Noublions pas.....
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25 mars 2013 - Sud Ouest

Lire l'article : cliquez : Des échanges terre à terre 

NdlR-TGV-Albret : Question : Le SAFER travaille pour RFF ? Les commentaires en dessous de l'article sont très clair !!!!! 

 
Cacoye
26/03/2013, à 10h46Alertez

En anticipant sur ce qui n'est qu'un projet et en collaborant avec le lobby du bétonnage de nos campagnes, les safer jouent un jeu dangereux.

Jusqu'à preuve du contraire les LGV au sud de Bordeaux sont loin d'être construites : 
http://www.mobilicites.com/fr_actualites-snit---la-commission-duron-confrontee-au-manque-d-argent-et-a-des-criteres-contradictoires_77_2435.html 

Quant à l'artificialisation des territoires en France on en serait à une cadence de 27 mètres carrés disparaissant sous le béton à chaque seconde (236 hectares par jour).
http://www.natura-sciences.com/agriculture/artificialisation-sols/lartificialisation-des-sols-en-france-un-ravage-meconnu204.html

Mais à part ça, tout va très bien, on approche du mur à grande vitesse. Accélérons encore pour le bouquet final !

 

Uaga
25/03/2013, à 13h09Alertez
Peut-être aussi que certains grands élus ou grands groupes de btp ont peur que le vent ait tourné ?? ...grâce au travail de nombreuses associations citoyennes et au bon sens de la plupart des gens qui ont pris connaissance de ces projets !!!
La superficie d'un département français disparaît sous le béton, en France, tous les 7 ans ! Ex : en région Centre : 6600 ha de terres agricoles perdues par an, soit la superficie de Tours et Orléans réunies !
On mange quoi dans 50 ans ???!!!

Uaga
25/03/2013, à 13h05Alertez
Encore? L'histoire se répète...ça rappelle certains dossiers brûlants dont le gouvernement ne sait que faire : Notre-Dame-Des-Landes, Ligne à grande vitesse Lyon-Turin! A croire que le passage en force est leur leitmotiv! ce qui est étonnant pour un pays démocratique, c'est aussi le refus d'un nouveau débat public concernant ces projets. Pour rappel, le débat public pour le GPSO a eu lieu en 2006..or, "l'Assemblée nationale a précisé que l'enquête publique ne peut intervenir plus de cinq ans après la clôture du débat public, sans que l'avis de la commission soit à nouveau sollicité.

Tout en comprenant la nécessité de ne pas laisser s'écouler un temps trop long entre la fin du débat public et le début de l'enquête publique, il convient de préciser, si ce délai de cinq ans venait à être dépassé, que la commission ne pouvait décider d'une nouvelle concertation avec le public que si l'économie générale du projet était profondément modifiée." extrait site senat 
C'est vrai qu'entre 2006 et 2013, le contexte economique est identique, n'est-ce pas ? De quoi ont ils peur? Si ce projet est économiquement viable et écologiquement propre, pourquoi refuser ce nouveau débat dont les conclusions devraient au contraire permettre d'asseoir solidement ce projet et mettrait fin aux accusations de manque de transparence et de droits baffoués que certains opposants n'hésitent pas à évoquer!

jpp.jean.pierre
25/03/2013, à 12h22Alertez
"l’accompagnement des agriculteurs et sylviculteurs "

Agriculteurs et Sylviculteurs cet "accompagnement" mérite, de votre part la plus grande méfiance la plus grande circonspection....
Vous pouvez rejoindre les associations anti-LGV locales...tant qu'il est encore temps de faire capoter ce projet délirant qui va fortement affecter le système hydraulique largement au delà de son emprise !!!

 
Tach
25/03/2013, à 11h54Alertez
Curieuses méthodes que celles décrites ici.

Voici un projet qui n'est qu'un projet. La déclaration d'utilité publique n'est pas faite. Il devrait se retrouver décaler de 10 ans au moins par la commission 21. Il n' y a donc, actuellement, aucune possibilité légale d'acheter ou d'indemniser les propriétaires sur le tracé. 

Et pourtant on s'agite, on force le destin. On met en branle la SAFER, sans aucun financement sérieux. La Safer ne dispose pas des moyens nécessaires en fond propre. Les départements sont priés de donner leur obole, alors que certains refusent le financement de la ligne. La compensation ne pourra pas se faire dans beaucoup de zones traversées par l'absence de terres agricole. C'est le cas du massif forestier Landais. 

Que ce passera t il si le projet est abandonné ce qui devrait être une réalité dans quelques mois ?

En conclusion, propriétaires, ne signiez rien, vous risquez d'être purement et simplement arnaqués, par de vieux inconscients jusqu’au-boutistes. Ils ne veulent pas perdre la face, et feront tout pour que leur rêve indécent se réalise, quitte à entrainer du monde dans leur chute.