LGV Bordeaux/Toulouse
et Bordeaux/Dax
Mensonges, conflits d’intérêts, influence des lobbyistes et verrouillage de la justice
au nom de l’intérêt général
Mensonges
Notre argumentaire de février 2022 reprend, sources à l’appui, les mensonges et tricheries sur les chiffres de ce projet sur :
(Argumentaire février 2022 disponible sur notre site : tgv-albret.fr rubrique « Le projet TGV »
Influence des lobbyistes
Voir ci-après la toile tissée par le lobbyiste Jean-Louis Chauzy pour contrôler le projet GPSO.
Jean-Louis Chauzy : Président du CESER Occitanie (Conseil Economique, Social et Environnemental Régional)
Président d’Euro Sud Team, une association lobbyiste
(Cliquez pour agrandir : )
Conflit d’intérêt
LOI n° 2013-907 du 11 octobre 2013 relative à la transparence de la vie publique
Article 1 : Modifié par LOI n° 2016-1691 du 9 décembre 2016 - art. 29 (V)
Les membres du Gouvernement, les personnes titulaires d'un mandat électif local ainsi que celles chargées d'une mission de service public exercent leurs fonctions avec dignité, probité et intégrité et veillent à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d'intérêts.
Article 2 - Modifié par LOI n° 2017-1339 du 15 septembre 2017 - art. 6
Le 8 octobre 2018 nous avons écrit au Président de la République :
« Nous sommes surpris de trouver parmi les membres du Conseil d’orientation des infrastructures, dont le rapport va influencer le Gouvernement, Monsieur Bruno Cavagné nommé vice-président de ce conseil et présenté comme personne qualifiée alors qu’il est depuis 2013 Président de la Fédération Nationale des Travaux Public (FNTP) ».
A noter que les vice-présidences de la Fédération Nationale de Travaux Publics sont partagées par Vinci, Bouygues et Eiffage.
Rappelons le rôle du Conseil d’Orientation des Infrastructures (COI) :
Notre courrier du 8 octobre 2018 :
« Le rapport de ce conseil servira de réflexion et de base pour la Loi d’orientation de la mobilité qui sera discutée en Conseil des ministres en octobre et avec les parlementaires fin 2018.
Elle va permettre de définir de façon claire, priorisée et financée la politique d’investissements dans les transports pour la prochaine décennie.
Le sort du GPSO (Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax-Espagne) sera confirmé. »
En novembre 2021, le COI rencontrait à Bordeaux les représentants de l’Etat, des élus régionaux et bordelais pour un bilan d’étape. Selon Guy Kauffmann, directeur du projet GPSO, cette réunion avait surtout pour objet de « demander au COI de prendre en compte le projet de manière continue, sans rupture en différentes phases, pour une réalisation dans un délai plus resserré que celui préconisé par le COI en 2018. »
Le 14 janvier, le COI rencontrait le préfet coordinateur du GPSO. Il remettra en février « un rapport d’étape sur la programmation des infrastructures de transport»
Il est entouré de proches : Christelle Dubos, députée de la Gironde, Claude Nougein, sénateur de la Corrèze, Alain Chatillon, sénateur de la Haute-Garonne.
Le SGPI a réalisé la contre-expertise du bilan socio-économique du GPSO en 2014 pour l'Enquête Publique.
En sera-t-il de même en 2022 pour la création de la société dédiée au GPSO ?
Verrouillage de la justice
Lire la suite : Mensonges, conflits d’intérêts, influence des lobbyistes
NdlR- TGV en Albret : La seule façon de sortir un lapin du chapeau est de d'abord y avoir dissumilé l'animal....... Comment L'Europe pourrait financer 2.8 milliards d'Euros pour GPSO , si l'enveloppe totale 2021-2027 pour les 27 pays n'est pas plus que 1.87 milliards ....................???? ( voir plus loin dans cet article du Sud Ouest)
« Le financement du GPSO est loin d’être sur les rails », affirment une dizaine d’associations de protection de l’environnement anti-LGV© Crédit photo : Archives Thierry David / « Sud Ouest »
C’est ce mardi que le Conseil d’État doit, à la demande du gouvernement, examiner le plan de financement du GPSO (Grand projet du Sud Ouest), prolongement de la ligne à grande vitesse Paris-Bordeaux vers Toulouse et Dax. Un chantier évalué à 14,3 milliards d’euros, financé à 40 % par l’État, à 40 % par les collectivités locales de Nouvelle-Aquitaine et d’Occitanie, à 20 % par l’Union européenne.
Réunis autour de Denis Teisseire, le fondateur de l’association Trans’CUB qui fit dérailler dans les années 90 le projet de métro bordelais, et de Philippe Barbedienne, le président de la SEPANSO 33, onze associations, locales ou nationales comme France Nature Environnement, ont tenu une conférence de presse ce lundi 14 février pour évoquer le courrier adressé à la plus haute juridiction administrative.
Le courrier est éminemment technique mais l’objectif de ces associations est limpide. « Nous voulons faire capoter le projet, assure Denis Teisseire. Mais nous sommes aussi des gens responsables. Si le projet aboutit, nous voulons que ça ne se fasse pas au détriment financier des collectivités locales, ce qui est actuellement le cas. »
« D’autres munitions »
Lire la suite : LGV vers Toulouse et Dax : « Nous voulons faire capoter le projet »
Vous pouvez télécharger la présentation de l'argumentaire , réactualisé au 1 février 2022 , en cliquant ici.
NdlR-TGV en Albret: Une erreur page 29: perte 30 millions et non 300 millions . Avec toutes nos excuses.
Ce lien reste accessible sur notre site http://www.tgv-albret.fr/ , en allant sur la page d'accueil (en haut à gauche) à l'onglet "Le projet LGV" et après en sous-onglet "Nos arguments 2022".
Vous verrez : des chiffres choquants , comparés avec les
informations mensongères de nos grands décideurs !
MERCI MESDAMES ET MESSIEURS LE CONSEILLERS DEPARTEMENTAUX DE LOT ET GARONNE, CONTINUEZ A DEFENDRE CE BEAU DEPARTEMENT OU NOUS VIVONS.
La lecture du « le Petit Bleu », du 22 janvier dernier, m’a absolument sidéré , Monsieur Castex, Premier Ministre de la France y exprimait sa pensée.
Si les élus du département de Lot et Garonne ne reviennent pas sur leur vote, « la LGV ne s’arrêtera pas à Agen ».
Je croyais, mais suis-je naïf, que la France était une nation démocratique, peuplée de femmes et d’hommes libres, enfants de Condorcet, qui à chaque consultation électorale, se rendaient dans les isoloirs pour y désigner librement leurs représentants.
Ces Françaises et ces Français librement en votant, choisissent ce qui, celle ou celui qui leurs semble le plus apte, le plus capable pour diriger leur pays, leur région, leur ville ou leur village.
Il semble, que depuis plusieurs années, les candidats, une fois élus n’ont plus aucune considération, aucun respect pour le vote des électeurs.
Comment oublier la réponse au référendum du 29 mai 2005 et la forte opposition exprimée par les Français sur le traité établissant une constitution pour l’Europe et la façon dont deux ans plus tard, les Députés et les Sénateurs ont désavoué sans vergogne le vote des Français.
Avaient-ils entendu ce que voulaient les femmes et les hommes de ce pays, non; en votant comme ils l’ont fait, ils ont trompé leurs électeurs, ils ont dévoyé les volontés du peuple, ils ont trahi la démocratie.
Quelques années plus tard, dans « la lointaine » Aquitaine une enquête publique invita les habitants de cette « contrée » à se prononcer sur l’opportunité d’y construire une ligne TGV, pour relier Bordeaux à Toulouse, la réponse fut quasi unanime, c’était NON.
En dépit de cette réponse, l’État, par l’intermédiaire de son Premier Ministre annonça que le projet était doté de 14 milliards d’€uros, relançant de fait un projet dont personne ne voulait.
A ma connaissance une enquête publique génère des coûts, du temps pour quel résultat ? Ignorer les conclusions de cette enquête, mépriser les habitants de la Région Aquitaine et remplir les poubelles de l’histoire des études, des travaux et tant qu’à faire « du pognon de dingue » ainsi dépensé.
Lire la suite : Opinion de Claude Rozès : à ne pas manquer !
Ce dimanche 23 janvier 2022 : 11.30 sur France 3 Nouvelle-Aquitaine et en replay sur france.tv
Un débat à ne pas manquer !
https://www.francetvpro.fr/contenu-de-presse/27602563
`Dimanche en Politique grande région
Quel avenir pour le train en Nouvelle-Aquitaine ?
Dimanche 23 janvier à 11.30
Nouvelle Aquitaine
Faut-il réaliser deux nouvelles lignes LGV en Nouvelle Aquitaine ?
Un Dimanche en Politique sur l'ensemble de la région pour faire le point sur la situation ferroviaire et les projets en Nouvelle-Aquitaine avec le président Alain Rousset en invité.
Le rail est l'une des priorités de la région qui a investi massivement sur les lignes ferroviaires.
En 2021, de lourds travaux de rénovation du réseau et de gares ont été effectués et d'autres projets de lignes sont en cours.
- Si de nouvelles lignes ferroviaires sont créées, quel sera leur impact sur l’environnement ?
- Toutes les collectivités sont-elles prêtes à financer les travaux entre Bordeaux et Toulouse, et entre Bordeaux et Dax ?
- Ces projets ont-ils un sens économiquement ?
- Se feront ils au détriment du réseau TER de la Région ?
Pour faire le point sur l'avenir ferroviaire dans la région, Alain ROUSSET, président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine, sera en plateau à Bordeaux.
Seront également présents :
Philippe BARBEDIENNE, administrateur France Nature Environnement Nouvelle-Aquitaine.
Jean PETEAUX, politologue.
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