Vous êtes ici : Accueil

TGV en Albret

Communiqué de presse Rassemblement du 26 novembre

Rassemblement régional à Feugarolles contre le

projet LGV le samedi 26 novembre à 10 h 30

Elus et représentants d’associations du Pays Basque des Landes, de Gironde, du
Lot et Garonne, du Tarn et Garonne, et de Haute-Garonne ainsi que habitants
et citoyens de tous les départements du Sud-Ouest se réunissent le samedi 26
novembre à 10h30 à Feugarolles pour réaffirmer leur opposition aux lignes
nouvelles Bordeaux Toulouse et Bordeaux Espagne du projet GPSO, et leur
soutien à la modernisation des lignes existantes et à la desserte ferroviaire de
tout le territoire.


Plusieurs prises de paroles rappelleront
- l’inutilité et les dangers de ce projet pour les citoyens et les collectivités ;
- les enjeux de la mobilité de notre territoire avec la modernisation des
lignes actuelles et l’amélioration de l’ensemble des dessertes
ferroviaires.
- l’impact fiscal du plan de financement sur les habitants de nos
territoires ;
- les conséquences de la course à la vitesse totalement déraisonnable en
raison de son coût énergétique et des incidences sur les émissions de
CO2.


Ce projet va à l’encontre de tous les objectifs de lutte contre le réchauffement
climatique, de préservation de la biodiversité, et de sobriété énergétique de demain.

 

LGV : Claude Semin a interpellé le président de l'agglo

31 octobre 2014 - La Dépêche ( du 30 oct )

Pour Claude Semin, «l'entretien avec Jean Dionis du Séjour fut viril mais correct.»/.photo DDM BG
Pour Claude Semin, «l'entretien avec Jean Dionis du Séjour fut viril mais correct.»/.photo DDM BG

Le rapport de la Cour des comptes sur la rentabilité des TGV a donné du baume au cœur des opposants à la Ligne Grande Vitesse, dont fait partie Claude Semin, président de l'Association de défense du patrimoine caudecostois. Il a interpellé Jean-Dionis du Séjour, à l'occasion de l'inauguration de la rue Marcelin-Serret.

Le président de l'agglo n'est peut-être pas de votre avis ?

Lire la suite : LGV : Claude Semin a interpellé le président de l'agglo

 

LGV : Les opposants de toute la région ont rendez-vous en Lot-et-Garonne Feugarolles

23 novembre 2022 - Sud Ouest

LGV : Les opposants de toute la région ont rendez-vous en Lot-et-Garonne

Un rassemblement s’est organisé en octobre dernier à Langon.© Crédit photo : Jean-Maurice Chacun/ « SUD OUEST »

Un rassemblement d’élus est organisé ce samedi 26 novembre sur la commune de Feugarolles
 

En Lot-et-Garonne, Feugarolles est le berceau des antis. La commune de Charles d’Huyvetter, le président de l’association Très Grand Vigilance en Albret, se prépare à une semaine chargée.

Ce jeudi 24 novembre, TGV en Albret tiendra son assemblée générale annuelle. Robert Claraco, dont le cabinet a rédigé l’étude privilégiant la modernisation de la ligne actuelle plutôt que la construction d’une nouvelle, ligne défendue en Lot-et-Garonne comme ailleurs, sera présent.

alt 

Deux jours plus tard, le samedi, élus, citoyens et représentants d’associations du Pays basque, des Landes, de Gironde, de Tarn-et-Garonne et Haute-Garonne, sont invités à rappeler leur opposition au GPSO dans son ensemble.

« Ce projet va à l’encontre de tous les objectifs de lutte contre le réchauffement climatique, de préservation de la biodiversité, et de sobriété énergétique », souligne TGV dans un communiqué.

affiche manif 26 nov 2022 feugarolles

 

 

   

LGV : «Le préfet doit suspendre l'enquête…»

29 octobre 2014 - La Dépêche ( interview avec Maître Tête )


LGV_Maitre_tete_interview_la_depecheEtienne Tête (en médaillon) doute que le rapport de la Cour des Comptes soit suivi d'effets…/Photo reproduction

Conseiller régional EELV dans le Rhône, Etienne Tête, est aussi avocat, et c'est avec cette casquette qu'il épaule les anti-LGV de la région. Pour lui, l'enquête d'utilité publique doit être stoppée.

La Dépêche du Midi : La Cour des comptes vient de rendre public un rapport défavorable au développement des lignes à grande vitesse. Cette analyse change-t-elle votre approche ?

Étienne Tête : «Ce que dit la Cour des comptes est tout sauf un scoop. On ne va rien changer à notre approche car on savait déjà ce qu'elle dit. La Cour des comptes relève que la redevance payée par la SNCF à Réseau ferré de France (RFF) est élevée. Rien de plus normal, il faut amortir le coût des travaux et RFF ne peut pas être déficitaire. Du coup, les redevances augmentent et les aides publiques sont annoncées de plus en plus importantes. Et je trouve surprenant — je ne suis pas le seul — que la seule réaction de la SNCF soit d'annoncer une augmentation de ses tarifs de première classe, de stopper les voitures-bars sur certaines lignes (là, je ne comprends pas…) et de diminuer les remboursements de billets, ce qui est tout bonnement scandaleux.»

L'avis de la Cour ne modifie en rien votre approche, alors ?

«C'est mieux encore, elle conforte nos thèses. On a avec les projets de ligne à grande vitesse le même raisonnement qu'avec les programmes de développement des voies autoroutières et pour ne citer qu'un projet le Lyon-Paris. Ce sont les mêmes mécanismes. Dans le domaine des autoroutes, les «barreaux» utiles ont été faits et il en va de même avec les lignes à grande vitesse. On doit désormais réfléchir à l'aménagement des voies existantes. Bordeaux-Toulouse bien sûr, mais aussi Lyon-Turin.»

Cette analyse de la Cour des comptes apparaît-elle une façon pour l'État de se désengager pour sortir par le haut ?

«Si c'était ça, j'en serais heureux. Mais l'avis de la Cour est rarement écouté. Elle développe l'aspect économique de la question mais on sait tous que l'homme politique développe une cécité dans ce domaine. C'est l'inverse du bon sens (…) Je ne suis pas sûr que cet avis de la Cour soit de nature à remettre en cause immédiatement les projets. En revanche, l'enquête publique est perturbée, percutée par ce rapport mais aussi par l'abandon de l'écotaxe. Ce scénario est voulu, c'est un message au citoyen. On lui dit, n'y allez pas, de toute façon le projet Bordeaux-Toulouse est abandonné. Pour moi, le préfet doit dans ce contexte suspendre l'enquête publique (elle court jusqu'au 8 décembre, N.D.L.R.)

Lire la suite : LGV : «Le préfet doit suspendre l'enquête…»

 

Serge Alain Paraillous -LGV Centre France

14 novembre 2022- Serge Alain Paraillous 

A réfléchir !

Au Salon du livre de Brive, j'ai rencontré de nombreux auteurs et éditeurs venus de Paris. Certains d'entre eux sont édités chez De Borée dont le siège se situe à Clermont-Ferrand.   Le personnel qui travaille dans cette maison d'édition fait souvent le va-et-vient entre Paris et la capitale de l'Auvergne, si possible par le train.

Tous m'ont parlé de la galère que constituent leurs déplacement tant ces lignes sont mal desservies. Que dire s'il leur faut aller de Clermont-Ferrand à Brive, ou de Brive à Limoges ! Soit l'ancienne ligne de chemin de fer a été supprimée, et ils doivent prendre un très aléatoire autobus. Soit le train est annulé au dernier moment, et là encore il c'est l'autobus qui prend le relais. A moins que le train, exceptionnellement, n'aille pas jusqu'au bout, et de nouveau ils doivent recourir à l'autobus. Ou se débrouiller comme ils peuvent.   Si vous saviez comme ces gens nous envient, nous qui sommes situés entre Bordeaux et Toulouse, d'être desservis par une ligne commode, régulière, et qui profite à tout le territoire, urbain ou rural ! Ces gens ne comprennent pas que l'Etat envisage d'y adjoindre une ligne LGV, ruineuse tant sur le plan financier qu'environnemental, alors qu'eux ne disposent que d'un réseau insuffisant et archaïque.

Un brillant universitaire parisien, qui enseigne à la faculté de Limoges, m'a d'ailleurs mis en garde : « Quand vous aurez la LGV , ne vous faites pas d'illusion : à terme, l'une des deux lignes sera sacrifiée. » Devinez laquelle ?

Serge Alain Paraillous – 10 novembre 2022

   

Page 102 sur 238

«DébutPrécédent101102103104105106107108109110SuivantFin»

Dernières nouvelles




Article dans Que choisir


« Des milliards pour des minutes » : la LGV du Sud-Ouest, une piste d’économie pour le gouvernement ?


Fête du Ciron Pindères 28 juin 2025


LGV Bordeaux-Toulouse-Dax : une note de Bercy inquiète les partisans de la grande vitesse


LGV Bordeaux-Toulouse : "En voilà une surprise !" Les opposants se félicitent du possible abandon du projet


La LGV Bordeaux-Toulouse sacrifiée au nom des économies pour le budget 2026 ?


Soirée de soutien aux copaines de la Guinguette Vaillante (ZAD contre la LGV Toulouse-Bordeaux)


Communiqué de Stop LGV 47


Environnement : en Gironde, ils créent une association pour donner des droits au Ciron, « bien commun environnemental »


Bercy envisage d’abandonner les projets de LGV Bordeaux-Toulouse et Nice-Marseille


Les écologistes pourraient-ils faire échouer le projet de ligne à grande vitesse Bordeaux-Toulouse devant les tribunaux ?


« L’impact environnemental sera-t-il pris en compte sur la LGV Bordeaux-Toulouse-Dax ? »


Lettre au Communauté d’Agglomération Agenaise


Lettre au Communauté d’Agglomération Agenaise


Relier l’Europe par TGV ? Une réponse à la Commission européenne


LGV Bordeaux-Toulouse/Dax : l’État, au pied du mur budgétaire, pourra-t-il payer sa part du rail ?


LGV Bordeaux-Toulouse : un chantier bientôt à l'arrêt ?


Article La Dépêche 22 avril 2025


Chambéry : Des centaines de personnes manifestent contre le projet de LGV Lyon-Turin


LGV : 14 parlementaires du Sud-Ouest s’unissent contre les projets de LGV, pour une modernisation du rail existant
Copyright © 2009 Association Très Grande Vigilance en Albret - Réalisation Bulle Communication.