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TGV en Albret

Grands projets : le tour de France de la contestation écologiste

11 novembre 2014 - Sud Ouest ( 7 novembre 2014) 

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Extrait :

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  • 5. La LGV Sud-Europe-Atlantique (Tours-Bordeaux-Espagne)

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Les deux viaducs d'accès et le viaduc principal sur la Dordogne totalisent 1.319 mètres.© PHOTO FABIEN COTTEREAU

"Le choix de nouvelles lignes à grande vitesse ferroviaire doit être entouré de plus de garanties de pertinence et de rentabilité", la Cour des comptes, 23 octobre 2014

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La question d’Hervé Gillé au ministre délégué du Transport, Clément Beaune

13 octobre 2022 - Youtube 

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La question d’Hervé Gillé au ministre délégué du Transport, Clément Beaune

 

 

Pour le fer, il faut de l’argent

3 octobre 2022 - Sud Ouest Editorial

Éditorial : Pour le fer, il faut de l’argent

Benoît Lasserre© Crédit photo : Claude Petit

En l’espace de quelques jours, les patrons de deux fleurons de l’industrie française ont été poussés vers la porte de sortie par l’État, leur actionnaire principal ou unique. Jean-Bernard Lévy d’abord, banni de la tête d’EDF, puis Luc Lallemand, le PDG de SNCF Réseau, révoqué et remplacé dans la foulée par son ancien numéro 2, rappelé d’urgence du groupe La Poste qu’il avait rejoint en mai dernier. Ces deux dirigeants mis sur la touche avaient pour point commun de préférer le franc-parler à la diplomatie, sachant que la franchise n’est pas forcément synonyme de vérité.

 

Face à l’ampleur de la mission, rénover le parc nucléaire pour l’un et le réseau ferroviaire pour l’autre, Jean-Bernard Lévy et Luc Lallemand ont maintes fois tiré la sonnette d’alarme financière et ont fini par lasser l’Élysée, Matignon et Bercy. Cela fait beaucoup pour espérer conserver son fauteuil. D’autant plus que l’État n’a pas manqué de rappeler à Luc Lallemand qu’il avait effacé une trentaine de milliards de l’endettement abyssal de SNCF Réseau, lui réclamant en revanche le retour à l’équilibre dès 2024. Une mission quasiment impossible.

Ce n’est pas le PDG du groupe SNCF, Jean-Pierre Farandou, qui dira le contraire, lui qui demande à son actionnaire une enveloppe de 100 milliards d’euros pour les quinze ans à venir, indispensable à ses yeux pour doter le pays d’un réseau ferroviaire digne de ce nom et en concordance avec notre époque. Les usagers de Nouvelle-Aquitaine en sont souvent les premières victimes.

« Partisans et adversaires de la grande vitesse se rejoignent en tout cas sur un constat proche d’une lapalissade. Pas de fer sans argent »

Or, le projet de loi de finances 2023 n’attribue que 3,8 milliards d’euros à l’Agence de financement des infrastructures de transports dont la présidence vient d’être confiée à Jean Castex, celui qui, alors à Matignon, a relancé les projets de grande vitesse Montpellier/Perpignan, Bordeaux/Dax et Bordeaux/Toulouse. Des lignes juridiquement sur les rails mais toujours contestées sur le terrain politique, écologique et économique, comme l’a montré la manifestation anti-LGV organisée samedi à Langon.

Partisans et adversaires de la grande vitesse se rejoignent sur un constat proche d’une lapalissade. Pas de fer sans argent. Reste à savoir comment on l’investit, en observant que le premier quinquennat d’Emmanuel Macron a débuté par le désaveu du TGV au profit « des transports du quotidien », expression fourre-tout dans laquelle chacun met les trains qui lui conviennent, et s’est achevé, précisément avec Jean Castex, par la renaissance, terme ô combien macroniste, de chantiers voués la veille aux gémonies.

 

Qu’il s’agisse du ferroviaire et des énergies, chapitres majeurs du débat sur le réchauffement climatique, deux politiques ne sont plus acceptables de la part de l’État : celle du zigzag et celle du petit bras.

   

Alain Rousset conteste le rapport de la Cour des comptes

11 novembre 2014 - Aqui.fr ( du 24 oct 2014)

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(extrait ci-dessous )

NdlR- TGV Albret: Mr Rousset  n'a toujours pas compris que ce sont juste ces chiffres (basés sur des données  fantaisistes) qui sont contestés par la Cour des Comptes, 

Continuez à rêver Mr. Rousset , comme avec le A65......

......Vive réaction d'Alain Rousset au rapport de la Cour des comptesQuant au "financement des projets de LGV déjà décidés", il n'est "pas assuré", déplore la Cour. La raison ? Le haut niveau d'endettement de Réseau Ferré de France (RFF) qui l'empêche de financer de nouvelles lignes par emprunt, auquel s'ajoute l'abandon de l'écotaxe, dont le produit devait revenir à l'Agence de financement des infrastructures de transport de France (Afitf). A ce titre, la LGV reliant Bordeaux à l'Espagne est épinglé. Une analyse non partagée par Alain Rousset, président du Conseil régional d'Aquitaine. Dans un communiqué, l'élu socialiste rappelle qu'il "ne faut pas mélanger construction et exploitation !". "Le programme du GPSO dégage une valeur actuelle nette (VAN) positive, donc un intérêt pour la collectivité. Hors coûts d'opportunité des fonds publics, le bilan socio-économique montre que le programme GPSO, dégage dans sa première phase de réalisation, un surplus en VAN de 5,8 Mds€. Le taux de rentabilité interne du projet s'établit à 5,3%, un chiffre remarquable", précise Alain Rousset. "Parmi les usagers, les passagers ferroviaires sont les premiers bénéficiaires du programme GPSO, avec un gain supérieur à l'investissement initial, de près de 9,3 Mds€. Il s'agit principalement de gain de temps. GPSO présente aussi un bilan positif pour les acteurs du transport ferroviaire, avec 5,5 Mds€, ce qui souligne sa pertinence économique. Le nombre d'emploi directs, indirects et induits générés par la réalisation du chantier devrait dépasser les 10 000 pour la seule première phase jusqu'à Dax", conclut-il.........

 

Le projet de LGV au sud de Bordeaux est « une insulte écologique » selon les 500 manifestants

2 octobre 2022 - Sud Ouest

Le projet de LGV au sud de Bordeaux est « une insulte écologique » selon les 500 manifestants

Lors de la manifestation du 1er octobre à Langon, les manifestants affichaient de nombreuses banderoles : « NON aux lignes nouvelles LGV Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Espagne. »© Crédit photo : Jean-Maurice Chacun / « Sud ouest »

Les élus du Sud-Gironde ont organisé un rassemblement à Langon, contre le projet de lignes à grande vitesse (Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax) ce samedi 1er octobre. Des associations issues de tout le Sud-Ouest ont rejoint le cortège
 

À l’heure où le gouvernement demande aux Français de baisser le chauffage, peut-on envisager de faire rouler des trains à 300 km/h sur de nouvelles lignes ferroviaires à grande vitesse ? La réponse des 500 manifestants qui ont défilé dans les rues de Langon contre les LGV au sud de Bordeaux (vers Toulouse et Dax), ce samedi 1er octobre, est claire : c’est non. « Ce projet n’a plus aucun frein, il va dérailler », s’inquiète le maire de Ruffiac (47), venu en voisin pour rejoindre la sous-préfecture du Sud-Gironde.

Le maire de Sauviac, Michel Aimé, a donné le coup d’envoi de la manifestation samedi 1er octobre au matin devant la gare de Langon.

Le maire de Sauviac, Michel Aimé, a donné le coup d’envoi de la manifestation samedi 1er octobre au matin devant la gare de Langon.

Jean Maurice Chacun/ « Sud ouest »
La maire de Bernos-Beaulac, Jacqueline Lartigue-Renouil (de dos), a lu une lettre de Pierre Hurmic, devant la sous-préfecture de Langon.

 La maire de Bernos-Beaulac, Jacqueline Lartigue-Renouil (de dos), a lu une lettre de Pierre Hurmic, devant la sous-préfecture de Langon.

Jean Maurice Chacun/ « Sud ouest »
 

 

Une centaine d’écharpes tricolores ouvrait le cortège ce samedi matin : les membres du Collectif des élus du Sud-Gironde et de Montesquieu, affectés par le tracé de la LGV, d’autres maires solidaires de Gironde et du Lot-et-Garonne, des parlementaires. Parmi ces derniers : quatre des six sénateurs girondins (les socialistes Laurence Harribey, Hervé Gillé, la Verte Monique de Marco et la LR Florence Lassarade), mais aussi les députés Modem Sophie Mette, l’Insoumis Loïc Prud’homme et l’écologiste Nicolas Thierry. De nombreux maires, conseillers départementaux et régionaux ont également répondu à l’appel.

« Gaspillage énergétique »

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