L’ensemble du dossier sera consultable dans les mairies de Bègles, Cadaujac, Saint-Médard-d’Eyrans et Villenave-d’Ornon. Mais également sur Internet(www.registre-numerique.fr/enquete-publique-afsb)
NdlR TGV-Albret : ....et le gaspillage continue......
L’Assemblée nationale a validé jeudi 22 décembre, en première lecture, l’accord franco-italien pour lancer les travaux définitifs de la nouvelle ligne ferroviaire Lyon-Turin. Le texte, censé lever les derniers obstacles à un colossal chantier de douze ans, a été signé en février 2015, puis complété en mars 2016 par Matteo Renzi et François Hollande.
Si l’accord est validé par le Parlement français, les appels d’offres pour les marchés de travaux seront lancés en 2017 pour un démarrage des chantiers en 2018.
Soutenu par les deux pays, par la ville de Lyon et, jusqu’à récemment par Turin, ce projet est contesté depuis des années par des écologistes, tant côté italien que français. Ils estiment qu’il « existe une autre solution plus appropriée et plus efficace » pour les échanges transalpins et mettent en regard les 26 milliards d’euros nécessaires au creusement du tunnel et des accès du futur Lyon-Turin avec « l’utilisation immédiate de la ligne existante de transport ferré passant par le tunnel du Mont Cenis, utilisée à ce jour à moins de 20 % de sa capacité » pour le transport des marchandises.
Source : France 3 Alpes
Complément d’information : Le communiqué de la Coordination des opposants au projet Lyon-Turin
Photo: Patrick Kovarik AFP
La SNCF a finalement décidé de faire circuler les 15 TGV commandés à l'usine Alstom de Belfort sur des lignes grande vitesse. Cette commande doit sécuriser l'avenir du site menacé de voir ses activités transférées dans le Bas-Rhin.
Les 15 TGV dont la commande avait été décidée pour sauver l'usine Alstom de Belfort circuleront finalement sur l'axe TGV Atlantique, et non sur des lignes classiques comme initialement prévu, a indiqué à l'AFP un dirigeant de la SNCF.
"On est revenus sur l'idée que ça seraient des rames TGV qui rouleraient sur des lignes normales, ce qui paraissait peu cohérent", a indiqué ce responsable du groupe public. Un nouveau scénario, élaboré par la SNCF, le secrétariat d'État aux Transports et le ministère de l'Industrie, sous l'autorité de Matignon, prévoit que l'opérateur ferroviaire débourse entre 470 et 480 millions d'euros, pour acquérir 15 rames de TGV, qu'elle va "affecter au réseau Atlantique" et non sur "des lignes normales".
Rénover 24 vieilles rames TGV
Lire la suite : Les TGV commandés à Alstom rouleront bien sur des lignes grande vitesse
Les aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux ne seront pas sans conséquences pour l’environnement.© Crédit photo : archives so
La consultation du public est décalée « au regard de la période de réserve électorale relative aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet prochains »
Le public devait donner son avis sur la demande d’autorisation environnementale relative aux aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux entre Bègles et Saint-Médard-d’Eyrans. La consultation devait se dérouler du lundi 24 juin au mardi 23 juillet. Mais la préfecture de la Gironde annonce ce vendredi 21 juin le report de l’enquête publique : « au regard de la période de réserve électorale relative aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet prochains, et en application des principes définis par la commission nationale du débat public, le préfet de la région Nouvelle-Aquitaine reporte l’enquête publique relative aux aménagements ferroviaires au sud de Bordeaux. Elle se déroulera du 15 juillet au 13 août 2024. Un avis informant le public des modalités de l’enquête publique sera publié et affiché en mairie dans les meilleurs délais ».
Cet important chantier estimé à 900 millions d’euros ne sera pas sans conséquences pour l’environnement. Et c’est sur ce point que le public est sollicité.
L’ensemble du dossier sera consultable dans les mairies de Bègles, Cadaujac, Saint-Médard-d’Eyrans et Villenave-d’Ornon. Mais également sur Internet(www.registre-numerique.fr/enquete-publique-afsb)
Le projet de LGV et ses travaux entraîneront, s’ils sont prolongés, des bouleversements pour les communes traversées. À Cadaujac (Gironde), les habitants sont inquiets.
Une nouvelle réunion d’information au sujet des travaux, pour la LGV, a eu lieu à Cadaujac, en Gironde. ©Le républicain Sud Gironde
Mercredi 5 juin 2024, à Cadaujac, en Gironde, une nouvelle réunion d’information a eu lieu afin d’informer les habitants de l’avancée des travaux du projet de Ligne à Grande Vitesse (LGV) entre Bordeaux et Toulouse.
D’une réunion d’information à l’autre, le ton monte à Cadaujac, avec des riverains de plus en plus inquiets et des interlocuteurs de SNCF Réseaux qui présentent des informations factuelles sur certains points.
« Cette réunion traite des points précis et vous fait oublier ce projet monstrueux. On attend toujours les réponses de la réunion précédente. Réveillez-vous ! Des collectifs se montent partout et ça va péter. C’est gravissime de faire une réunion avec des chefs de chantier aussi irresponsables », résume un riverain en fin de réunion.
Lire la suite : Cadaujac : une réunion tendue au sujet de la LGV Bordeaux-Toulouse
NdlR TGV-Albret : ........Dans l'article : Les difficultés du concessionnaire s'expliquent aussi par la faiblesse du trafic et des recettes, couplée à la concurrence des liaisons aériennes low cost entre l'Espagne et la France, trois fois plus rapides que le train, selon les experts.........Essayez de comprendre l'investissement.
La ligne ferroviaire à grande vitesse entre Perpignan en France et Figueras en Espagne a été reprise mardi par une coentreprise publique, filiale des gestionnaires d'infrastructures des deux pays, après la liquidation judiciaire de son concessionnaire privé TP Ferro.
"La France et l'Espagne ont prononcé la déchéance du contrat de concession (de TP Ferro) et ont confié l'exploitation de l'infrastructure à Línea Figueras Perpignan, filiale constituée par SNCF Réseau (gestionnaire d'infrastructure français, NDLR) et ADIF (gestionnaire espagnol, NDLR), afin de garantir la continuité des circulations ferroviaires entre les deux pays", annonce le secrétariat d'Etat français aux Transports dans un communiqué.
"L'exploitation et la maintenance de la section internationale entre Perpignan et Figueras ont été simultanément transférées à la société Línea Figueras Perpignan, qui a repris l'ensemble des personnels de TP Ferro et qui est devenue le gestionnaire d'infrastructure de la ligne", détaille ce communiqué.
Lire la suite : TGV Barcelone-Paris: une coentreprise publique reprend la concession
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