Anti-LGV : le Père Noël livre du fumier à Moirax (47)
24 décembre 2013- Sud Ouest et FR3 Aquitaine
Journal télévisé FR3 Aquitaine : 24 décembre JT 19-20 h : regardez entre 10:15- 10:35( cliquez ici)
Mardi matin, une vingtaine de militants anti-LGV, accompagnée d'un Père-Noël, ont déversé du fumier devant la mairie de Moirax que dirige le sénateur Tandonnet
"Nous ne cesserons de combattre les élus qui défendent le projet LGV. Les élections approchent et avec elles les promesses des élus qui ont besoin de se faire réélire", ont expliqué, mardi matin, une vingtaine de militants anti-LGV. Lesquels ont déversé du fumier devant la mairie de Moirax, dont le maire Henri Tandonnet est également sénateur.
Parmi les panneaux brandis, sur l'un d'eux on pouvait lire le nom des élus favorables à la LGV, élus contre lesquels ils luttent, à savoir quatre des cinq parlementaires de Lot-et-Garonne, toutes tendances politiques confondues, les sénateurs Henri Tandonnet et Pierre Camani, les députés Lucette Lousteau et Matthias Fekl mais aussi le maire et président de l'agglomération d'Agen, Jean Dionis du Séjour.
Parmi ses déclarations, le "Père Noël" a relevé : "La merde déversée disparaitra dans un quart d'heure, nous avec la LGV nous l'aurons pour 30, 40 ans..."
Aussi, les militants anti-LGV ont rappelé qu'ils feront tout pour bloquer le projet, notamment l'enquête publique de juin, et qu'ils ont déjà instruit deux recours auprès des tribunaux.
Participez au débat entre le président socialiste de la Région Nouvelle-Aquitaine ( Alain Rousset) et le maire écologiste de Bordeaux (Pierre Hurmic) . Après c'est le tour à Jean-François Clédel, le président de la Chambre régionale de commerce et d’industrie, et Philippe Barbedienne, président de la Sepanso 33.
Lot-et-Garonne : les anti-LGV veulent retarder l'enquête d'utilité publique
19 décembre 2013 - Sud Ouest
Elus et membres de diverses associations anti-LGV se sont regroupés pour demander une entrevue au ministère des Transports, dans l'objectif de retarder l'enquête préalable à la déclaration d'utilité publique
Elus et responsables associatifs de Lot-et-Garonne anti-LGV (ligne à grande vitesse) ont demandé un entretien au ministère des Transports dans le but de "retarder l'enquête préalable à la déclaration d'utilité publique" prévue dans le premier semestre 2014.
La vingtaine de signataires voudraient que l'enquête, "au cas où elle démarrerait, même si notre objectif est qu'elle ne démarre pas" ait lieu une fois les deux procédures engagées auprès du tribunal administratif de Paris abouties.
Le premier recours demande l'annulation du tracé Bordeaux-Toulouseau motif d'une mauvaise procédure de validation. Le deuxième recours met en cause le non-respect du délai maximal de cinq années prévu par la loi entre le débat public et l'enquête publique.
Les solliciteurs voudraient également, en préalable à l'enquête, un plan de financement, "toujours pas connu" assurent-ils.
La lettre au Ministre plus les signataires ( cliquez pour agrandir)
Les forçats du rail
13 décembre 2013 Magazine "AUJOURD'HUI EN FRANCE " DU 29/11/2013
Un exemple parmi d'autres des créations d'emploi "locales" de RFF et de ses multiples sous-traitants......