
Ce dimanche 23 janvier 2022 : 11.30 sur France 3 Nouvelle-Aquitaine et en replay sur france.tv
Un débat à ne pas manquer !
https://www.francetvpro.fr/contenu-de-presse/27602563
`Dimanche en Politique grande région
Quel avenir pour le train en Nouvelle-Aquitaine ?
Dimanche 23 janvier à 11.30
Nouvelle Aquitaine
Faut-il réaliser deux nouvelles lignes LGV en Nouvelle Aquitaine ?
Un Dimanche en Politique sur l'ensemble de la région pour faire le point sur la situation ferroviaire et les projets en Nouvelle-Aquitaine avec le président Alain Rousset en invité.
Le rail est l'une des priorités de la région qui a investi massivement sur les lignes ferroviaires.
En 2021, de lourds travaux de rénovation du réseau et de gares ont été effectués et d'autres projets de lignes sont en cours.
- Si de nouvelles lignes ferroviaires sont créées, quel sera leur impact sur l’environnement ?
- Toutes les collectivités sont-elles prêtes à financer les travaux entre Bordeaux et Toulouse, et entre Bordeaux et Dax ?
- Ces projets ont-ils un sens économiquement ?
- Se feront ils au détriment du réseau TER de la Région ?
Pour faire le point sur l'avenir ferroviaire dans la région, Alain ROUSSET, président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine, sera en plateau à Bordeaux.
Seront également présents :
Philippe BARBEDIENNE, administrateur France Nature Environnement Nouvelle-Aquitaine.
Jean PETEAUX, politologue.
À la veille de l’ouverture de l’enquête publique, ils organisent une réunion d’information.
ARCHIVES THIERRY DANIEL VIDAL
Ils lancent une première opération de mobilisation et d'information, mercredi 8 octobre, à Roquefort (1). « Tout le monde y est convié, les anti comme ceux qui sont favorables à la LGV. Car qui, aujourd'hui, peut affirmer bien connaître le dossier qui sera présenté lors de l'enquête publique ? Il faut encourager chacun à inscrire ses observations sur les registres. Quand les bulldozers débarqueront, il sera trop tard pour prendre les mesures de protection », concède l'une des responsables de la Coordination 47.
Yannick Jadot s'est aussi prononcé contre les projets de lignes à grande vitesse (LGV) en cours. Il faut "investir sur les voies existantes pour les restaurer parce que cela fait longtemps qu'on ne les entretient plus. La différence de temps entre restaurer les lignes existantes et construite une LGV est de 20 minutes. Je veux des trains du quotidien".
NdlR TGV-Albret :«Le simulacre de concertation continue. Ils avancent sournoisement mais sûrement. Les associations ne resteront pas sans rien dire ni rien faire»,
Depuis une semaine, des panneaux ont été disposés sur le tracé de la ligne à grande vitesse (LGV). Dans l'Albret, les opposants appellent à la mobilisation de la population.
Ces affiches «ont été placées sur le bord des routes, sur des chemins ou dans des impasses, mais rien au cœur des villages.» Ainsi parle Jacques Doucet, porte-parole de l'association TGV en Albret, et l'une des victimes potentielles, à Vianne, du tracé de la ligne à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse. «Le simulacre de concertation continue. Ils avancent sournoisement mais sûrement. Les associations ne resteront pas sans rien dire ni rien faire», lâche cet opposant, qui peste contre la mise en place de panneaux d'information réglementaire mais illisibles, sauf à descendre de son véhicule pour lire dans le détail les modalités de cette consultation publique, elle aussi réglementaire.
Une vingtaine de militants de l'association basque BIZI opposés à la Lgv ont mené une action symbolique ce lundi matin à Pau. Ils ont déployé une banderole sur la façade du conseil départemental des Pyrénées-Atlantiques.
Des militants anti-Lgv installent une banderole devant le conseil départemental 64 © Radio France - Manon Meyer
Trois personnes sont descendues en rappel du toit du bâtiment un peu avant 8 heures pour installer cette banderole disant non à la LGV. L'action symbolique aura duré une demi-heure.
Les militants de l'association Bizi demandent au département de faire comme celui du Lot et Garonne, par exemple, qui a refusé le projet, car ils estiment que le coût est trop élevé (14 milliards d'euros) et ils dénoncent aussi les dégâts sur l'environnement. Selon eux, c'est 6300 hectares et 90 plans d'eau qui vont être touchés. Ils dénoncent aussi le risque de faire grimper les loyers et le prix du foncier avec cette ligne LGV Bordeaux-Dax et Bordeaux-Toulouse.
Le conseil départemental du 64 s'était engagé à financer le projet le 16 décembre à hauteur de 54 millions d'euros.
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