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Le ministre était clairement opposé à de nouvelles lignes à grande vitesse. Alors que la loi « mobilités » s’annonce, le curseur pourrait-il bouger ?
La réplique est formulée début juillet 2017, à bord de la rame inaugurale de la nouvelle ligne à grande vitesse (LGV) Tours-Bordeaux : « Le plus urgent pour les transports des Français, ce sont les TER, le RER, le métro ». Elle sort de la bouche de Nicolas Hulot, alors tout frais ministre de la Transition énergétique. Elle a du poids, puisque les transports figurent dans le périmètre de son maroquin. Élisabeth Borne n’est que secrétaire d’État.
Sur ce plan, tout le gouvernement récite peu ou prou la même partition à cette époque. Le mois suivant, Nicolas Hulot infléchit quelque peu le discours au micro de France Info. « Construire de nouvelles LGV n’est pas la priorité. Si on avait les moyens, volontiers. Mais on n’a pas les moyens », déclare-t-il alors.
" Ces décisions relèvent du Premier ministre "
Ce credo ne laisse pas indifférent dans le Sud-Ouest, où le prolongement de la LGV sur deux branches, Bordeaux–Toulouse et Bordeaux- Dax – fait l’objet de sévères empoignades depuis des années. La donne pourrait-elle changer avec un nouveau titulaire de la fonction ?« Les grands choix de programmation des infrastructures de transport ne dépendent pas d’un tel ou d’un tel. Ce sont des décisions qui relèvent du Premier ministre », indique-t-on dans les rangs de la majorité présidentielle.
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Selon la Sepenso, "aujourd’hui, seul le manque d’argent est un frein"
Farouchement opposée à la réalisation de la LGV au sud de Bordeaux, la Sepanso (la fédération des associations de défense de la nature du Sud-Ouest) n’entretient pas d’illusions. « Le sujet était déjà revenu sur le tapis dès lors que les grands élus d’Occitanie et d’Aquitaine ont fait le siège des ministères », déplore-t-on au siège bordelais de la fédération.« Aujourd’hui, seul le manque d’argent reste un frein », y ajoute-t-on (1).
Un calendrier très flou
Le calendrier des chantiers d’infrastructures devrait conserver le même socle : le rapport du Conseil d’orientation des infrastructures – le rapport Duron – bouclé en janvier 2018. Dans un scénario de financement intermédiaire (le plus probable), le document reléguait la réalisation d’une nouvelle voie Bordeaux- Dax à l’après 2038. Il saucissonnait une LGV Bordeaux-Toulouse en deux phases : Agen-Toulouse à partir de 2023 au plus tôt, Bordeaux-Agen ensuite.
Tout ceci devrait être abordé dans la loi d’orientation des mobilités (LOM), attendue depuis plusieurs mois. Mais il n’y a plus grand monde pour risquer une date ferme. Le « nouveau pacte ferroviaire », cause de la longue grève du printemps à la SNCF, a été détaché de l’ensemble et voté dès le mois de juin. « La programmation des infrastructures pourrait être examinée cet automne », s’aventure un parlementaire.
Lire la suite : Transports : après Hulot, c’est l’heure du choix
Pour sa première rencontre avec la presse, Frédéric Cuvillier, l’actuel ministre des Transports et maire de Boulogne-sur-Mer, a choisi le Salon des Transports publics, à Paris. Discours rapide et pressé, mais riche en informations sur les orientations du gouvernement : "Nous voulons éviter la fracture territoriale, trop longtemps insuffisamment réalisée", a expliqué le ministre, tout jeune quadragénaire.
L’aménagement du territoire, donc, a été donné comme priorité au ministre, peut-être parce que le gouvernement est sensible à une situation devenue intenable dans les campagnes, en particulier en ce qui concerne les transports publics.
Les 2000 km de voies nouvelles de TGV ne verront pas le jour (coût estimé lors des assises des transports 245 milliards d'€)
Sur tous ces chantiers, de toute façon, conformément avec la volonté de François Hollande –( priorité à la rénovation de l'existant ) dont Frédéric Cuvillier est très proche - de rééquilibrer les pouvoirs, il y aura un débat avec le Parlement. "Il faut que le Parlement soit respecté, et qu’il y ait un débat public sur les chantiers en cours. Il nous faut une démarche, une logique, il nous faut de l’efficacité, et de l’efficacité durable, en particulier sur les dossiers qui ne sont pas financés". Décryptage : les 2.000 kilomètres de nouvelles lignes à grande vitesse décidées par le Grenelle de l’Environnement ne verront pas le jour.
Frédéric Cuvillier devrait être réélu sans difficulté député du Pas-de-Calais le 17 juin. Mais la rumeur veut que Nicole Bricq ait demandé deux ministres délégués pour travailler avec elle, et non pas un seul. Un remaniement interne et un nouveau partage des tâches est donc à prévoir.
Pour l'ouverture du marché ferroviaire, il est urgent d'attendre
Thierry Mariani, son prédécesseur avait fait de la défense du voyageur son cheval de bataille. Encore avant lui, Dominique Bussereau avait beaucoup poussé l’arrivée du secteur privé dans ces domaines traditionnellement publics – tant dans les ports que dans le ferroviaire.
A propos de privé, la deuxième information notable est qu’il est très urgent d’attendre : le précédent gouvernement, à l’issue des Assises du Ferroviaire, avait décidé d’accélérer l’ouverture du marché. Les premiers à être concernés étaient les trains d’équilibre du territoire (les Corails, globalement), mis en concurrence en 2014, puis les TER, et enfin le marché national, d’ici 2019. "Ce n’est pas la question la plus urgente. Il faut réfléchir à ce qui s’est passé dans le fret. Peut-être y avait-il avant moi une obsession de l’ouverture à la concurrence, mais désormais, il faut travailler avec tous les acteurs avant de prendre une décision". Décryptage : fret SNCF souffre énormément de l’arrivée du privé, plus léger et plus compétitif, et il serait bon de ne pas réitérer cette expérience malheureuse.
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COORDINATION D’ASSOCIATIONS et COLLECTIVITES
de Nouvelle Aquitaine et d’Occitanie
Pour le TGV sur les lignes existantes
Lettre Ouverte Agen le 30 juin 2018
Monsieur J.-L. Chauzy
Président du CESER Occitanie
Président d’Eurosud TEAM
Monsieur,
Au nom des Associations de Citoyens et Collectifs d’Élus de Nouvelle Aquitaine et d’Occitanie pour le TGV sur les lignes existantes, je voudrais exprimer mon extrême indignation devant less propos mensongers de votre courrier du 24 juin 2018. Non seulement vos propos sont, comme d’habitude, discourtois et extravagants, mais ce sont, aussi, des assertions totalement inexactes et, à ce titre, se doivent d’être rectifiées.
Qu’un homme public ayant des responsabilités importantes au sein de la région Occitanie puisse se permettre de justifier son point de vue par des informations inexactes est intolérable et mériterait corrections voire sanctions. De plus, vos affirmations sur les décisions des Tribunaux Administratifs sont quelque peu stupéfiantes et requièrent, de notre part, de l’indignation vis à vis de la justice de notre pays.
Citons rapidement vos propos inexacts et votre incohérence :
Nous contestons depuis des années vos propos. Que vous soyez un partisan de la LGV est votre droit le plus strict, mais ne dites et ne diffusez pas des contre-vérités.
Il n’y a jamais eu de dialogue contradictoire à Toulouse car vous le refusez. Vos concitoyens découvriront alors le désastre financier tant pour eux que pour tous les français. Ce sera trop tard, comme il est trop tard pour les 2/3 des LGV déjà construites et creusent tous les ans le déficit de notre pays.
Nous sommes, malgré tout, prêts à échanger avec vous sur ce projet et vous présenter nos arguments comme nous l’avons fait auprès de la Ministre. Si vous voulez les entendre, vous y verrez que ceux-ci sont justifiés et que nos propositions peuvent servir Toulouse comme Bordeaux à moindre coût et pour une efficacité totalement compatible avec vos objectifs.
Je ne vous salue pas, Monsieur, mais soyez courageux pour vous expliquer.
Pour la Coordination d’Associations et de Collectivités
De Nouvelle Aquitaine et Occitanie
Claude Semin
Copies : Mme C.Delga Présidente du Conseil Régional Occitanie,
MM : A. Rousset Président Conseil Régional Nouvelle Aquitaine,
G.Meric Président du Conseil Départemental Haute Garonne,
A. Juppé, Président de la Communauté Urbaine et Maire de Bordeaux,
J.L. Moudenc, Président de Toulouse Métropole et maire de Toulouse.
Presse Régionale.
.........Sud Ouest : On entend souvent les partisans de la LGV parler de désenclavement. Quel est votre avis ?
..........François Hulbert : ......La LGV n'est pas un outil miracle. Je suis d'accord avec elle, même si les élus pro-LGV s'accrochent à cette idée. Une LGV va rapprocher le Pays basque de Paris, c'est une certitude. Mais pourquoi vouloir continuer encore aujourd'hui à tout construire en fonction de Paris ? Est-ce normal de mettre autant de temps pour faire un Nancy-Strasbourg qu'un Nancy-Paris pourtant deux fois plus loin ? Je ne pense pas. De plus, ce n'est pas aux Régions de financer ces projets mais à l'État, voire à l'Europe. Les Régions doivent se concentrer sur les réseaux TER pour désenclaver les villes à l'intérieur de leur territoire et faciliter les relations interrégionales. Avec des LGV conçues comme elles le sont actuellement, les Régions ne font que continuer à financer l'organisation centralisée du territoire.
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