600 signatures contre le projet LGV
Les élus ont toujours exprimé leur refus de voir cette LGV se concrétiser compte tenu des répercussions néfastes pour la commune et l'ensemble du ...
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Une motion anti LGV
Lors de la dernière séance du conseil municipal qui s'est tenue le vendredi 14 novembre à la mairie de Montesquieu, les membres du conseil ont ...
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Sud-Gironde : le « pays » dit non à la LGV
L'idée est communément admise que la LGV n'est pas un projet d'intérêt général et, localement, que le Sud-Gironde -concerné à double titre par la ...
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Alain Michiels, élu communiste, insiste sur le fait que la LGV ne doit pas se faire au détriment des trafics régionaux (nécessité du cadencement, donc) .
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2 – MEDIA Reporterre – Dans le Sud-Ouest, écolos et chasseurs disent non aux lignes TGV
(photo Adryades) Sud Gironde: Les opposants à la ligne à grande vitesse du Sud-Ouest ont organisé le 4 février une balade naturaliste sur le tracé prévu. Le but : porter la lumière sur les écosystèmes que le chantier détruirait. LIRE SUR LE LIEN
3 – PRESSE Le Figaro – «Qu’ils se débrouillent pour le payer»: en Nouvelle-Aquitaine, fronde contre l’impôt pour le futur TGV Bordeaux-Toulouse
Une «fronde contre l’impôt» gagne actuellement 67 communes de Charente-Maritime et 14 autres en Charente. Leurs habitants et entreprises devront, dès 2023, s’acquitter de la nouvelle taxe spéciale d’équipement (TSE) censée financer la construction de la ligne à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse, l’une des composantes du Grand Projet ferroviaire du Sud-Ouest (GPSO). Leur tort? Résider, en théorie et selon l’État, dans l’une des 2 340 communes de Nouvelle-Aquitaine situées à moins d’une heure d’une gare desservie par la future LGV.
«Absurde», rétorquent à l’unisson les élus qui ne s’imaginaient pas si proches de la gare Saint-Jean de Bordeaux. Réunis ces derniers jours à Jonzac (Charente-Maritime), ils ont «unanimement» adopté une motion commune réclamant «le retrait immédiat» de cette TSE. «S’ils veulent ce train, qu’ils se débrouillent pour le payer», résume Claude Belot, sénateur honoraire et président de la communauté de communes (CdC) de la Haute Saintonge…
extraits :
.......Pour la ligne Bordeaux-Agen-Toulouse, il réaffirme le maintien des Intercités Bordeaux-Marseille-Nice de jour avec arrêts à Agen et Marmande et la remise en circulation du Bordeaux-Nice de nuit avec les mêmes arrêts......
Lire la suite : Compte rendu global de l’entrevue au Ministère des Transports du 24 novembre
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Extrait de l'article :
L’Etat incite la SNCF à se payer sur la bête régionale avec la LGV de Bordeaux à Toulouse et Dax ou de Montpellier vers Perpignan. Les collectivités font partie de sociétés ad hoc. Durant quarante ans, elles vont payer les dépassements, voire, à terme, assurer la maintenance.
Pour les premières LGV vers Lyon et Le Mans, les contribuables locaux n’ont pas participé. Là, les populations rurales qui se trouvent à moins d’une heure d’une gare vont devoir acquitter un impôt. Alors même qu’elles prendront très peu le TGV…
Pendant ce temps-là, les collectivités franciliennes refusent de financer des lignes qui arrivent chez elles. Les LGV sont le dernier spasme de l’impérialisme parisien. Elles ne représentent que 400 000 voyageurs par jour. Le prolongement à partir de Bordeaux jusqu’à Toulouse et Dax, c’est l’équivalent de 35 euros d’argent public par voyageur pendant cinquante ans.
Parallèlement, les liaisons d’aménagement du territoire périclitent, comme à Clermont-Ferrand. A Limoges, le groupe Legrand menace de partir.
Plutôt que de faire des prolongements TGV de Bordeaux vers Toulouse, il aurait mieux valu créer une « ligne nouvelle » Paris-Orléans-Limoges-Toulouse. C’est-à-dire mettre des trains qui roulent moins vite que les TGV, à 280 kilomètres par heure, mais beaucoup moins coûteux. C’est la bonne solution aussi entre Marseille et Nice et entre Paris et la Normandie où les liaisons sont dans un état déplorable........
Le récent rapport de la Cour des comptes dénonçant l'insoutenabilité économique et financière de la stratégie « tout TGV » ne constitue que le point d'orgue public, particulièrement argumenté et documenté, d'un constat établi de longue date par des organisations syndicales de cheminots, par de nombreux experts, et par la commission Mobilité 21, dont les travaux, présidés par le député Philippe Duron, ont été unanimement salués.
Mais, dans notre gouvernance publique schizophrène, vérité à Paris n'est pas vérité en province. Sur le terrain, imperturbablement, les équipes de RFF, dont le président décline sur toutes les tribunes la nouvelle priorité pour la régénération et la maintenance du réseau historique, déroulent impeccablement le calendrier prévisionnel des projets de LGV promis aux barons locaux par le calamiteux Grenelle de l'environnement.
Plusieurs enquêtes d'utilité publique de LGV viennent d'être lancées malgré le rapport de la Cour des comptes, avec de coûteuses expropriations en perspective, qui s'ajouteront marginalement au naufrage financier de RFF.
Lire la suite : Chemins de fer : On va dans le mur ? Alors on continue !
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