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TGV en Albret

SNCF : la grande vitesse va devoir attendre

3 janvier 2018 - Sud Ouest

SNCF : la grande vitesse va devoir attendre

Élisabeth Borne rencontrera les dirigeants de la SNCF, dont Guillaume Pépy, lundi prochain pour évoquer notamment la refondation du modèle ferroviaire.

PHOTO ARCHIVES JACQUES DEMARTHON / AFP
 
 
 
 
 

Mardi, la ministre Élisabeth Borne comme le président de la SNCF, Guillaume Pépy, ont clairement indiqué que les efforts allaient s’intensifier sur le réseau classique.
Ses propos n’étaient pas calibrés pour ravir Alain Rousset, le président de la région Nouvelle-Aquitaine, ni Carole Delga, son homologue occitane, deux des fidèles zélateurs de la (future ?) ligne à grande vitesse (LGV) entre Bordeaux et Toulouse. Invité hier matin par Jean-Jacques Bourdin (RMC/BFM), Guillaume Pépy, le patron de la SNCF, a clairement fait savoir que ses chantiers 2018 étaient ailleurs.

« Nous allons mettre le paquet, non pas sur de nouvelles LGV, mais sur les trains du quotidien », a-t-il dit. « L’État, qui avait lancé beaucoup de lignes de TGV, a corrigé le tir », a continué Guillaume Pépy qui a insisté sur sa convergence de vues avec le gouvernement, Élisabeth Borne – la ministre des Transports – en tête.

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Les nouvelles lignes de TGV ne sont pas près dêtre construites

12 juin 2012 -tiré de l'article (6 juin 2012)d' Challenge

DECRYPTAGE Lors de sa première conférence de presse, le nouveau ministre

Une grande loi de programmation ferroviaire prévue en 2013

des Transports (Frédéric Cuvillier), a expliqué que certaines des décisions prises par le gouvernement Fillon en matière de transports n'étaient plus d'actualité.

Pour sa première rencontre avec la presse, Frédéric Cuvillier, l’actuel ministre des Transports et maire de Boulogne-sur-Mer, a choisi le Salon des Transports publics, à Paris. Discours rapide et pressé, mais riche en informations sur les orientations du gouvernement : "Nous voulons éviter la fracture territoriale, trop longtemps insuffisamment réalisée", a expliqué le ministre, tout jeune quadragénaire.

L’aménagement du territoire, donc, a été donné comme priorité au ministre, peut-être parce que le gouvernement est sensible à une situation devenue intenable dans les campagnes, en particulier en ce qui concerne les transports publics.

Les 2000 km de voies nouvelles de TGV ne verront pas le jour (coût estimé lors des assises des transports 245 milliards d'€)

Sur tous ces chantiers, de toute façon, conformément avec la volonté de François Hollande –( priorité à la rénovation de l'existant ) dont Frédéric Cuvillier est très proche - de rééquilibrer les pouvoirs, il y aura un débat avec le Parlement. "Il faut que le Parlement soit respecté, et qu’il y ait un débat public sur les chantiers en cours. Il nous faut une démarche, une logique, il nous faut de l’efficacité, et de l’efficacité durable, en particulier sur les dossiers qui ne sont pas financés". Décryptage : les 2.000 kilomètres de nouvelles lignes à grande vitesse décidées par le Grenelle de l’Environnement ne verront pas le jour.

Frédéric Cuvillier devrait être réélu sans difficulté député du Pas-de-Calais le 17 juin. Mais la rumeur veut que Nicole Bricq ait demandé deux ministres délégués pour travailler avec elle, et non pas un seul. Un remaniement interne et un nouveau partage des tâches est donc à prévoir.

Pour l'ouverture du marché ferroviaire, il est urgent d'attendre

Thierry Mariani, son prédécesseur avait fait de la défense du voyageur son cheval de bataille. Encore avant lui, Dominique Bussereau avait beaucoup poussé l’arrivée du secteur privé dans ces domaines traditionnellement publics – tant dans les ports que dans le ferroviaire.

A propos de privé, la deuxième information notable est qu’il est très urgent d’attendre : le précédent gouvernement, à l’issue des Assises du Ferroviaire, avait décidé d’accélérer l’ouverture du marché. Les premiers à être concernés étaient les trains d’équilibre du territoire (les Corails, globalement), mis en concurrence en 2014, puis les TER, et enfin le marché national, d’ici 2019. "Ce n’est pas la question la plus urgente. Il faut réfléchir à ce qui s’est passé dans le fret. Peut-être y avait-il avant moi une obsession de l’ouverture à la concurrence, mais désormais, il faut travailler avec tous les acteurs avant de prendre une décision". Décryptage : fret SNCF souffre énormément de l’arrivée du privé, plus léger et plus compétitif, et il serait bon de ne pas réitérer cette expérience malheureuse.

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Pourquoi la SNCF a ramé en 2017 ?

27 décembre 2017 - FranceTvInfo

 

Après une nouvelle panne à la gare Saint-Lazare, mardi 26 décembre, franceinfo revient sur les raisons des difficultés de la compagnie ferroviaire.
Un employé de la SNCF, au Technicentre Le Landy, à Saint-Denis, le 12 avril 2016.
Un employé de la SNCF, au Technicentre Le Landy, à Saint-Denis, le 12 avril 2016. (ERIC PIERMONT / AFP)
 
 

 

Montparnasse à l'arrêt, deux fois dans l'année, des pannes récurrentes à la gare Saint-Lazare… En 2017, la SNCF a connu plusieurs problèmes majeurs, touchant ses systèmes informatiques et pénalisant des centaines de milliers de voyageurs, particulièrement en Ile-de-France. Comment expliquer ces difficultés accumulées ? Pour les spécialistes, il faut notamment s'intéresser à la responsabilité de l'Etat, actionnaire de la SNCF.

Franceinfo résume quelques raisons qui expliquent l'année difficile du groupe ferroviaire.

Lire la suite : Pourquoi la SNCF a ramé en 2017 ?

   

« L'exception, ça suffit ! »

10 juin 2012 - Le Sud-Ouest ( extrait)

Opinion de François Hulbert, professeur de géographie

.........Sud Ouest : On entend souvent les partisans de la LGV parler de désenclavement. Quel est votre avis ?

..........François Hulbert : ......La LGV n'est pas un outil miracle. Je suis d'accord avec elle, même si les élus pro-LGV s'accrochent à cette idée. Une LGV va rapprocher le Pays basque de Paris, c'est une certitude. Mais pourquoi vouloir continuer encore aujourd'hui à tout construire en fonction de Paris ? Est-ce normal de mettre autant de temps pour faire un Nancy-Strasbourg qu'un Nancy-Paris pourtant deux fois plus loin ? Je ne pense pas. De plus, ce n'est pas aux Régions de financer ces projets mais à l'État, voire à l'Europe. Les Régions doivent se concentrer sur les réseaux TER pour désenclaver les villes à l'intérieur de leur territoire et faciliter les relations interrégionales. Avec des LGV conçues comme elles le sont actuellement, les Régions ne font que continuer à financer l'organisation centralisée du territoire.

Lire l'article entier : http://www.sudouest.fr/2012/06/10/l-exception-ca-suffit-738697-731.php

et n'oubliez pas de lire les commentaires en dessous de l'article

 

Embarquer ou non dans la LGV

7 juin 2012 - Le Sud-Ouest 

L'enjeu de ce territoire est son attractivité économique. Dépend-elle de la ligne à grande vitesse ?.
NdlR-TGV Albret :La réponse: ( Merci Taioro) 

NON, la LGV n'est pas un mal nécessaire, c'est un mal tout court !!!

La modernisation de la ligne existante est la seule solution de bon sens, soucieuse des deniers publics, répondant aux besoins de la population et qui laisse de coté la démagogie de certains politiques qui promettent monts et merveilles grâce à la LGV!!!!... messieurs Rousset, Emmanuelli, Malvy......pour ne citer que ceux-là !!!!!

Par exemple, monsieur Emmanuelli nous a exposé que le trafic Bilbao-Toulouse allait exploser.....on se demande bien pourquoi !!!...et que l'Aquitaine, grâce à la LGV, sera la Californie de l'Europe......alors qu'il n'y a pas un seul kilomètre de LGV en Californie!!!
On se demande vraiment si ces gens sont incompétents ou si ils se moquent de nous ?????.....

Au centre des débats, deux dossiers viennent partager les candidats : la Ligne à grande vitesse et le projet d'une zone économique de 210 hectares. 

Au centre des débats, deux dossiers viennent partager les candidats : la Ligne à grande vitesse et le projet d'une zone économique de 210 hectares. (photo émilie drouinaud)


Bien évidemment, la progression de 6,9% en un an du nombre de demandeurs d'emplois sur la circonscription d'Agen-Nérac fait partie des préoccupations que les candidats ne peuvent occulter. On cherche des solutions, on évoque une attractivité du territoire à renforcer, un développement économique, une valorisation de l'agriculture locale, un désenclavement, etc.

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