs associations opposées au projet de ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse.
Cette enquête publique environnementale des aménagements ferroviaires du sud de Bordeaux (AFSB) était pour ces opposants"la dernière étape légale avant le démarrage des travaux tels que défrichage, abattage, destruction de nids dans des bâtiments".
Comme Soeur Anne, la CGT des Cheminots 47 ne voit rien venir pour ce qui concerne les tronçons LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Hendaye.
Réunis dimanche 11 octobre pour évoquer les décisions à venir sur la liaison TGV entre la capitale de Nouvelle Aquitaine et Toulouse, ses responsables confirment que le projet GPSO n'a donné lieu à aucune nouvelle étude technique.
Lire la suite : La CGT des Cheminots enterre la LGV Bordeaux - Toulouse
NdlR Tgv en Albret : Sur le même sujet : Aqui.fr cliquez : : Vers un referendum sur pe projet GPSO ?
Pour info : Les signataires du courrier :
Nicolas Thierry, député de la 2ème circonscription de Gironde (EELV)
Loïc Prud’homme, député de la 3ème circonscription de Gironde (LFI)
Sophie Mette, députée de la 9ème circonscription de Gironde (Modem)
Mathilde Feld, députée de la 12ème circonscription de Gironde (LFI)
Mme Monique De Marco, sénatrice de Gironde (EELV)
Quatre députés et une sénatrice, issus des rangs de la gauche, du centre et des écologistes, ont écrit au premier ministre pour lui demander la mise en place d’un moratoire et l’organisation d’un référendum sur ce projet contesté.
Alors que le budget 2025 devrait être bientôt présenté à l’Assemblée nationale, et que le déficit public serait en passe de dépasser les 6% du PIB, plusieurs élus girondins proposent une piste d’économies de quelques milliards d’euros : renoncer à la création d’une ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse, au profit de la rénovation de la ligne existante. Pour enfin trancher ce débat qui fracture le sud-ouest depuis des décennies, cinq parlementaires ont écrit à Michel Barnier - qui a prononcé son discours de politique générale ce mardi après-midi - pour que les citoyens concernés par ce vaste aménagement puissent se prononcer une fois pour toutes.
JUSTICE Deux filiales de Vinci et Bouygues Constructions ayant travaillé sur la construction de cette Ligne à grande vitesse, ont été condamnées pour ne pas avoir respecté les règles visant à maintenir la qualité des cours d'eau et la protection des espèces animales et végétales...
Illustration de la LGV Tours-Paris. /Credit:JEAN MICHEL NOSSANT/SIPA/1502131048 - SIPA
Le chantier de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) Tours-Bordeaux a-t-il généré des destructions d’ecosystème et des pollutions d’ampleur ? L’association France Nature Environnement (FNE) révèle en tout cas que les sociétés Cosea et DTP, filiales de Vinci et Bouygues Construction pour ce projet, viennent chacune d’être condamnées à plus de 40.000 euros d’amende pour ne pas avoir respecté les règles fixées par le préfet d’Indre-et-Loire, dans le cadre de la partie du chantier dans ce département.
Lire la suite : LGV Tours-Bordeaux: Un chantier désastreux pour l'environnement?
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