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Lettre ouverte à Mr Macron concernant conflits d'intérêts

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10 octobre 2018 

Lettre a macron conceernant conflits d interets page 1

Lettre a macron conceernant conflits d interets page 2

   

SNCF : pour Guillaume Pepy, pas de nouvelle ligne à grande vitesse " de son vivant"

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25 septembre 2018 - Sud Ouest 

Pour lire l'article : cliquez : https://www.sudouest.fr/2018/09/24/sncf-pour-guillaume-pepy-pas-de-nouvelle-ligne-a-grande-vitesse-de-son-vivant-5419244-4755.php

Bonne lecture !

   

Les anti-LGV ne regardent pas le doigt du sage qui montre la Lune

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18 septembre 2018 - Le Petit Bleu

Les anti-LGV pensent qu'aucune des personnalités du gouvernement ne confirmera que le projet Bordeaux-Toulouse sera annulé./ Photo archives J.-M.M.

Les anti-LGV pensent qu'aucune des personnalités du gouvernement ne confirmera que le projet Bordeaux-Toulouse sera annulé./ Photo archives J.-M.M.

La ministre des Transports Élizabeth Borne a indiqué la semaine passée que le gouvernement entendait pousser jusqu'à leur réalisation les quelques projets de lignes à grande vitesse qui ont survécu à l'austérité budgétaire. L'association TGV en Albert, qui regroupe les opposants à toute nouvelle LGV dit ne pas être dupe des effets de communication. «Nous avons bien compris et depuis longtemps qu'aucune des personnalités du gouvernement ne confirmera que le projet Bordeaux-Toulouse sera annulé. Ce serait, pour leur situation politique personnelle, contre-productif. En effet, elles se mettraient à dos les régions de Nouvelle Aquitaine et d'Occitanie qui ont financé la ligne Tours-Bordeaux dans le but d'obtenir la LGV Bordeaux-Toulouse» détaillent les opposants dans un communiqué.

Et les anti-LGV de préciser ce qu'ils pensent être le vrai. «Le gouvernement va programmer 13,4 milliards d'euros sur les cinq prochaines années et 14,3 milliards sur les cinq suivantes afin de maintenir un équilibre entre les ressources disponibles et les investissements. En réalité, la ministre des Transports Élisabeth Borne a annoncé 5 programmes d'investissements prioritaires : l'entretien et la modernisation des réseaux routiers, fluviaux et ferroviaires qui bénéficieront d'une augmentation des moyens, la réforme du ferroviaire est la désaturation des grands nœuds ferroviaires, le désenclavement des villes moyennes et des territoires ruraux, Le développement des mobilités propres et partagées au quotidien.» Le gouvernement a déjà annoncé un plan vélo. «Le dernier volet est le renforcement du report modal dans le transport de marchandises.»

Au mieux ou au pire disent les opposants à la ligne à grande vitesse entre les deux capitaines du Sud-Ouest, elles ne verraient le jour en fonction des deux scénarios prévus que dans dix ans en 2028, voire en 2 037. Phase 3 : ligne nouvelle Toulouse-Agen : 2033-2037 «plus de 30 ans après le débat public de 2005 dans un cas, plus de 20 ans et plus après la déclaration d'utilité publique. «Nous attendons un peu plus de sagesse et de sérieux de nos responsables politiques, en particulier du Président de la République, et qu'ils prennent enfin en compte que le réaménagement technique des lignes existantes permettrait des performances proches (avec suppression des passages à niveau qui, dans tous les cas, devra être réalisée). Le coût serait 4 à 5 fois moins cher que la construction d'une LGV.»

TGV en Albret estime que «l'écart de temps pour un Paris-Toulouse entre ligne modernisée et LGV serait de 15 à 30 minutes selon les scénarios et à condition que les TGV soient directs et ne nécessite pas un tel investissement.» Et, juste histoire d'enfoncer le clou, les opposants de l'Albret rappellent le discours du Président de la République Emmanuel Macron à Rennes en juillet 2017 : «Le combat que je souhaite engager pour les années à venir, c'est celui des transports du quotidien.»

Le Petit Bleu d'Agen

   

Réponse aux articles de presse

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 14 septembre 2018 - Réponse "décisions" Elisabeth Borne et les médias

 

                                                                                                                                                 Le 14 septembre 2018

A en croire les médias de ces derniers jours, la ministre des transports Élisabeth Borne
confirme la réalisation de la LGV Bordeaux-Toulouse

Tout d’abord, et pour rester dans le contexte de la situation économique de la France et de la SNCF, des incidents multiples dans le transport ferroviaire et de la vétusté des infrastructures (SNCF, routes, ponts…), la ministre des transports Élisabeth Borne ne pouvait que reconfirmer lapriorité mise sur l’entretien et la maintenance de l’existant.

La ministre des transports a annoncé le 11 septembre les arbitrages du gouvernement en matière d’investissements dans les infrastructures de transport.Elle confirme la priorité martelée depuis plusieurs mois portée sur les transports du quotidien mais elle laisse la porte ouverte concernant les grands projets (manière de laisser le flou et de ne vexer personne)

Or, voici ce que l’on lit aujourd’hui dans cette presse :

« La ligne LGV Bordeaux-Toulouse est sauvée et elle fait désormais partie des priorités du gouvernement. »

« Bordeaux-Toulouse, Marseille-Nice, Montpellier-Perpignan, Roissy-Picardie et Paris-Normandie sauvés ! Enfin sur le papier.

Le gouvernement s’est basé sur le rapport du Conseil d’orientation des infrastructures (COI) présidé par l’ancien député socialiste Philippe Duron pour établir la programmation des investissements de transport. »

« Le gouvernement va programmer 13,4 milliards d’euros sur les cinq prochaines années et 14,3 milliards sur les cinq suivantes afin de maintenir un équilibre entre les ressources disponibles et les investissements. »

Voilà les quelques lignes que va retenir le grand public, ce qui, une fois de plus, lui fait croire que tous ces projet se feront…

La réalité est tout autre !

Nous avons bien compris et depuis longtemps qu’aucune des personnalités du gouvernement ne confirmera que le projet Bordeaux-Toulouse sera annulé. Ce serait, pour leur situation politique personnelle, contre-productif. En effet, elles se mettraient à dos les régions de Nouvelle Aquitaine et d’Occitanie qui ont financé la ligne Tours-Bordeaux dans le but d’obtenir la LGV Bordeaux-Toulouse.

Histoire de renforcée la pression, la région Occitanie évoque d’ailleurs la possibilité d’une demande de remboursement de sa participation à la LGV Tours-Bordeaux dans le cas où la prolongation jusqu’à Toulouse ne se ferait pas, oubliant qu’elle bénéficie déjà d’un gain d’une heure pour relier Paris !

En réalité, la ministre des transports Élisabeth Borne a annoncé 5 programmes d’investissements prioritaires :

N'oubliez pas de lire la suite !!!

   

Transports : après Hulot, c’est l’heure du choix

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30 août 2018 - Sud Ouest 

 
 

Le ministre était clairement opposé à de nouvelles lignes à grande vitesse. Alors que la loi « mobilités » s’annonce, le curseur pourrait-il bouger ?

La réplique est formulée début juillet 2017, à bord de la rame inaugurale de la nouvelle ligne à grande vitesse (LGV) Tours-Bordeaux : « Le plus urgent pour les transports des Français, ce sont les TER, le RER, le métro ». Elle sort de la bouche de Nicolas Hulot, alors tout frais ministre de la Transition énergétique. Elle a du poids, puisque les transports figurent dans le périmètre de son maroquin. Élisabeth Borne n’est que secrétaire d’État.

Sur ce plan, tout le gouvernement récite peu ou prou la même partition à cette époque. Le mois suivant, Nicolas Hulot infléchit quelque peu le discours au micro de France Info. « Construire de nouvelles LGV n’est pas la priorité. Si on avait les moyens, volontiers. Mais on n’a pas les moyens », déclare-t-il alors.

" Ces décisions relèvent du Premier ministre "

Ce credo ne laisse pas indifférent dans le Sud-Ouest, où le prolongement de la LGV sur deux branches, Bordeaux–Toulouse et Bordeaux- Dax – fait l’objet de sévères empoignades depuis des années. La donne pourrait-elle changer avec un nouveau titulaire de la fonction ?« Les grands choix de programmation des infrastructures de transport ne dépendent pas d’un tel ou d’un tel. Ce sont des décisions qui relèvent du Premier ministre », indique-t-on dans les rangs de la majorité présidentielle.

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Farouchement opposée à la réalisation de la LGV au sud de Bordeaux, la Sepanso (la fédération des associations de défense de la nature du Sud-Ouest) n’entretient pas d’illusions. « Le sujet était déjà revenu sur le tapis dès lors que les grands élus d’Occitanie et d’Aquitaine ont fait le siège des ministères », déplore-t-on au siège bordelais de la fédération.« Aujourd’hui, seul le manque d’argent reste un frein », y ajoute-t-on (1).

Un calendrier très flou

Le calendrier des chantiers d’infrastructures devrait conserver le même socle : le rapport du Conseil d’orientation des infrastructures – le rapport Duron – bouclé en janvier 2018. Dans un scénario de financement intermédiaire (le plus probable), le document reléguait la réalisation d’une nouvelle voie Bordeaux- Dax à l’après 2038. Il saucissonnait une LGV Bordeaux-Toulouse en deux phases : Agen-Toulouse à partir de 2023 au plus tôt, Bordeaux-Agen ensuite.

Tout ceci devrait être abordé dans la loi d’orientation des mobilités (LOM), attendue depuis plusieurs mois. Mais il n’y a plus grand monde pour risquer une date ferme. Le « nouveau pacte ferroviaire », cause de la longue grève du printemps à la SNCF, a été détaché de l’ensemble et voté dès le mois de juin. « La programmation des infrastructures pourrait être examinée cet automne », s’aventure un parlementaire.

Lire la suite : Transports : après Hulot, c’est l’heure du choix

   
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