12 juillet 2016 - Le Figaro
Le secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies et les présidents des collectivités concernées se sont mis d'accord aujourd'hui sur les principes régissant la mission de financement des lignes ferroviaires à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax.
- Google +
E-mail- Imprimer
- Remonter au début de l'aLe secrétaire d'Etat aux Transports Alain Vidalies et les présidents des collectivités concernées se sont mis d'accord aujourd'hui sur les principes régissant la mission de financement des lignes ferroviaires à grande vitesse (LGV) Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Dax.
Alain Vidalies a tenu une réunion de travail sur le financement de ces lignes avec la présidente de la région Occitanie Carole Delga, le président de la région Nouvelle-Aquitaine Alain Rousset, le maire de Toulouse Jean-Luc Moudenc et la première adjointe au maire de Bordeaux Virginie Calmels. La LGV Bordeaux-Toulouse doit mettre Toulouse à un peu plus de 3 heures de Paris, contre au moins 5H20 aujourd'hui. Le coût des nouvelles lignes est estimé à 8,3 milliards d'euros, avec des hypothèses de mise en service en 2024 pour Bordeaux-Toulouse et en 2027 pour Bordeaux-Dax.
Cette réunion a permis, selon un communiqué du secrétaire d'Etat, de "s'accorder sur les grands principes de la mission de financement" de ces projets, avec comme objectif la signature d'un protocole financier et d'une convention de financement pour les études d'avant-projet et l'action foncière au printemps 2017.
Les participants ont également convenu d'une convention de 45 millions d'euros, financée à 50-50 par l'Etat et les collectivités locales, pour poursuivre les études et engager les acquisitions foncières.
LIRE AUSSI :
»Tensions sur la LGV Tours-Bordeaux
Cette réunion a permis, selon un communiqué du secrétaire d'Etat, de "s'accorder sur les grands principes de la mission de financement" de ces projets, avec comme objectif la signature d'un protocole financier et d'une convention de financement pour les études d'avant-projet et l'action foncière au printemps 2017.
Les participants ont également convenu d'une convention de 45 millions d'euros, financée à 50-50 par l'Etat et les collectivités locales, pour poursuivre les études et engager les acquisitions foncières.
LIRE AUSSI :
»Tensions sur la LGV Tours-Bordeaux