Alain Rousset conteste le rapport de la Cour des comptes
11 novembre 2014 - Aqui.fr ( du 24 oct 2014)
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(extrait ci-dessous )
NdlR- TGV Albret: Mr Rousset n'a toujours pas compris que ce sont juste ces chiffres (basés sur des données fantaisistes) qui sont contestés par la Cour des Comptes,
Continuez à rêver Mr. Rousset , comme avec le A65......
......Vive réaction d'Alain Rousset au rapport de la Cour des comptesQuant au "financement des projets de LGV déjà décidés", il n'est "pas assuré", déplore la Cour. La raison ? Le haut niveau d'endettement de Réseau Ferré de France (RFF) qui l'empêche de financer de nouvelles lignes par emprunt, auquel s'ajoute l'abandon de l'écotaxe, dont le produit devait revenir à l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afitf). A ce titre, la LGV reliant Bordeaux à l'Espagne est épinglé. Une analyse non partagée par Alain Rousset, président du Conseil régional d'Aquitaine. Dans un communiqué, l'élu socialiste rappelle qu'il "ne faut pas mélanger construction et exploitation !". "Le programme du GPSO dégage une valeur actuelle nette (VAN) positive, donc un intérêt pour la collectivité. Hors coûts d'opportunité des fonds publics, le bilan socio-économique montre que le programme GPSO, dégage dans sa première phase de réalisation, un surplus en VAN de 5,8 Mds€. Le taux de rentabilité interne du projet s'établit à 5,3%, un chiffre remarquable", précise Alain Rousset. "Parmi les usagers, les passagers ferroviaires sont les premiers bénéficiaires du programme GPSO, avec un gain supérieur à l'investissement initial, de près de 9,3 Mds€. Il s'agit principalement de gain de temps. GPSO présente aussi un bilan positif pour les acteurs du transport ferroviaire, avec 5,5 Mds€, ce qui souligne sa pertinence économique. Le nombre d'emploi directs, indirects et induits générés par la réalisation du chantier devrait dépasser les 10 000 pour la seule première phase jusqu'à Dax", conclut-il.........
Le projet de LGV au sud de Bordeaux est « une insulte écologique » selon les 500 manifestants
2 octobre 2022 - Sud Ouest

Lors de la manifestation du 1er octobre à Langon, les manifestants affichaient de nombreuses banderoles : « NON aux lignes nouvelles LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne. »© Crédit photo : Jean-Maurice Chacun / « Sud ouest »
Les élus du Sud-Gironde ont organisé un rassemblement à Langon, contre le projet de lignes à grande vitesse (Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax) ce samedi 1er octobre. Des associations issues de tout le Sud-Ouest ont rejoint le cortège
À l’heure où le gouvernement demande aux Français de baisser le chauffage, peut-on envisager de faire rouler des trains à 300 km/h sur de nouvelles lignes ferroviaires à grande vitesse ? La réponse des 500 manifestants qui ont défilé dans les rues de Langon contre les LGV au sud de Bordeaux (vers Toulouse et Dax), ce samedi 1er octobre, est claire : c’est non. « Ce projet n’a plus aucun frein, il va dérailler », s’inquiète le maire de Ruffiac (47), venu en voisin pour rejoindre la sous-préfecture du Sud-Gironde.

Le maire de Sauviac, Michel Aimé, a donné le coup d’envoi de la manifestation samedi 1er octobre au matin devant la gare de Langon.
Jean Maurice Chacun/ « Sud ouest »
La maire de Bernos-Beaulac, Jacqueline Lartigue-Renouil (de dos), a lu une lettre de Pierre Hurmic, devant la sous-préfecture de Langon.
Jean Maurice Chacun/ « Sud ouest »
Une centaine d’écharpes tricolores ouvrait le cortège ce samedi matin : les membres du Collectif des élus du Sud-Gironde et de Montesquieu, affectés par le tracé de la LGV, d’autres maires solidaires de Gironde et du Lot-et-Garonne, des parlementaires. Parmi ces derniers : quatre des six sénateurs girondins (les socialistes Laurence Harribey, Hervé Gillé, la Verte Monique de Marco et la LR Florence Lassarade), mais aussi les députés Modem Sophie Mette, l’Insoumis Loïc Prud’homme et l’écologiste Nicolas Thierry. De nombreux maires, conseillers départementaux et régionaux ont également répondu à l’appel.
« Gaspillage énergétique »
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