NdlR TGV en Albret :
Regardez le reportage sur youtube : cliquez : https://www.youtube.com/watch?v=I5vcDNen7-k
NdlR TGV-Albret : ....et le gaspillage continue......
L’Assemblée nationale a validé jeudi 22 décembre, en première lecture, l’accord franco-italien pour lancer les travaux définitifs de la nouvelle ligne ferroviaire Lyon-Turin. Le texte, censé lever les derniers obstacles à un colossal chantier de douze ans, a été signé en février 2015, puis complété en mars 2016 par Matteo Renzi et François Hollande.
Si l’accord est validé par le Parlement français, les appels d’offres pour les marchés de travaux seront lancés en 2017 pour un démarrage des chantiers en 2018.
Soutenu par les deux pays, par la ville de Lyon et, jusqu’à récemment par Turin, ce projet est contesté depuis des années par des écologistes, tant côté italien que français. Ils estiment qu’il « existe une autre solution plus appropriée et plus efficace » pour les échanges transalpins et mettent en regard les 26 milliards d’euros nécessaires au creusement du tunnel et des accès du futur Lyon-Turin avec « l’utilisation immédiate de la ligne existante de transport ferré passant par le tunnel du Mont Cenis, utilisée à ce jour à moins de 20 % de sa capacité » pour le transport des marchandises.
Source : France 3 Alpes
Complément d’information : Le communiqué de la Coordination des opposants au projet Lyon-Turin
Photo: Patrick Kovarik AFP
La SNCF a finalement décidé de faire circuler les 15 TGV commandés à l'usine Alstom de Belfort sur des lignes grande vitesse. Cette commande doit sécuriser l'avenir du site menacé de voir ses activités transférées dans le Bas-Rhin.
Les 15 TGV dont la commande avait été décidée pour sauver l'usine Alstom de Belfort circuleront finalement sur l'axe TGV Atlantique, et non sur des lignes classiques comme initialement prévu, a indiqué à l'AFP un dirigeant de la SNCF.
"On est revenus sur l'idée que ça seraient des rames TGV qui rouleraient sur des lignes normales, ce qui paraissait peu cohérent", a indiqué ce responsable du groupe public. Un nouveau scénario, élaboré par la SNCF, le secrétariat d'État aux Transports et le ministère de l'Industrie, sous l'autorité de Matignon, prévoit que l'opérateur ferroviaire débourse entre 470 et 480 millions d'euros, pour acquérir 15 rames de TGV, qu'elle va "affecter au réseau Atlantique" et non sur "des lignes normales".
Rénover 24 vieilles rames TGV
Lire la suite : Les TGV commandés à Alstom rouleront bien sur des lignes grande vitesse
14 députés et sénateurs de la région ont créé un pôle parlementaire opposé au Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest.© Crédit photo : JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP
À un mois de l’ouverture de la conférence nationale sur le financement des mobilités, 14 députés et sénateurs de la région ont créé un pôle parlementaire opposé au Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest. Ils présentaient leurs intentions à Bayonne ce vendredi 11 avril
Hasard de calendrier ? Vingt-quatre heures après la décision du tribunal administratif de Bordeaux de rejeter, jeudi 10 avril,le référé suspension déposé par quatre associations opposées à la ligne à grande vitesse Bordeaux Toulouse/Dax,des élus de différents départements et partis politiques ont annoncé la création d’un groupe parlementaire, opposé au Grand projet ferroviaire du Sud-Ouest GPSO.
Une délégation du Sénat et de l’Assemblée nationale s’est ainsi réunie à Bayonne, ce vendredi 11 avril, pour redire leur opposition au projet. Ils enjoignent le gouvernement à lancer un moratoire à l’échelle locale, et surtout à miser en premier lieu sur la modernisation du réseau ferroviaire existant.
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